Poésies de Firmin Didot: suivies d'observations littéraires et typographiques sur Robert et Henri EstienneTypographie de Firmin Didot frères, 1834 - 323 páginas |
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... sauver ? Sur nous les yeux ouverts , Rome , dont l'espérance envahit l'univers , Des états de mon roi médite la conquête ; Et dans la Bithynie on prépare une fête ! O du peuple et du prince aveuglement fatal ! Tandis que , s'enivrant d ...
... sauver ? Sur nous les yeux ouverts , Rome , dont l'espérance envahit l'univers , Des états de mon roi médite la conquête ; Et dans la Bithynie on prépare une fête ! O du peuple et du prince aveuglement fatal ! Tandis que , s'enivrant d ...
Página 19
... sauver , avilit les états . ARBATE . Aux périls renaissants d'une guerre lointaine Le trésor épuisé ne suffira qu'à peine ; Vos soldats , fatigués de pénibles travaux , De ce chef étranger quitteront les drapeaux . NICOMEDE . Eh quoi ...
... sauver , avilit les états . ARBATE . Aux périls renaissants d'une guerre lointaine Le trésor épuisé ne suffira qu'à peine ; Vos soldats , fatigués de pénibles travaux , De ce chef étranger quitteront les drapeaux . NICOMEDE . Eh quoi ...
Página 24
... d'Annibal réveiller la querelle . ARBATE , seul . Prusias les écoute ; ils le perdraient : et moi , Quels que soient les périls , je veux sauver mon roi . FIN DU PREMIER ACTE . ACTE SECOND . SCÈNE PREMIÈRE . ANNIBAL , HIARBAS , 24 ANNIBAL .
... d'Annibal réveiller la querelle . ARBATE , seul . Prusias les écoute ; ils le perdraient : et moi , Quels que soient les périls , je veux sauver mon roi . FIN DU PREMIER ACTE . ACTE SECOND . SCÈNE PREMIÈRE . ANNIBAL , HIARBAS , 24 ANNIBAL .
Página 30
... joug du Perse redouté , Arme de ses enfants la folle jalousie , Et du joug des Romains ne peut sauver l'Asie . Carthage observe Rome , et n'ose résister ; Lâches qui deviendront , de peur de l'irriter , D'alliés 30 ANNIBAL .
... joug du Perse redouté , Arme de ses enfants la folle jalousie , Et du joug des Romains ne peut sauver l'Asie . Carthage observe Rome , et n'ose résister ; Lâches qui deviendront , de peur de l'irriter , D'alliés 30 ANNIBAL .
Página 38
... sauver sa couronne . Entre un sceptre et l'honneur je ne balance pas . ( Arcas s'approche . ) Veillons sur ce Romain , observons tous ses pas ; Tu sais que sans réserve en toi je me confie , Arcas ; il faut agir . ARCAS . Ma liberté ...
... sauver sa couronne . Entre un sceptre et l'honneur je ne balance pas . ( Arcas s'approche . ) Veillons sur ce Romain , observons tous ses pas ; Tu sais que sans réserve en toi je me confie , Arcas ; il faut agir . ARCAS . Ma liberté ...
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Poésies de Firmin Didot ... Suivies d'Observations littéraires et ... Firmin Didot Vista completa - 1834 |
Términos y frases comunes
ALPHONSE Alvarès amour Annibal ARBATE ARCAS bientôt Bithynie BLANCHE bonheur Carthage Carthaginois Casaubon Castille CASTRO chère Inès ciel cœur Coïmbre Constance consul coupable couronne crime d'Annibal d'Inès déja devant Dieu dieux dois DON PEDRE éditions enfants enfin ennemis épouse époux Eumène Fabius fille fils FLAMINIUS François Ier front gloire grace Grèce guerriers haine Henri Estienne heureux HIARBAS homme hymen Inès instruit J'ai jour l'ame l'hymen l'Infant larmes latine lui-même main mère mort NICOMEDE noble paix palais patrie père perfide périls peuple peut-être Philænus pleurs Plutarque poète Polybe Portugal prince PRUSIAS Puis-je qu'Annibal qu'Inès qu'un régner reine respect rien Robert Estienne rois Romains Rome sang Sapho sauver savants SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion secret seigneur sénat serment seul soin soldats sort sujet Talma Tite-Live traduction tragédie trembler trône typographie vaincre vainqueur vaisseaux vengeance venger vertus veut veux viens Villégas vœux vois voix yeux
Pasajes populares
Página 246 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Página 278 - Dulce vecino de la verde selva, Huésped eterno del abril florido, Vital aliento de la madre Venus, Céfiro blando: Si de mis ansias el amor supiste, Tú, que las quejas de mi voz llevaste, Oye, no temas ya mi ninfa dile, Dile que muero.
Página 264 - Estos, Fabio, ¡ay dolor! , que ves ahora campos de soledad, mustio collado, fueron un tiempo Itálica famosa. Aquí de Cipión la vencedora colonia fue: por tierra derribado yace el temido honor de la espantosa muralla, y lastimosa reliquia es solamente. De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo.
Página 264 - De su invencible gente sólo quedan memorias funerales, donde erraron ya sombras de alto ejemplo. Este llano fue plaza, allí fue templo, de todo apenas quedan las señales. Del gimnasio y las termas regaladas leves vuelan cenizas desdichadas. Las torres que desprecio al aire fueron a su gran pesadumbre...
Página 252 - Ya dende Cádiz llama el injuriado Conde, a la venganza atento y no a la fama, la bárbara pujanza, en quien para tu daño no hay tardanza. Oye que al cielo toca con temeroso son la trompa fiera, que en África convoca el moro a la bandera, que al aire desplegada va ligera.
Página 268 - La casa para el César fabricada ¡ay! yace de lagartos vil morada.
Página 252 - A toda la espaciosa y triste España. Ya dende Cádiz llama El injuriado conde á la venganza Atento, y no á la fama, La bárbara pujanza En quien para tu daño no hay tardanza.
Página 266 - Aquí nació aquel rayo de la guerra, gran padre de la patria, honor de España, pío, felice, triunfador Trajano, ante quien muda se postró la tierra que ve del sol la cuna y la que baña el mar, también vencido, gaditano.
Página 246 - ... Dios, para quererte el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte. Tú me mueves, Señor; muéveme el verte clavado en una cruz y escarnecido; muéveme ver tu cuerpo tan herido; muévenme tus afrentas y tu muerte.
Página 254 - La lanza ya blandea el árabe cruel, y hiere el viento, llamando a la pelea; innumerable cuento de escuadras juntas veo en un momento. Cubre la gente el suelo, debajo de las velas desparece la mar; la voz al cielo confusa y varia crece; el polvo roba el día y le escurece.