Rachel et le nouveau-monde: promenade aux États-Unis et aux AntillesA. Cadot, 1856 - 318 páginas |
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Rachel et le nouveau-monde: promenade aux États-Unis et aux Antilles Léon Beauvallet Vista completa - 1856 |
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Pasajes populares
Página 188 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi. Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien. Vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Página 189 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Página 188 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, • Tendre au fer de Calchas une tête innocente ; Et respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Página 189 - M'aurait osé braver pour la dernière fois. Je ne dis plus qu'un mot; c'est à vous de m'entendre. J'ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre : Pour aller jusqu'au cœur que vous voulez percer, Voilà par quels chemins vos coups doivent passer.
Página 186 - Hermione? Sais-tu quel est Pyrrhus ? T'es-tu fait raconter Le nombre des exploits... Mais qui les peut compter? Intrépide, et partout suivi de la victoire, Charmant, fidèle enfin, rien ne manque à sa gloire.
Página 295 - ... comme moi ! Mais Dieu protège les braves, et il semble avoir créé tout exprès pour moi un petit coin inconnu de toutes les géographies, où je puis oublier mes fatigues, mes peines, ma vieillesse prématurée et pourtant vous lancez votre vilain canard au milieu des oiseaux qui perchent sur mes branches , et qui me chantent les petites et bonnes chansons du retour! le mien invraisemblable, et celui du printemps! « Si j'étais morte en Amérique, vous eussiez, oh! j'en suis bien sûre, été...
Página 183 - Cet empire absolu sur la terre et sur l'onde, Ce pouvoir souverain que j'ai sur tout le monde, Cette grandeur sans borne et cet illustre rang...
Página 295 - Moscou, des trahisons de Waterloo, la mer perfide, la terre ingrate; voilà qui vieillit vite un pauvre petit bout de femme comme moi! Mais Dieu protège les braves, et il semble avoir créé tout exprès pour moi un petit coin inconnu de toutes les géographies où je puis oublier mes fatigues, mes peines, ma vieillesse prématurée... et pourtant vous lancez votre vilain canard au milieu des oiseaux qui perchent sur mes branches et qui me chantent les petites et bonnes chansons du retour! Le mien...
Página 204 - J'ai porté mon espoir, mon oracle et mes Dieux. J'ai parlé devant vous la langue du génie. Pour imposer silence à qui vous calomnie, Voici votre réponse. Elle est dans cet accueil Qui me gonfle le cœur d'un légitime orgueil. Oui ! je l'avais senti : toutes les grandes choses Dans l'âme d'un grand peuple ont leurs apothéoses... J'emporte...
Página 295 - Dix-huit ans de tirades passionnées sur le théâtre, des courses folles au bout de tous les mondes, des hivers de Moscou, des trahisons de Waterloo, la mer perfide, la terre ingrate ; voilà qui vieillit vite un pauvre petit bout de femme comme moi! Mais Dieu protège les braves, et il semble avoir créé tout exprès pour moi un petit coin inconnu de toutes les géographies où je puis oublier mes fatigues, mes peines, ma vieillesse prématurée... et pourtant vous lancez votre vilain canard au...