Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volumen2Verdière, 1817 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página v
... sublime aux chansons et de la morale du Portique à celle d'Epicure . Nous nous sommes crus un moment , dans le Lycée , Grecs ou Romains ( et c'est ainsi seulement qu'il pouvait nous être permis de le croire ) INTRODUCTION ,
... sublime aux chansons et de la morale du Portique à celle d'Epicure . Nous nous sommes crus un moment , dans le Lycée , Grecs ou Romains ( et c'est ainsi seulement qu'il pouvait nous être permis de le croire ) INTRODUCTION ,
Página viii
... pouvait louer le génie et les ver- tus d'un saint , même sans être dévot , comme Voltaire a loué saint - Louis ; qu'on pouvait aller jusqu'à nommer saint Augustin et saint Chrysostó me sans faire une capucinade . Au reste , ce que j'en ...
... pouvait louer le génie et les ver- tus d'un saint , même sans être dévot , comme Voltaire a loué saint - Louis ; qu'on pouvait aller jusqu'à nommer saint Augustin et saint Chrysostó me sans faire une capucinade . Au reste , ce que j'en ...
Página x
... pouvait attendre d'un roi goth , ne parvint pas à les relever . Charlemagne , comme lui , conquérant politique et législateur , mais fort supérieur à lui , et sans contredit le plus grand homme qui ait paru dans ce long intervalle qui a ...
... pouvait attendre d'un roi goth , ne parvint pas à les relever . Charlemagne , comme lui , conquérant politique et législateur , mais fort supérieur à lui , et sans contredit le plus grand homme qui ait paru dans ce long intervalle qui a ...
Página xii
... pouvait y avoir en Europe une na- tion qui fit sa propriété du brigandage , qui consentît à se nourrir de sang et de dépouilles , et à laisser mourir de faim ceux qu'elle n'aurait pas égorgés en les dépouillant . Brigands , qui avez ...
... pouvait y avoir en Europe une na- tion qui fit sa propriété du brigandage , qui consentît à se nourrir de sang et de dépouilles , et à laisser mourir de faim ceux qu'elle n'aurait pas égorgés en les dépouillant . Brigands , qui avez ...
Página xxiv
... pouvait dès lors opposer à tous les grands hommes que j'ai nommés le chancelier Bacon , l'un de ces esprits hardis et indépendans qui doivent tout à l'étude approfondie de leurs propres idées et à l'habitude de considérer les objets ...
... pouvait dès lors opposer à tous les grands hommes que j'ai nommés le chancelier Bacon , l'un de ces esprits hardis et indépendans qui doivent tout à l'étude approfondie de leurs propres idées et à l'habitude de considérer les objets ...
Contenido
370 | |
371 | |
373 | |
391 | |
400 | |
404 | |
429 | |
454 | |
240 | |
242 | |
297 | |
306 | |
311 | |
316 | |
334 | |
349 | |
366 | |
461 | |
481 | |
498 | |
509 | |
516 | |
518 | |
585 | |
609 | |
610 | |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Acomat acte Agamemnon aime amour Andromaque Aricie assez Athalie Bajazet beau beautés Boileau Bossuet Britannicus Burrhus caractère chose Cinna Clytemnestre cœur comédie comique Corneille crime défauts Despréaux Dieu dieux dire doit dramatique écrivains ennemis esprit Euripide eût fable femme Fontaine force génie genre gloire goût Grecs héros heureux homme Horace idées Iphigénie j'ai jamais Joad jours juger l'amour l'art l'auteur l'autre l'esprit laisse long-temps Louis XIV madame madame de Sévigné malheur Massillon ment mérite mieux Mithridate Molière monde morale morceau mort n'en Néron ouvrages parler passer passion pensée père personnages peuple Phèdre philosophie pièce plaisir pleurs poëme poésie poëte poétique pouvait premier prince Pyrrhus qu'un Quinault Racine raison reproche reste ridicule rien rois Rousseau Roxane s'il sais sait satire scène Seigneur sentimens sentiment serait seul siècle sort souvent spectateur style sujet talent Tartuffe théâtre Thomas Corneille tragédie traits trouve vérité versification veut Voilà Voltaire vrai yeux
Pasajes populares
Página 198 - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Página 460 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours, (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes,) Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes : L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Página 68 - D'une simple vertu c'est l'effet ordinaire, Mille déjà l'ont fait, mille pourraient le faire ; Mourir pour le pays est un si digne sort, Qu'on briguerait en foule une si belle mort. Mais vouloir au public immoler ce qu'on aime, S'attacher au combat contre un autre soi-même, Attaquer un parti qui prend pour défenseur...
Página 449 - Heureux qui, dans ses vers, sait, d'une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère!
Página 320 - La peste de ta chute, empoisonneur, au diable! En eusses-tu fait une à te casser le nez ! PHILINTE.
Página 217 - Jéhu, sur les hauts lieux enfin osant offrir Un téméraire encens que Dieu ne peut souffrir, N'a , pour servir sa cause et venger ses injures , Ni le cœur assez droit, ni les mains assez pures. Non, non : c'est à Dieu seul qu'il nous faut attacher.
Página 470 - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet ; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet ; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire.
Página 69 - Je l'envisage entier, mais je n'en frémis point : Contre qui que ce soit que mon pays m'emploie , J'accepte aveuglément cette gloire avec joie; Celle de recevoir de tels commandements Doit étouffer en nous tous autres sentiments.
Página 236 - Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre de fer veut être gouverné; Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime...
Página 467 - L'invisible ennemi triomphe, et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.