Poésies de Firmin Didot: suivies d'observations littéraires et typographiques sur Robert et Henri EstienneTypographie de Firmin Didot frères, 1834 - 323 páginas |
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... destin d'un roi . Poursuis . PRUSIA S. ARBATE . J'entre au sénat , l'ame déja troublée . Là , je crus voir de rois siéger une assemblée . Je m'avance , et , suivant vos ordres souverains , De leur propre allié je me plains aux Romains ...
... destin d'un roi . Poursuis . PRUSIA S. ARBATE . J'entre au sénat , l'ame déja troublée . Là , je crus voir de rois siéger une assemblée . Je m'avance , et , suivant vos ordres souverains , De leur propre allié je me plains aux Romains ...
Página 43
... destin , Tout nous sert . Le succès ne peut être incertain . Ainsi tout est réglé . Quand vos regards à peine Distingueront les mâts de la flotte d'Eumène , Agissons de concert , Arbate ; à ce signal , Qu'au palais vos guerriers ...
... destin , Tout nous sert . Le succès ne peut être incertain . Ainsi tout est réglé . Quand vos regards à peine Distingueront les mâts de la flotte d'Eumène , Agissons de concert , Arbate ; à ce signal , Qu'au palais vos guerriers ...
Página 57
... destin est à plaindre ! Au dedans , au dehors , tout est pour eux à craindre : Heureux , quand le pouvoir leur fait tant d'ennemis , S'ils n'ont point dans ce nombre à redouter un fils ! Pour le mien que j'aimais , oubliant la prudence ...
... destin est à plaindre ! Au dedans , au dehors , tout est pour eux à craindre : Heureux , quand le pouvoir leur fait tant d'ennemis , S'ils n'ont point dans ce nombre à redouter un fils ! Pour le mien que j'aimais , oubliant la prudence ...
Página 59
... destin nous sert , si , contre mon attente , Le prince amène ici sa troupe triomphante , Que ma garde avec vous , déposant tout orgueil , Fasse aux guerriers vainqueurs un favorable accueil ; En leur esprit surtout nul soupçon ne doit ...
... destin nous sert , si , contre mon attente , Le prince amène ici sa troupe triomphante , Que ma garde avec vous , déposant tout orgueil , Fasse aux guerriers vainqueurs un favorable accueil ; En leur esprit surtout nul soupçon ne doit ...
Página 78
... destin étrange , Un Romain qui l'opprime à son fils qui le venge ? J'oublie , en vous parlant , de donner à ma voix Le ton des courtisans qui parlent à des rois ; Des camps où j'ai vécu j'ai pris l'accent sévère ; Mais , seigneur , des ...
... destin étrange , Un Romain qui l'opprime à son fils qui le venge ? J'oublie , en vous parlant , de donner à ma voix Le ton des courtisans qui parlent à des rois ; Des camps où j'ai vécu j'ai pris l'accent sévère ; Mais , seigneur , des ...
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Poésies de Firmin Didot ... Suivies d'Observations littéraires et ... Firmin Didot Vista completa - 1834 |
Términos y frases comunes
ALPHONSE Alvarès amour Annibal ARBATE ARCAS bientôt Bithynie BLANCHE bonheur Carthage Carthaginois Casaubon Castille CASTRO chère Inès ciel cœur Coïmbre Constance consul coupable couronne crime d'Annibal d'Inès déja devant Dieu dieux dois DON PEDRE éditions enfants enfin ennemis épouse époux Eumène Fabius fille fils FLAMINIUS François Ier front gloire grace Grèce guerriers haine Henri Estienne heureux HIARBAS homme hymen Inès instruit J'ai jour l'ame l'hymen l'Infant larmes latine lui-même main mère mort NICOMEDE noble paix palais patrie père perfide périls peuple peut-être Philænus pleurs Plutarque poète Polybe Portugal prince PRUSIAS Puis-je qu'Annibal qu'Inès qu'un régner reine respect rien Robert Estienne rois Romains Rome sang Sapho sauver savants SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion secret seigneur sénat serment seul soin soldats sort sujet Talma Tite-Live traduction tragédie trembler trône typographie vaincre vainqueur vaisseaux vengeance venger vertus veut veux viens Villégas vœux vois voix yeux
Pasajes populares
Página 246 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Página 278 - Dulce vecino de la verde selva, Huésped eterno del abril florido, Vital aliento de la madre Venus, Céfiro blando: Si de mis ansias el amor supiste, Tú, que las quejas de mi voz llevaste, Oye, no temas ya mi ninfa dile, Dile que muero.
Página 264 - Estos, Fabio, ¡ay dolor! , que ves ahora campos de soledad, mustio collado, fueron un tiempo Itálica famosa. Aquí de Cipión la vencedora colonia fue: por tierra derribado yace el temido honor de la espantosa muralla, y lastimosa reliquia es solamente. De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo.
Página 264 - De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo. Este llano fue plaza, allí fue templo, de todo apenas quedan las señales. Del gimnasio y las termas regaladas leves vuelan cenizas desdichadas. Las torres que desprecio al aire fueron a su gran pesadumbre...
Página 252 - Ya dende Cádiz llama el injuriado Conde, a la venganza atento y no a la fama, la bárbara pujanza, en quien para tu daño no hay tardanza. Oye que al cielo toca con temeroso son la trompa fiera, que en África convoca el moro a la bandera, que al aire desplegada va ligera.
Página 268 - La casa para el César fabricada ¡ay! yace de lagartos vil morada.
Página 252 - A toda la espaciosa y triste España. Ya dende Cádiz llama El injuriado conde á la venganza Atento, y no á la fama, La bárbara pujanza En quien para tu daño no hay tardanza.
Página 266 - Aquí nació aquel rayo de la guerra, gran padre de la patria, honor de España, pío, felice, triunfador Trajano, ante quien muda se postró la tierra que ve del sol la cuna y la que baña el mar, también vencido, gaditano.
Página 246 - ... Dios, para quererte el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte. Tú me mueves, Señor; muéveme el verte clavado en una cruz y escarnecido; muéveme ver tu cuerpo tan herido; muévenme tus afrentas y tu muerte.
Página 254 - La lanza ya blandea el árabe cruel, y hiere el viento, llamando a la pelea; innumerable cuento de escuadras juntas veo en un momento. Cubre la gente el suelo, debajo de las velas desparece la mar; la voz al cielo confusa y varia crece; el polvo roba el día y le escurece.