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Pour les abréviations voir pag. 49. Ajouter: Ostas. Ll. Der Ostasiatische Lloyd.

GÉNÉRALITÉS.

VI. Germanistische Abhandlungen XII. Beiträge zur Volkskunde. Festschrift für KARL WEINHOLD Zum 50 jährigen Doktorjubileum im Namen der schlesischen Gesellschaft für Volkskunde, voilà le tître étendu d'une publication consacrée à un des vétérans de la science germanistique. Nous y trouvons des contributions de M. W. CREIZENACH (p. 1.: Zur Geschichte der Weihnachtsspiele nnd des Weihnachtsfestes); M. P. DRECHSLER (p. 11: Handwerkssprache und Brauch); M. S. FRAENKLER (p. 37: Die tugendhafte und kluge Wittwe); M. A. HILLEBRANDT (p. 51: Brahmanen und Çudras); M. OTTO L. JIRICZEK (p. 59: Die Amlethsage auf Island); M. EUGEN MOGK (p. 109: Segen- und Bannsprüche aus einem alten Arzneibuche); M. K. OLTRICH (p. 119: Die Jungfernsee bei Breslau); M. P. REGELL (p. 131: Etymologische Sagen aus dem Riesengebirge); M. F. SCHROLLER (p. 153: Zur Charakteristik des schlesischen Bauern); M. TH. SIEBS (p. 165: Flurnamen); M. FR. VOGT (p. 195: Dornröschen-Thalia); M. OTTO WARNATSCH (p. 239: Sif). M. FR. SCHRADER (Rev. mens. p. 33) publie une étude sur les Échanges d'activité entre la terre et l'homme. M. le prof. W. J. VAN BEBBER (Gl. p. 85, 109: Die Klimate der Erde und ihr Einfluss auf den Menschen) fait des observations sur l'influence du climat sur l'homme. Le même journal contient des articles de M. A. VIERKANDT (p. 158: Der Ursprung der Haustierzucht und die Wirtschaftsformen); et du prof. W. JOEST (p. 145: Läuse-Essen und Eau de Cologne-Trinken). A. I. XXV p. 240: On Pithecanthropus erectus: a Transitional Form between Man and the Apes) publie le résumé d'un discours du Dr. EUGÈNE DUBOIS, avec la discussion qui en a résulté, la démonstration du prof. VIRCHOW sur le même sujet (Verh. A. G. p. 648) a donné lieu à des remarques du doct. RUD. MARTIN (Weitere Bemerkungen zur Pithecanthropus-Frage. Av. fig.). Les races pygmées font le sujet d'un article de M. R. G. HALIBURTON (Proc. Am. Ass. XLIV: Dwarf Survivals, and Traditions as to Pygmy Races).

Des sujets d'ethnographie comparée sont traités par le doct. M. HÖFLER (Corr. A. G. p. 12: Zur OpferAnatomie); M. J. D. E. SCHMELTZ: Das Schwirrholz (Verh. des Vereins f. Naturw. Unterh. zu Hamburg,

Bd. IX p. 92), et M. LEO V. FROBENIUS (Verh. A. G. p. 533: Ein Motiv des Gefäss-Cultes; Westerm. Monatsh. p. 329, 593: Die Kunst der Naturvölker. Av. fig.; Verh. N. V. Lübeck 1895 p. 133: Bedeutung, Umfang und Behandlungsweise der Maskenkunde). Signalons encore les livres du prof. BASTIAN (Die Denkschöpfung umgebender Welt aus kosmogonischen Vorstellungen in Cultur und Uncultur. Berlin. Av. pl.); les essais ethnologiques de M. J. F. HEWITT (The Ruling Races of Prehistoric Times in India, SouthWestern Asia and Southern Europe. Westminster); et la notice de M. GRÜNWEDEL (Ethn. Not., Hft. 3 p. 15: Bericht über den Besuch des Königlichen Schlosses zu Schwedt zur Besichtigung alter Gemälde mit ethnographischen Darstellungen. Av. fig.), qui constate la ressemblance de figures brésiliennes avec les tableaux ethnographiques conservés au musée de Copenhague.

