Poésies de Firmin Didot: suivies d'observations littéraires et typographiques sur Robert et Henri EstienneTypographie de Firmin Didot frères, 1834 - 323 páginas |
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Página 74
... sang de mon maître . Dieux ! ANNIBAL . Où donc est ce cœur dans les maux affermi ? Quoi ! vous pleurez ? NICOMEDE . Ma faute a perdu mon ami , Et vous vous étonnez que je verse des larmes ! ANNIBA L. Ton amitié pour moi n'est pas sans ...
... sang de mon maître . Dieux ! ANNIBAL . Où donc est ce cœur dans les maux affermi ? Quoi ! vous pleurez ? NICOMEDE . Ma faute a perdu mon ami , Et vous vous étonnez que je verse des larmes ! ANNIBA L. Ton amitié pour moi n'est pas sans ...
Página 88
... , Nicomede , et prenez cette épée , Qui du sang des Romains fut tant de fois trempée . Puisse encor ce présent à Rome être fatal ! Je la tiens d'Amilcar ; tenez - la d'Annibal . FIN . NOTES . NOTES . ⌁wwwmn Page 12 , v . 88 ANNIBAL .
... , Nicomede , et prenez cette épée , Qui du sang des Romains fut tant de fois trempée . Puisse encor ce présent à Rome être fatal ! Je la tiens d'Amilcar ; tenez - la d'Annibal . FIN . NOTES . NOTES . ⌁wwwmn Page 12 , v . 88 ANNIBAL .
Página 132
... sang , à ses modestes charmes , Moi , que puis - je opposer ? mon amour et mes larmes . MARIE . Vos larmes , votre amour , votre touchante voix , L'emporteront encor sur les traités des rois . Oui , croyez - moi , l'Infant vous restera ...
... sang , à ses modestes charmes , Moi , que puis - je opposer ? mon amour et mes larmes . MARIE . Vos larmes , votre amour , votre touchante voix , L'emporteront encor sur les traités des rois . Oui , croyez - moi , l'Infant vous restera ...
Página 147
... sang ruisselle , Jamais , du moins , jamais on n'aura combattu Ni pour des droits plus saints , ni pour tant de vertu . J'entends quelqu'un . CASTRO . SCÈNE II . DON PÈDRE , CASTRO , ALVARÈS . ALVARÈS . Le roi dans ce lieu va se rendre ...
... sang ruisselle , Jamais , du moins , jamais on n'aura combattu Ni pour des droits plus saints , ni pour tant de vertu . J'entends quelqu'un . CASTRO . SCÈNE II . DON PÈDRE , CASTRO , ALVARÈS . ALVARÈS . Le roi dans ce lieu va se rendre ...
Página 150
... sang , non pour eux , mais pour soi , Prince , en est l'ennemi plus qu'il n'en est le roi ; Partout on le maudit , et souvent quand ses armes Ont fait couler des flots et de sang et de larmes , Il tombe de son trône , et renverse l'état ...
... sang , non pour eux , mais pour soi , Prince , en est l'ennemi plus qu'il n'en est le roi ; Partout on le maudit , et souvent quand ses armes Ont fait couler des flots et de sang et de larmes , Il tombe de son trône , et renverse l'état ...
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Poésies de Firmin Didot ... Suivies d'Observations littéraires et ... Firmin Didot Vista completa - 1834 |
Términos y frases comunes
ALPHONSE Alvarès amour Annibal ARBATE ARCAS bientôt Bithynie BLANCHE bonheur Carthage Carthaginois Casaubon Castille CASTRO chère Inès ciel cœur Coïmbre Constance consul coupable couronne crime d'Annibal d'Inès déja devant Dieu dieux dois DON PEDRE éditions enfants enfin ennemis épouse époux Eumène Fabius fille fils FLAMINIUS François Ier front gloire grace Grèce guerriers haine Henri Estienne heureux HIARBAS homme hymen Inès instruit J'ai jour l'ame l'hymen l'Infant larmes latine lui-même main mère mort NICOMEDE noble paix palais patrie père perfide périls peuple peut-être Philænus pleurs Plutarque poète Polybe Portugal prince PRUSIAS Puis-je qu'Annibal qu'Inès qu'un régner reine respect rien Robert Estienne rois Romains Rome sang Sapho sauver savants SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion secret seigneur sénat serment seul soin soldats sort sujet Talma Tite-Live traduction tragédie trembler trône typographie vaincre vainqueur vaisseaux vengeance venger vertus veut veux viens Villégas vœux vois voix yeux
Pasajes populares
Página 246 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Página 278 - Dulce vecino de la verde selva, Huésped eterno del abril florido, Vital aliento de la madre Venus, Céfiro blando: Si de mis ansias el amor supiste, Tú, que las quejas de mi voz llevaste, Oye, no temas ya mi ninfa dile, Dile que muero.
Página 264 - Estos, Fabio, ¡ay dolor! , que ves ahora campos de soledad, mustio collado, fueron un tiempo Itálica famosa. Aquí de Cipión la vencedora colonia fue: por tierra derribado yace el temido honor de la espantosa muralla, y lastimosa reliquia es solamente. De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo.
Página 264 - De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo. Este llano fue plaza, allí fue templo, de todo apenas quedan las señales. Del gimnasio y las termas regaladas leves vuelan cenizas desdichadas. Las torres que desprecio al aire fueron a su gran pesadumbre...
Página 252 - Ya dende Cádiz llama el injuriado Conde, a la venganza atento y no a la fama, la bárbara pujanza, en quien para tu daño no hay tardanza. Oye que al cielo toca con temeroso son la trompa fiera, que en África convoca el moro a la bandera, que al aire desplegada va ligera.
Página 268 - La casa para el César fabricada ¡ay! yace de lagartos vil morada.
Página 252 - A toda la espaciosa y triste España. Ya dende Cádiz llama El injuriado conde á la venganza Atento, y no á la fama, La bárbara pujanza En quien para tu daño no hay tardanza.
Página 266 - Aquí nació aquel rayo de la guerra, gran padre de la patria, honor de España, pío, felice, triunfador Trajano, ante quien muda se postró la tierra que ve del sol la cuna y la que baña el mar, también vencido, gaditano.
Página 246 - ... Dios, para quererte el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte. Tú me mueves, Señor; muéveme el verte clavado en una cruz y escarnecido; muéveme ver tu cuerpo tan herido; muévenme tus afrentas y tu muerte.
Página 254 - La lanza ya blandea el árabe cruel, y hiere el viento, llamando a la pelea; innumerable cuento de escuadras juntas veo en un momento. Cubre la gente el suelo, debajo de las velas desparece la mar; la voz al cielo confusa y varia crece; el polvo roba el día y le escurece.