Poésies de Firmin Didot: suivies d'observations littéraires et typographiques sur Robert et Henri EstienneTypographie de Firmin Didot frères, 1834 - 323 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 61
Página 13
... enfin , non plus dans son pays ingrat , Ou dans la faible cour de ce roi de Syrie , Dont l'orgueil , bravant Rome aux plaines de Carie , Ne fesait d'Annibal qu'un spectateur oisif ; Mais dans les camps d'un roi qui , prudent , ACTE I ...
... enfin , non plus dans son pays ingrat , Ou dans la faible cour de ce roi de Syrie , Dont l'orgueil , bravant Rome aux plaines de Carie , Ne fesait d'Annibal qu'un spectateur oisif ; Mais dans les camps d'un roi qui , prudent , ACTE I ...
Página 15
... enfin ? quels sont ses vœux secrets ? Veut - il , le cœur touché de vos seuls intérêts , Voir dans l'Asie au loin votre empire s'étendre ? C'est Rome qu'il poursuit . Rome doit - elle attendre Qu'un jour , de son pouvoir redoutable ...
... enfin ? quels sont ses vœux secrets ? Veut - il , le cœur touché de vos seuls intérêts , Voir dans l'Asie au loin votre empire s'étendre ? C'est Rome qu'il poursuit . Rome doit - elle attendre Qu'un jour , de son pouvoir redoutable ...
Página 20
... enfin ? Le ciel à votre père N'a fait dans Annibal qu'un funeste présent . J'admire comme vous ce génie imposant Qui , malgré les destins , n'écoutant que sa haine , Fit long - temps chanceler la fortune romaine ; Mais sa tête , déja ...
... enfin ? Le ciel à votre père N'a fait dans Annibal qu'un funeste présent . J'admire comme vous ce génie imposant Qui , malgré les destins , n'écoutant que sa haine , Fit long - temps chanceler la fortune romaine ; Mais sa tête , déja ...
Página 21
... Enfin , vers Métapont , le sauveur des Romains , Fabius , par miracle échappé de ses mains . ARBATE . Loin de moi le dessein d'abaisser un tel homme ! Mais , quel était son but ? c'était de prendre Rome : L'a - t - il prise ? A ce chef ...
... Enfin , vers Métapont , le sauveur des Romains , Fabius , par miracle échappé de ses mains . ARBATE . Loin de moi le dessein d'abaisser un tel homme ! Mais , quel était son but ? c'était de prendre Rome : L'a - t - il prise ? A ce chef ...
Página 22
... Enfin , après seize ans , seul , des siens oublié , Afrique , Espagne , impôt , soldat , place , allié , Autour de lui tout tombe , excepté son courage : Et Rome , déja prête à renverser Carthage , N'ose pas même alors affronter le ...
... Enfin , après seize ans , seul , des siens oublié , Afrique , Espagne , impôt , soldat , place , allié , Autour de lui tout tombe , excepté son courage : Et Rome , déja prête à renverser Carthage , N'ose pas même alors affronter le ...
Otras ediciones - Ver todas
Poésies de Firmin Didot ... Suivies d'Observations littéraires et ... Firmin Didot Vista completa - 1834 |
Términos y frases comunes
ALPHONSE Alvarès amour Annibal ARBATE ARCAS bientôt Bithynie BLANCHE bonheur Carthage Carthaginois Casaubon Castille CASTRO chère Inès ciel cœur Coïmbre Constance consul coupable couronne crime d'Annibal d'Inès déja devant Dieu dieux dois DON PEDRE éditions enfants enfin ennemis épouse époux Eumène Fabius fille fils FLAMINIUS François Ier front gloire grace Grèce guerriers haine Henri Estienne heureux HIARBAS homme hymen Inès instruit J'ai jour l'ame l'hymen l'Infant larmes latine lui-même main mère mort NICOMEDE noble paix palais patrie père perfide périls peuple peut-être Philænus pleurs Plutarque poète Polybe Portugal prince PRUSIAS Puis-je qu'Annibal qu'Inès qu'un régner reine respect rien Robert Estienne rois Romains Rome sang Sapho sauver savants SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion secret seigneur sénat serment seul soin soldats sort sujet Talma Tite-Live traduction tragédie trembler trône typographie vaincre vainqueur vaisseaux vengeance venger vertus veut veux viens Villégas vœux vois voix yeux
Pasajes populares
Página 246 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Página 278 - Dulce vecino de la verde selva, Huésped eterno del abril florido, Vital aliento de la madre Venus, Céfiro blando: Si de mis ansias el amor supiste, Tú, que las quejas de mi voz llevaste, Oye, no temas ya mi ninfa dile, Dile que muero.
Página 264 - Estos, Fabio, ¡ay dolor! , que ves ahora campos de soledad, mustio collado, fueron un tiempo Itálica famosa. Aquí de Cipión la vencedora colonia fue: por tierra derribado yace el temido honor de la espantosa muralla, y lastimosa reliquia es solamente. De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo.
Página 264 - De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo. Este llano fue plaza, allí fue templo, de todo apenas quedan las señales. Del gimnasio y las termas regaladas leves vuelan cenizas desdichadas. Las torres que desprecio al aire fueron a su gran pesadumbre...
Página 252 - Ya dende Cádiz llama el injuriado Conde, a la venganza atento y no a la fama, la bárbara pujanza, en quien para tu daño no hay tardanza. Oye que al cielo toca con temeroso son la trompa fiera, que en África convoca el moro a la bandera, que al aire desplegada va ligera.
Página 268 - La casa para el César fabricada ¡ay! yace de lagartos vil morada.
Página 252 - A toda la espaciosa y triste España. Ya dende Cádiz llama El injuriado conde á la venganza Atento, y no á la fama, La bárbara pujanza En quien para tu daño no hay tardanza.
Página 266 - Aquí nació aquel rayo de la guerra, gran padre de la patria, honor de España, pío, felice, triunfador Trajano, ante quien muda se postró la tierra que ve del sol la cuna y la que baña el mar, también vencido, gaditano.
Página 246 - ... Dios, para quererte el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte. Tú me mueves, Señor; muéveme el verte clavado en una cruz y escarnecido; muéveme ver tu cuerpo tan herido; muévenme tus afrentas y tu muerte.
Página 254 - La lanza ya blandea el árabe cruel, y hiere el viento, llamando a la pelea; innumerable cuento de escuadras juntas veo en un momento. Cubre la gente el suelo, debajo de las velas desparece la mar; la voz al cielo confusa y varia crece; el polvo roba el día y le escurece.