EUROPE.

Rev. mens. publie un article posthume de M. A. HOVELAQUE (p. 51: La taille dans un canton ligure), suivi d'une nécrologie de ce savant décédé dans la force de l'âge, par M. ANDRÉ LEFÈVRE. Reliquary and Illustrated Archaeologist contient des communications archéologiques de M. D. MAC RITCHIE (Oct. 1895: Hebridean Antiquities. Av. fig.). Des fouilles sont encore décrites dans Corr. A. G. par M. vON PLATEN-VENZ (p. 9: Fundstelle für Stein-Alterthümer in Fährhof auf Rügen); et par M. M. SCHLOSSER (p. 19: Höhlenstudien und Ausgrabungen bei Velburg in der Oberpfalz).

Gl. publie des articles de M. A. OPPEL (p. 119: Das Museum für Natur-, Völker- und Handelskunde in Bremen) et du doct. R. F. KAINDL (p. 90: Neue Beiträge zur Ethnologie und Volkskunde der Huzulen. Av. ill. Fin). Z. O. V. publie des communications du doct. H. SCHUKOWITZ (p. 321: Die Ausrufwörter in der niederösterreichischen Mundart); du doct. A. HAUFFEN (p. 326: Zur Gottscheer Volkskunde); du doct. O. HOVORKA VON ZDERAS (p. 338: Dalmatiner Volkssagen und Spottgeschichten); et de M. WENZEL PEITER (p. 345: Das altegerländische Frauenhemd). Ungarn contient des contributions du doct. B. MUNKACSI (p. 185: Die älteste historische Erwähnung der Ugrier. Fin); de Mme E. VON GYARMATHY (p.

198: Hochzeit in Kalotaszeg. Av. 6 pl.); de M. F. GÖNCZI (p. 201: Die Kroaten in Murakoz. Fin); et de M. L. BELLA (p. 212: Czornaer Funde).

ASIE.

Un chapitre spécial de l'archéologie est illustré par M. ARTHUR EVANS (Cretan pictographs and praephoenician scripts. London. Av. 139 fig).). M. le doct. M. GASTER (J. As. S. p. 149: The Sword of Moses. An ancient book of Magic) donne la traduction, avec une introduction, d'un manuscrit hébreu, écrit dans les premiers siècles de notre ère. M. H. GALIMENT (Rev. mens. p. 43: Les divinités à attitude orientale. Av. fig.) publie une note d'iconographie religieuse. J. Anthr. S. Bombay publie des contributions de M. J. J. MODI (IV 1: The Horse in Ancient Iran); M. B. B. PATELL (Suicides amongst the Parsees of Bombay during the last twelve years); Dr. RUSTEM N. R. RANINA (The Surgical Instruments of the Ancient Hindus). Nous avons déjà remarqué l'étude de M. A. HILLEBRANDT, publiée dans l'album-Weinhold; ajoutons-y les notices du docteur E. ROTH (Gl. p. 126: Die Nutzpflanzen des Kaschmirthales); et de M. F. W. K. MÜLLER (Ethn. Not. 3 p. 23: Ueber den Ausdruck Kalasutra. Av. fig.). M. P. COOMARASWANY (J. As. S. Ceylon XIV p. 17: Gleanings from ancient Tamil literature) publie une étude littéraire. M. HARAPRASAD SHASTRI (J. As. S. Bengal p. 284: Note on Visnupur Circular Cards) décrit un jeu de cartes inventé environ 1000 ans avant notre ère. Le même journal contient la description du „Saint-Pierre du lamaisme" par M. L. A. WADDELL (p. 259: Description of Lhasa Cathedral. Traduit du tibétan, avec le facsimilé d'un dessin original). J. As. S. publie une étude du docteur F. HIRTH (p. 57: Chao Ju-kua, a new Source of Mediaeval Geography) sur un auteur chinois au commencement du XIIIe siècle. T. P. VII publie des articles de M. E. CHAVANNES (p. 1.: La Chronologie Chinoise de l'an 238 à l'an 87 avant J. C.); M. G. SCHLEGEL (p. 47: The Desert Horses and the White Colt; p. 94 compte rendu détaillé de l'étude de M. STEWART CULIN sur les jeux coréens); et M. A. BILLEQUIN (p. 39: Note sur la porcelaine de Corée). M. ERNST ZIMMERMANN (Koreanische Kunst. Av. 20 pl. Hamburg) consacre un beau livre illustré à l'art de la Corée. Kor. Rep. (Nov. 1895: Relationship of the Tartar Languages) publie une étude linguistique de M. J. EDKINS; et un essai sur le confucianisme en Corée. L'écriture coréenne fait le sujet de notices par M. W. G. ASTON (Trans. As. S. Japan XXIII p. 1.: The Önmun-when invented?); et de M. MAURICE COURANT (ibid. p. 5: Note sur les différents systèmes d'écriture employés en Corée. Ostas. Ll. X publie des communications sur le calendrier coréen (p. 255); sur la femme en Chine et au Japon (p. 298, 323, I. A. f. E. IX.

