Poésies de Firmin Didot: suivies d'observations littéraires et typographiques sur Robert et Henri EstienneTypographie de Firmin Didot frères, 1834 - 323 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 39
Página 5
... ( Cours de Litt . , ire éd . , t . XI , p . 322 ) ne laisse pas que d'être effrayante pour un auteur . Il ajoute un peu plus bas « < Tous ceux qui avaient mis sur la « scène César , Annibal , Alexandre , Scipion , ne « < les y ont pas ...
... ( Cours de Litt . , ire éd . , t . XI , p . 322 ) ne laisse pas que d'être effrayante pour un auteur . Il ajoute un peu plus bas « < Tous ceux qui avaient mis sur la « scène César , Annibal , Alexandre , Scipion , ne « < les y ont pas ...
Página 12
... cour Le héros de Carthage est venu d'Ionie Demander un asile aux champs de Bithynie : Il est de mon pouvoir le solide soutien ; Et le nom d'Annibal fait redouter le mien . Mais , parle , que disait Rome de nos conquêtes ? ARBATE . Rome ...
... cour Le héros de Carthage est venu d'Ionie Demander un asile aux champs de Bithynie : Il est de mon pouvoir le solide soutien ; Et le nom d'Annibal fait redouter le mien . Mais , parle , que disait Rome de nos conquêtes ? ARBATE . Rome ...
Página 13
... plus dans son pays ingrat , Ou dans la faible cour de ce roi de Syrie , Dont l'orgueil , bravant Rome aux plaines de Carie , Ne fesait d'Annibal qu'un spectateur oisif ; Mais dans les camps d'un roi qui , prudent , ACTE I , SCÈNE II . 13.
... plus dans son pays ingrat , Ou dans la faible cour de ce roi de Syrie , Dont l'orgueil , bravant Rome aux plaines de Carie , Ne fesait d'Annibal qu'un spectateur oisif ; Mais dans les camps d'un roi qui , prudent , ACTE I , SCÈNE II . 13.
Página 14
... cour ce client formidable . C'est vous - même qu'ici menacent ses exploits . Apprendra - t - il , seigneur , à fléchir sous vos lois , Ce guerrier dont l'orgueil indocile et sauvage N'a pu même obéir aux ordres de Carthage ? Plaindra 14 ...
... cour ce client formidable . C'est vous - même qu'ici menacent ses exploits . Apprendra - t - il , seigneur , à fléchir sous vos lois , Ce guerrier dont l'orgueil indocile et sauvage N'a pu même obéir aux ordres de Carthage ? Plaindra 14 ...
Página 23
... cours , N'a point eu pour vainqueur , ou Scipion ou Rome ; C'est Carthage qui seule a vaincu ce grand homme . Mais enfin , corrigeant un sort injurieux , Mon père ici lui rend sa patrie et ses dieux . Annibal trouvera le prix de ses ...
... cours , N'a point eu pour vainqueur , ou Scipion ou Rome ; C'est Carthage qui seule a vaincu ce grand homme . Mais enfin , corrigeant un sort injurieux , Mon père ici lui rend sa patrie et ses dieux . Annibal trouvera le prix de ses ...
Otras ediciones - Ver todas
Poésies de Firmin Didot ... Suivies d'Observations littéraires et ... Firmin Didot Vista completa - 1834 |
Términos y frases comunes
ALPHONSE Alvarès amour Annibal ARBATE ARCAS bientôt Bithynie BLANCHE bonheur Carthage Carthaginois Casaubon Castille CASTRO chère Inès ciel cœur Coïmbre Constance consul coupable couronne crime d'Annibal d'Inès déja devant Dieu dieux dois DON PEDRE éditions enfants enfin ennemis épouse époux Eumène Fabius fille fils FLAMINIUS François Ier front gloire grace Grèce guerriers haine Henri Estienne heureux HIARBAS homme hymen Inès instruit J'ai jour l'ame l'hymen l'Infant larmes latine lui-même main mère mort NICOMEDE noble paix palais patrie père perfide périls peuple peut-être Philænus pleurs Plutarque poète Polybe Portugal prince PRUSIAS Puis-je qu'Annibal qu'Inès qu'un régner reine respect rien Robert Estienne rois Romains Rome sang Sapho sauver savants SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion secret seigneur sénat serment seul soin soldats sort sujet Talma Tite-Live traduction tragédie trembler trône typographie vaincre vainqueur vaisseaux vengeance venger vertus veut veux viens Villégas vœux vois voix yeux
Pasajes populares
Página 246 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Página 278 - Dulce vecino de la verde selva, Huésped eterno del abril florido, Vital aliento de la madre Venus, Céfiro blando: Si de mis ansias el amor supiste, Tú, que las quejas de mi voz llevaste, Oye, no temas ya mi ninfa dile, Dile que muero.
Página 264 - Estos, Fabio, ¡ay dolor! , que ves ahora campos de soledad, mustio collado, fueron un tiempo Itálica famosa. Aquí de Cipión la vencedora colonia fue: por tierra derribado yace el temido honor de la espantosa muralla, y lastimosa reliquia es solamente. De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo.
Página 264 - De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo. Este llano fue plaza, allí fue templo, de todo apenas quedan las señales. Del gimnasio y las termas regaladas leves vuelan cenizas desdichadas. Las torres que desprecio al aire fueron a su gran pesadumbre...
Página 252 - Ya dende Cádiz llama el injuriado Conde, a la venganza atento y no a la fama, la bárbara pujanza, en quien para tu daño no hay tardanza. Oye que al cielo toca con temeroso son la trompa fiera, que en África convoca el moro a la bandera, que al aire desplegada va ligera.
Página 268 - La casa para el César fabricada ¡ay! yace de lagartos vil morada.
Página 252 - A toda la espaciosa y triste España. Ya dende Cádiz llama El injuriado conde á la venganza Atento, y no á la fama, La bárbara pujanza En quien para tu daño no hay tardanza.
Página 266 - Aquí nació aquel rayo de la guerra, gran padre de la patria, honor de España, pío, felice, triunfador Trajano, ante quien muda se postró la tierra que ve del sol la cuna y la que baña el mar, también vencido, gaditano.
Página 246 - ... Dios, para quererte el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte. Tú me mueves, Señor; muéveme el verte clavado en una cruz y escarnecido; muéveme ver tu cuerpo tan herido; muévenme tus afrentas y tu muerte.
Página 254 - La lanza ya blandea el árabe cruel, y hiere el viento, llamando a la pelea; innumerable cuento de escuadras juntas veo en un momento. Cubre la gente el suelo, debajo de las velas desparece la mar; la voz al cielo confusa y varia crece; el polvo roba el día y le escurece.