Répertoire du Théâtre français ...J. Didot ainé, 1821 |
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... parler et le peuple et les dieux . Si le peuple y consent , je lui cède ma place ; Mais qu'il se rende enfin , si le peuple le chasse . Je ne force personne ; et j'engage ma foi De laisser aux Thébains à se choisir un roi . SCÈNE IV ...
... parler et le peuple et les dieux . Si le peuple y consent , je lui cède ma place ; Mais qu'il se rende enfin , si le peuple le chasse . Je ne force personne ; et j'engage ma foi De laisser aux Thébains à se choisir un roi . SCÈNE IV ...
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... parler , madame , en faveur d'un rebelle . ANTIGONE . L'innocence vaut bien que l'on parle pour elle . CRÉON . Je sais ce qui le rend innocent à vos yeux . ANTIGONE . Et je sais quel sujet vous le rend odieux . CRÉON . L'Amour a d ...
... parler , madame , en faveur d'un rebelle . ANTIGONE . L'innocence vaut bien que l'on parle pour elle . CRÉON . Je sais ce qui le rend innocent à vos yeux . ANTIGONE . Et je sais quel sujet vous le rend odieux . CRÉON . L'Amour a d ...
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... ta justice , Ciel , dispose à la paix le cœur de Polynice , Seconde mes soupirs , donne force à mes pleurs , Et comme il faut enfin fais parler mes douleurs . ANTIGONE , seule . Et si tu prends pitié d'une 22 LES FRERES ENNEMIS .
... ta justice , Ciel , dispose à la paix le cœur de Polynice , Seconde mes soupirs , donne force à mes pleurs , Et comme il faut enfin fais parler mes douleurs . ANTIGONE , seule . Et si tu prends pitié d'une 22 LES FRERES ENNEMIS .
Página 25
... parler en mon absence ; Et que pensant à moi vous penseriez aussi Qu'il faut aimer beaucoup pour obéir ainsi . ANTIGONE . Oui , je l'avois bien cru qu'une ame si fidèle Trouveroit dans l'absence une peine cruelle ; Et , si mes ...
... parler en mon absence ; Et que pensant à moi vous penseriez aussi Qu'il faut aimer beaucoup pour obéir ainsi . ANTIGONE . Oui , je l'avois bien cru qu'une ame si fidèle Trouveroit dans l'absence une peine cruelle ; Et , si mes ...
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... parler : Tout autre auroit voulu condamner ma pensée , Et personne en ces lieux ne te l'eût annoncée . Je te l'annonce donc . C'est à toi de prouver Si ce que tu ravis tu le sais conserver . Montre - toi digne enfin d'une si belle proie ...
... parler : Tout autre auroit voulu condamner ma pensée , Et personne en ces lieux ne te l'eût annoncée . Je te l'annonce donc . C'est à toi de prouver Si ce que tu ravis tu le sais conserver . Montre - toi digne enfin d'une si belle proie ...
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Términos y frases comunes
ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE ALEXANDRE Allez amant amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE avoit AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN déja dessein Dieu dieux dis-je discours douleur enfin ennemis époux ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE étoit fille fils foible frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOCASTE jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron Oh ciel ORESTE OSMIN par-tout parler père perfide PETIT-JEAN peuple peut-être Pharnace PHÈDRE PHÉNICE pleurs Polynice Porus prince Pyrrhus reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul soins sort soupirs sultan TAXILE THÉSÉE Titus tragédie trépas triste trône trouble vainqueur vais venger veut veux vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux
Pasajes populares
Página 308 - Promettez sur ce livre, et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins ; Que, sévère aux méchants, et des bons le refuge, Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Página 265 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Página 308 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 107 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche, et qui leur donne du plaisir, puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Página 225 - Et, tout ingrat qu'il est, il me sera plus doux De mourir avec lui que de vivre avec vous.
Página 142 - Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Página 265 - J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier. De tant d'objets...
Página 381 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Página 275 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Éliacin, vflus avez su me plaire ; Vous n'êtes point sans doute un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis reine et n'ai point d'héritier : Laissez là cet habit, quittez ce vil métier; Je veux vous faire part de toutes mes richesses ; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 255 - Jamais, au grand jamais, elle ne me quitta, Et Dieu sait bien souvent ce Qu'elle en rapporta; Elle eût du buvetier emporté les serviettes, Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes'.