345); et sur le théâtre japonais (p. 369), particulièrement sur le théâtre populaire et sur le théâtre des femmes, où tous les rôles sont joués par des actrices. Rev. arch. XXVII contient une notice de M. F. DE MÉLY (p. 326) sur les pierres de foudre chez les Chinois et les Japonais. Le livre de M. W. G. ASTON (Nihongi. Chronicles of Japan from the earliest Times to A. d. 697), publié en supplément des Trans. Japan Soc. contient des détails et quelques illustrations ethnographiques. Le Rév. D. C. GREENE (Trans. J. S. XXIII p. 24: Tenrikyo; or the Heavenly Reason) publie dans le même journal un essai sur la vie religieuse au Japon. Mentionnons encore les articles de M. F. W. K. MÜLLER (Ethn. Not. 3 p. 26: Die drei Welten nach einem humoristischen Bilde von Utagawa Sadashige. Av. pl.); M. F. LEVIEUX (S. Belge G. XIX p. 229: Essai sur l'architecture japonaise); M. B. H. BADEN-POWEL (I. As. Q. R. p. 366: Japanese village communities; M. W. GOWLAND (Orient p. 29: Die Kunst des Bronzegusses in Japan); M. LEON VAN DE POLDER (Kol. Mus. 1896 p. 38: Over sake en sake-bereiding). M. le prof. VON KRASSNOW (Verh. G. E. XXIII p. 58: Beobachtungen aus dem Gebiet der nordostasiatischen Inselwelt) fait quelques observations sur les éléments différents de la population de l'île de Sakhalin.

M. B. HOUGHTON (J. As. S. p. 23: Outlines of Tibeto-Burman Linguistic Palaeontology) traite des origines de la langue birmane. M. GRÜNWEDEL (Ethn. Not. 3 p. 1.: Notizen aus den Reisen des Hrolf Vaughan Stevens in Malaka. 1. Der Tigerzauber der Belendas; 2. Tiger-totem und Musang-totem; 3. Die Verfassung der alten Belendas. Av. fig.) publie de nouveaux résultats des investigations de M. STEVENS. Un manuscrit inédit du même voyageur (Gl. p. 117 137: Der Cholera-Zauber bei den Temia auf der Halbinsel Malaka) est traduit par M. H. JANSEN. Ind. Gids (p. 585. Ethnographische bijzonderheden betreffende de onderafdeeling VIII Kota en VII Loerah) continue ses communications sur la religion et les superstitions en Sumatra. La suite du récit de voyage de M. L. LAPICQUE (T. du M. livr. 4, suiv.) nous emporte dans la Sonde orientale. M. H. LING ROTH (A. I. XXV p. 262: Negritoes in Borneo) constate que l'existence de Négritos dans l'intérieur de Bornéo n'est pas prouvée. M. J. W. VAN DAPPEREN (Kol. Mus. mars 1896 p. 31: De "Maragang") décrit une tribu dousoun de Bornéo. M. F. BLUMENTRITT (Gl. p. 165: Die Mangianenschrift von Mindoro) publie une nouvelle contribution à la connaissance des îles Philippines.

