Poésies de Firmin Didot: suivies d'observations littéraires et typographiques sur Robert et Henri EstienneTypographie de Firmin Didot frères, 1834 - 323 páginas |
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... bonheur , été captif ! N'ait pas ( Arbate s'approche ; Prusias lui fait un signe . Il sort . ) NICOMEDE . Il le sera , seigneur : Mais l'objet important c'est que toute la terre Sente qu'on fait à Rome une éternelle guerre , Qu'on ne ...
... bonheur , été captif ! N'ait pas ( Arbate s'approche ; Prusias lui fait un signe . Il sort . ) NICOMEDE . Il le sera , seigneur : Mais l'objet important c'est que toute la terre Sente qu'on fait à Rome une éternelle guerre , Qu'on ne ...
Página 129
... bonheur éclatant , Laissez du moins Inès respirer un instant ! ( Elle aperçoit les guirlandes . ) Mais que vois - je ? Quelle est ma triste destinée ! Don Pèdre , il s'accomplit ton fatal hyménée ; Tout 9 LA REINE DE PORTUGAL, ...
... bonheur éclatant , Laissez du moins Inès respirer un instant ! ( Elle aperçoit les guirlandes . ) Mais que vois - je ? Quelle est ma triste destinée ! Don Pèdre , il s'accomplit ton fatal hyménée ; Tout 9 LA REINE DE PORTUGAL, ...
Página 130
... bonheur le plus doux , Qu'à vos premiers baisers j'ai vu , non sans alarmes , Succéder tout à coup les soupirs et les larmes : Pour eux comme pour vous quel est donc cet effroi ? INÈS . Puissent - ils être un jour moins malheureux que ...
... bonheur le plus doux , Qu'à vos premiers baisers j'ai vu , non sans alarmes , Succéder tout à coup les soupirs et les larmes : Pour eux comme pour vous quel est donc cet effroi ? INÈS . Puissent - ils être un jour moins malheureux que ...
Página 148
... bonheur . ALPHONSE . Ton bonheur est le mien , cher don Pèdre ; et la gloire Que répand sur mon fils sa première victoire D'une fête plus douce est le prélude heureux : Viens dans mes bras ; le ciel a comblé tous mes vœux . Remplis , il ...
... bonheur . ALPHONSE . Ton bonheur est le mien , cher don Pèdre ; et la gloire Que répand sur mon fils sa première victoire D'une fête plus douce est le prélude heureux : Viens dans mes bras ; le ciel a comblé tous mes vœux . Remplis , il ...
Página 154
... bonheur public , et non d'un fol amour , Qu'un prince à l'Éternel doit rendre compte un jour . Pour la dernière fois entends la voix d'un père , Don Pèdre , ô mon cher fils , écoute ma prière . Mon front , déja blanchi par quatre ...
... bonheur public , et non d'un fol amour , Qu'un prince à l'Éternel doit rendre compte un jour . Pour la dernière fois entends la voix d'un père , Don Pèdre , ô mon cher fils , écoute ma prière . Mon front , déja blanchi par quatre ...
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Poésies de Firmin Didot ... Suivies d'Observations littéraires et ... Firmin Didot Vista completa - 1834 |
Términos y frases comunes
ALPHONSE Alvarès amour Annibal ARBATE ARCAS bientôt Bithynie BLANCHE bonheur Carthage Carthaginois Casaubon Castille CASTRO chère Inès ciel cœur Coïmbre Constance consul coupable couronne crime d'Annibal d'Inès déja devant Dieu dieux dois DON PEDRE éditions enfants enfin ennemis épouse époux Eumène Fabius fille fils FLAMINIUS François Ier front gloire grace Grèce guerriers haine Henri Estienne heureux HIARBAS homme hymen Inès instruit J'ai jour l'ame l'hymen l'Infant larmes latine lui-même main mère mort NICOMEDE noble paix palais patrie père perfide périls peuple peut-être Philænus pleurs Plutarque poète Polybe Portugal prince PRUSIAS Puis-je qu'Annibal qu'Inès qu'un régner reine respect rien Robert Estienne rois Romains Rome sang Sapho sauver savants SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion secret seigneur sénat serment seul soin soldats sort sujet Talma Tite-Live traduction tragédie trembler trône typographie vaincre vainqueur vaisseaux vengeance venger vertus veut veux viens Villégas vœux vois voix yeux
Pasajes populares
Página 246 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Página 278 - Dulce vecino de la verde selva, Huésped eterno del abril florido, Vital aliento de la madre Venus, Céfiro blando: Si de mis ansias el amor supiste, Tú, que las quejas de mi voz llevaste, Oye, no temas ya mi ninfa dile, Dile que muero.
Página 264 - Estos, Fabio, ¡ay dolor! , que ves ahora campos de soledad, mustio collado, fueron un tiempo Itálica famosa. Aquí de Cipión la vencedora colonia fue: por tierra derribado yace el temido honor de la espantosa muralla, y lastimosa reliquia es solamente. De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo.
Página 264 - De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo. Este llano fue plaza, allí fue templo, de todo apenas quedan las señales. Del gimnasio y las termas regaladas leves vuelan cenizas desdichadas. Las torres que desprecio al aire fueron a su gran pesadumbre...
Página 252 - Ya dende Cádiz llama el injuriado Conde, a la venganza atento y no a la fama, la bárbara pujanza, en quien para tu daño no hay tardanza. Oye que al cielo toca con temeroso son la trompa fiera, que en África convoca el moro a la bandera, que al aire desplegada va ligera.
Página 268 - La casa para el César fabricada ¡ay! yace de lagartos vil morada.
Página 252 - A toda la espaciosa y triste España. Ya dende Cádiz llama El injuriado conde á la venganza Atento, y no á la fama, La bárbara pujanza En quien para tu daño no hay tardanza.
Página 266 - Aquí nació aquel rayo de la guerra, gran padre de la patria, honor de España, pío, felice, triunfador Trajano, ante quien muda se postró la tierra que ve del sol la cuna y la que baña el mar, también vencido, gaditano.
Página 246 - ... Dios, para quererte el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte. Tú me mueves, Señor; muéveme el verte clavado en una cruz y escarnecido; muéveme ver tu cuerpo tan herido; muévenme tus afrentas y tu muerte.
Página 254 - La lanza ya blandea el árabe cruel, y hiere el viento, llamando a la pelea; innumerable cuento de escuadras juntas veo en un momento. Cubre la gente el suelo, debajo de las velas desparece la mar; la voz al cielo confusa y varia crece; el polvo roba el día y le escurece.