Poésies de Firmin Didot: suivies d'observations littéraires et typographiques sur Robert et Henri EstienneTypographie de Firmin Didot frères, 1834 - 323 páginas |
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... dire comme Artémidore , qui avait réuni Théocrite , Bion et Moschus dans un même recueil : Βωκολικαὶ Μοῦσαι σποράδες πόχα · νῦν δ ̓ ἅμα πᾶσαι Εντὶ μιᾶς μάνδρας , ἐντὶ μιᾶς ἀγέλας . Vos muses qui , loin du hameau , Erraient chacune en sa ...
... dire comme Artémidore , qui avait réuni Théocrite , Bion et Moschus dans un même recueil : Βωκολικαὶ Μοῦσαι σποράδες πόχα · νῦν δ ̓ ἅμα πᾶσαι Εντὶ μιᾶς μάνδρας , ἐντὶ μιᾶς ἀγέλας . Vos muses qui , loin du hameau , Erraient chacune en sa ...
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... dire , pas offrir un vers qui ne sortît du fond du sujet ; alors des lecteurs fami- liarisés avec les écrivains qui ont peint les grands hommes , et exposé les événements mémorables de l'histoire ancienne , pourraient oublier quel ...
... dire , pas offrir un vers qui ne sortît du fond du sujet ; alors des lecteurs fami- liarisés avec les écrivains qui ont peint les grands hommes , et exposé les événements mémorables de l'histoire ancienne , pourraient oublier quel ...
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... dire également que si le grand << Corneille , dans la Mort de Pompée , n'a pas re- « présenté César avec toute la dignité convenable , << c'est que , voulant peindre César amoureux , il a « < cédé au goût du siècle , gâté par des romans ...
... dire également que si le grand << Corneille , dans la Mort de Pompée , n'a pas re- « présenté César avec toute la dignité convenable , << c'est que , voulant peindre César amoureux , il a « < cédé au goût du siècle , gâté par des romans ...
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... dire enfin ? Le ciel à votre père N'a fait dans Annibal qu'un funeste présent . J'admire comme vous ce génie imposant Qui , malgré les destins , n'écoutant que sa haine , Fit long - temps chanceler la fortune romaine ; Mais sa tête ...
... dire enfin ? Le ciel à votre père N'a fait dans Annibal qu'un funeste présent . J'admire comme vous ce génie imposant Qui , malgré les destins , n'écoutant que sa haine , Fit long - temps chanceler la fortune romaine ; Mais sa tête ...
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... un guerrier plein de zèle ; Fais dire à Cratidas qu'il s'avance sans bruit , Et près du bois sacré m'attende avant la nuit . FIN DU SECOND ACTE . ACTE TROISIÈME . SCÈNE PREMIÈRE . FLAMINIUS , ARBATE . ACTE II , SCÈNE VII . 39.
... un guerrier plein de zèle ; Fais dire à Cratidas qu'il s'avance sans bruit , Et près du bois sacré m'attende avant la nuit . FIN DU SECOND ACTE . ACTE TROISIÈME . SCÈNE PREMIÈRE . FLAMINIUS , ARBATE . ACTE II , SCÈNE VII . 39.
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 246 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Página 278 - Dulce vecino de la verde selva, Huésped eterno del abril florido, Vital aliento de la madre Venus, Céfiro blando: Si de mis ansias el amor supiste, Tú, que las quejas de mi voz llevaste, Oye, no temas ya mi ninfa dile, Dile que muero.
Página 264 - Estos, Fabio, ¡ay dolor! , que ves ahora campos de soledad, mustio collado, fueron un tiempo Itálica famosa. Aquí de Cipión la vencedora colonia fue: por tierra derribado yace el temido honor de la espantosa muralla, y lastimosa reliquia es solamente. De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo.
Página 264 - De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo. Este llano fue plaza, allí fue templo, de todo apenas quedan las señales. Del gimnasio y las termas regaladas leves vuelan cenizas desdichadas. Las torres que desprecio al aire fueron a su gran pesadumbre...
Página 252 - Ya dende Cádiz llama el injuriado Conde, a la venganza atento y no a la fama, la bárbara pujanza, en quien para tu daño no hay tardanza. Oye que al cielo toca con temeroso son la trompa fiera, que en África convoca el moro a la bandera, que al aire desplegada va ligera.
Página 268 - La casa para el César fabricada ¡ay! yace de lagartos vil morada.
Página 252 - A toda la espaciosa y triste España. Ya dende Cádiz llama El injuriado conde á la venganza Atento, y no á la fama, La bárbara pujanza En quien para tu daño no hay tardanza.
Página 266 - Aquí nació aquel rayo de la guerra, gran padre de la patria, honor de España, pío, felice, triunfador Trajano, ante quien muda se postró la tierra que ve del sol la cuna y la que baña el mar, también vencido, gaditano.
Página 246 - ... Dios, para quererte el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte. Tú me mueves, Señor; muéveme el verte clavado en una cruz y escarnecido; muéveme ver tu cuerpo tan herido; muévenme tus afrentas y tu muerte.
Página 254 - La lanza ya blandea el árabe cruel, y hiere el viento, llamando a la pelea; innumerable cuento de escuadras juntas veo en un momento. Cubre la gente el suelo, debajo de las velas desparece la mar; la voz al cielo confusa y varia crece; el polvo roba el día y le escurece.