AUSTRALIE ET OCÉANIE.

La race indigène de l'Australie fournit des sujets a M. R. H. MATTHEWS (Am. Anthr. IX p. 33: Austra19

lian Ground and Tree Drawings; A. I. p. 255: Stone Cooking-Holes and Grooves for Stone-Grinding used by the Australian Aborigines. Av. pl.); et à M. R. ETHERIDGE JUN. (A. I. p. 259: the Game of Teetotum as practised by certain of the Qeensland Aborigines. Av. pl.).

M. VON LUSCHAN (Ethn. Not. 3 p. 40: Zur Ornamentik der Maori. Av. fig.) fait des observations sur l'art maori.

AFRIQUE

M. HENRY C. KAY (J. As. S. p. 137: Arabic Inscriptions in Egypt) publie les fruits d'explorations archéologiques. M. J. GASTON VAN DER HEYM (T. du M. livr. 9, suiv.: Une expédition avec le négous Ménélik) raconte son séjour en Abyssinie. A. I. publie des articles de M. H. W. SETON-KARR (p. 271: Discovery of Evidences of the Palaeolithic Stone Age in Somaliland. Av. pl.); et du rév. GODFREY DALE (p. 181: An Account of the Principal Customs and Habits of the Natives inhabiting the Bondei Country). M. CH. DE LA KÉTHULLE DE RYHOVE (Bull. S. B. G. XIX p. 397: Deux années de résidence chez le sultan Rafai) raconte son voyage d'exploration au nord du Mbomou, avec des détails ethnologiques sur les Bandjias. Mentionnons encore les notes extraites du journal du docteur FRIEDERICHS (Gl. p. 177: Aus Kamerun); et les notices publiées dans Ethn. Not. par M. K. WEULE (p. 29: Zum Fetischwesen der Ewe. Av. 2 pl.) et par M. GRÜNWEDEL (Ethn. Not. p. 12: Notizen über eine Terracotta aus Magdischu. Av. fig.) M. VON KALBEN (Mitth. D. S. p. 31: Ueber Rechtsverhältnisse der Eingeborenen in der Umgebung von Bukoha) donne des détails sur une peuplade de l'Afrique orientale. M. G. KURZE (Mitth. G. G. Thür. XIV p. 1: Reisen norwegischer Missionare in Madagaskar) publie des communications du missionnaire P. NILSEN sur les Sakalaves. Ajoutons-y celles du doct. A. VOELTZKOW (G. E. XXIII p. 170).

AMÉRIQUE.

M. VON DEN STEINEN (Ethn. Not. p. 38; Indianische Kartenzeichnungen und Kerbstöcke. Av. fig.) décrit des dessins indiens; ajoutons-y la reproduction d'une curieuse image en pierre taillée représentant un homme accroupi, recueilli dans l'ile Vancouver (A. I. p. 276). M. WASHINGTON MATTHEWS (Am. Anthr. IX p. 33: A Vigil of the Gods) décrit une cérémonie Navajo. Le même journal contient une notice de M. O. T. MASON (p. 61: A Discovery in Sandals) à propos du sandale retrouvé d'un „cliff-dweller"; une note provisoire à propos d'une expédition faite en 1894, par M. W. J. MCGEE (p. 93: Expedition to Papagueria and Seriland); et une notice de M. ALBERT S. ASHMEAD (p. 106: Pre-Columbian Syphilis in Yucatan). M. le Dr. K. HAEBLER (Centralbl. f. Bibliothekw. XII no.

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Ofschoon dit uitmuntende tijdschrift voornamelijk aan Oostersche taal-, letter- en oudheidkunde gewijd is, komen er menigmaal stukken in voor, die de aandacht ook van ethnographen verdienen. Als zoodanig noemen wij in 't voor ons liggende deel de Kalmuksche Sprookjes, in Mongoolschen tekst met Russische vertaling uitgegeven door A. POZDNJÈJEF. Het zijn sprookjes van Indischen oorsprong, die met het Buddhisme in geheel Midden-Azië zijn doorgedrongen.

In een opstel over „St. Nikolaas en de Ephesische Artemis" tracht de schrijver, E. ANITSJKOF, aan te toonen dat het feest der Rossalia oorspronkelijk een heidensch feest was, gewijd aan de Ephesische Artemis, die verder vereenzelvigd wordt met de Mater Deorum, wier dienst in Klein-Azië zoo verbreid was. In welk verband het feest van Artemis staat met St. Nikolaas - wiens feest op 6 December wel van de Rossalia te onderscheiden is laat zich niet in korte woorden zeggen. Wij vestigen dus alleen de aandacht van den lezer op het genoemde artikel, vooral ook omdat het talrijke verwijzingen bevat naar geschriften over 't St. Nikolaasfeest en andere feesten.

Onder 't hoofd „Kleine opmerkingen en mededeelingen" treffen wij o. a. aan hetgeen TUMANSKIJ en BARTOLD naar aanleiding van de Kitab-i-Korkud te berde brengen; wij hebben in onze aankondiging van de Žiwaja Starina reeds gelegenheid gehad daarvan gewag te maken.

Onder de boekbeschouwingen vindt men een zakelijk verslag door den redacteur, Baron ROSEN, over de te Tiflis verschijnende „Verzameling van bouwstoffen voor de beschrijving van landschappen en stammen van den Kaukasus" (afl. 18-20; en bladwijzer op afl. 1-20). Deze verzameling is bijzonder rijk aan stukken die betrekking hebben op ethnographie en volksoverlevering (folklore), als daar zijn: „Mingrelische volksliederen", „Mingrelische vertelsels" "Swanische teksten". Onder de laatste verdient eene bijzondere vermelding de vertelling van Rostom, eene prozabewerking van de be

roemde dichterlijke verhalen over Rustem en Zohrâb. Van zuiver ethnographischen aard is eene beschrijving der door de Armeniërs in 't dorp Haikend gevierd wordende feesten, van A. KALASJEF, die in vereeniging met A. JOAKIMOF ook „Tataarsche teksten❞ (liederen, raadsels, spreekwoorden) mededeelt. Verschillende schrijvers leveren verder bijdragen over de volgende onderwerpen: „Uit het leven en de geloofsbegrippen der Mingreliërs", „Mingrelische vertelsels", „legenden en vertelsels der Aisoren" en „der Israelieten van 't dorp Wartasjen", alsook „Gruzische verhalen uit de streek van Tiflis en Kutaïs".

Dit alles vormt den inhoud der 18de aflevering; de volgende opent met een voorbericht van den redakteur A. BOGOJAWLENSKIJ, die voor elke Kaukasische vertelling de tegenhangers uit de Russische literatuur aanwijst. Behalve opstellen van historischen en oudheidkundigen aard en plaatsbeschrijvingen, bevat de 19de aflevering Imeretische, Gruzische, Armenische en Tataarsche volksverhalen, waarin een rijke stof voor de vergelijkende studie der volksoverleveringen te vinden is. Hetzelfde mag gezegd worden van de Voorteekens en bijgeloovigheden der Gruziërs van het district Telaw", van de „Kharth welische liederen en legenden", van de „Armenische bruiloften" en van de „Tataarsche spreekwoorden en zegswijzen". De 20ste aflevering, uitgegeven onder redactie van L. G. LOPATINSKIJ, is vooral voor taalkundigen van belang, hoewel ethnographische opstellen niet ont

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breken. Zoo ontmoet men daarin o. a. mededeelingen over de Osseten; over de Kara-Nogais; over 't karakter en de levenswijze der Kurden; over 't huiselijk en maatschappelijk leven der vrouw bij de Transkaukasische Tataren.

De verslaggever eindigt met eene welverdiende hulde te brengen aan de Directie van 't onderwijsdepartement van den Kaukasus, aan wier ijver en beleid de uitgave van de 20 afleveringen der verzameling bouwstoffen, van 1881-1894, te danken is. Hij onthoudt zijnen lof niet aan de onvermoeide en getrouwe medearbeiders. Wij van onzen kant vleien ons met de hoop dat wij bij eene volgende gelegenheid in staat zullen wezen onze mededeelingen uit de Verzameling bouwstoffen" zelven te putten en iets neer te geven dan eene dorre opsomming van titels.

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Voorts vermelden wij nog een referaat van BARTOLD over een werk van A. A. DIWAJEF, getiteld „Ethnographische bouwstoffen. Vertellingen, fabelen, spreekwoorden en voorspellingen van de inlandsche bevolking van 't Syr-Darjagebied"; van S. O(ldenburg) over de nagelaten geschriften van wijlen Mevrouw POTANIN1), en over OSTROUMOF's geschrift: „De Sarthen, Ethnographische bouwstoffen". W. CALAND'S Altindischer Ahnencult levert A. KUDRJAFSKIJ Stof voor een uitvoerig en getrouw verslag van den inhoud dier verhandeling. H. KERN.

V. LIVRES ET BROCHURES.

X. P. Fr. CIPRIANO MARCILLA Y MARTIN: Estudio de los antiguos Alfabetos Filipinos. Malabon, Tipolitografía del Asilo de Huérfanos. 1895. In kl. Folio, 109 pg. und Tafeln.

Die Existenz von einheimischen Alphabeten bei einzelnen Stämmen der philippinischen Malayen wurde gleich von den ersten Chronisten der spanischen Conquista in ihren Berichten vermerkt und uns auch mehr oder minder verlässliche Abbildungen desselben von einzelnen jener Geschichtsschreiber gegeben. Die ersten Katechismen, welche von den spanischen Missionären in den Sprachen jenes Archipels herausgegeben worden sind, wurden zum Theile in diesen Alphabeten gedruckt, mit Gewissheit lässt sich dies von der Doctrina cristiana des Cardinals BELARMINO behaupten, welche der Augustiner-Mönch P. Fr. FRANCISCO LOPEZ im J. 1621 zu Manila in tagalischer Sprache und in tagalischen Typen herausgab, doch sollen schon früher von spanischen Mönchen solche Katechismen, in tagali

1) Aangekondigd in dit Archief IX, 53.

BÜCHERTISCH.

schen Lettern gedruckt, herausgegeben worden sein, der erste angeblich im J. 1593. Im Laufe des XVII. Jahrhundertes begann die Latein-Schrift die einheimischen Alphabete zu verdrängen. Die philippinische Schrift schwand nicht etwa, weil die Spanier gewaltsam die Antiqua den Eingebornen aufzwangen, sondern einfach deshalb, weil die einheimische Schrift zwar leicht zu schreiben, aber (wie ich dies noch weiter unten des Näheren erklären will) schwer zu lesen war, so dass die Eingebornen (so weit sie unter der Herrschaft der Spanier und in Berührung mit denselben verblieben) die importierte „europäische" Schrift gerne acceptirten und ihre eigene schliesslich ganz und gar aufgaben.

Eine zusammenfassende Darstellung und Besprechung sämmtlicher seiner Zeit bekannten Alphabete gab erst T. H. PARDO DE TAVERA im J. 1884 zu Lausanne bei Jaunin unter dem Titel: Contribución para el estudio de los antiguos alfabetos filipinos heraus, ein Büchlein, das

auf 30 Seiten sich mit der Geschichte und dem Gebrauche der alten Alphabete befasst. Diese Broschüre PARDO'S kann man als den Vorläufer des Werkes des P. MARCILLA betrachten.

P. MARCILLA'S Buch ist ein in jeder Bedeutung des Wortes bedeutendes Werk, dem wir unsere Anerkennung auch da nicht versagen können, wo wir mit den Behauptungen des Autors nicht einverstanden sind. So gefällt uns nicht z. B. der Ausfall des Padre gegen die ausländischen Forscher, die bisher den Philippinischen Alphabeten einige Aufmerksamkeit schenkten, doch das ist eben spanische Art; jenseits der Pyrenäen wird auch auf dem Felde der Wissenschaft dem Chauvinismus gehuldigt und der spanische Nativismus scheint dem alten Spruch „Die Wissenschaft hat wohl eine Wiege, aber kein Vaterland" die Anerkennung hartnäckig versagen zu wollen. Aehnliche nationale Voreingenommenheiten erklären es, dass der Autor gegen die Einführung des K und W in die Transcription der philippinischen Sprachen sich ausspricht. Diese Ausstellungen erscheinen aber kleinlich im Verhältnis zu dem vielen und reichen Materiale, das uns der Autor über die alten philippinischen Alphabete bringt. Wir ersehen daraus, dass im Besitze eigener Alphabete folgende Völker der Philippinen waren, bez. noch sind: Tagalen, Ilokanen, Zambalen, Pampangos, Pangasinanen, Bissayer, Tagbanuas und Mangianen. (von Mindoro) 1).

Der hohe Werth der Publication des P. MARCILLA liegt darin, dass er die in vielen, zum Theile sehr seltenen Werken und in noch nicht edierten Manuscripten verstreuten Notizen und Abbildungen der (bez. über die) philippinischen Alphabete in einem Werke sammelt und so das Studium der philippini. schen Schrift allen jenen ermöglicht, denen jene Druckwerke und Manuscripte nicht zugänglich sind. Dadurch wird das Buch MARCILLA'S ein Quellenwerk ersten Ranges und es wäre wirklich hämisch, wenn man in Anbetracht dieses grossen Verdienstes am Detail herummäkeln wollte. Die Vortheile, welche dieses Werk den europäischen Forschern zuwendet, ersehen wir sehr gut an der prächtigen Abhandlung: Die Mangianenschrift von Mindoro von Dr. A. B. MEYER, Dr. A. SCHADENBERG und Dr. A. For (Berlin 1895).

Von besonderem Interesse erscheint mir der VII Abschnitt. Die philippinischen Consonanten drückten nämlich nicht nur ihren eigenen Laut, sondern auch

den nachfolgenden Vocal aus und zwar a, wenn kein Zeichen weiter beigegeben war, i (oder e) wenn unter dem Konsonanten sich ein Punkt (Corlit) befand, und o oder u, wenn der Punkt sich oberhalb des Buchstabens befand. Aber die Schlusskonsonanten oder richtiger gesagt die consonantes quiescentes wurden gar nicht ausgedrückt und so konnte z. B. gelesen werden: lili, lilim, lilip, lilin, lilis, ja sogar liklik. Um die hiedurch verursachte Schwierigkeit des Lesens einigermassen zu beheben, hatte der oben erwähnte P. Fray FRANCISCO LOPEZ ein Kreuzchen eingeführt, das unter einen Konsonanten gesetzt, anzeigte, dass der Konsonant allein, ohne nachfolgenden Vocal, damit ausgedrückt werde. Diese Neuerung fand aber bei den Eingebornen wenig Anklang, wohl weil der conservative Theil derselben am Alten zähe festhielt und die vorgeschrittenen lieber das „europäische" Alphabet annahmen, statt an dem alten herum zu reformiren.

Ich schliesse mein Referat mit einer warmen Empfehlung dieses schönen Werkes und verleihe auch zugleich der Hoffnung Ausdruck, der Autor möge uns bald wieder mit einer ähnlichen Arbeit erfreuen. F. BLUMENTRITT.

XI. ARTH. BÄSSLER: Südsee-Bilder. Mit 24 Tafeln & 2 Karten. Berlin, A. Asher & Co., 1895, 8°.

Von seiner letzten Reise bietet der Verfasser uns in diesem Werke eine Anzahl abgerundeter Skizzen, die in fesselndem Stiel geschrieben, sich, mit Ausnahme einer einzigen, auf die Inseln des grossen Oceans beziehen.

Ausser der Schilderung von Land und Leuten, eingewanderter und eingeborener Bevölkerung, erhalten wir auch Mittheilungen colonialpolitischer Natur und eine ziemliche Menge beachtenswerther ethnologischer Details.

Das Buch beginnt mit einer Skizze „Samoanische Gastfreundschaft", und mit Wehmuth lesen wir hier was Verfasser betreffs der zu erwar tenden Rentabilität der Kokospalmen-Anpflanzungen der Deutschen Handels- und Plantagen-Gesellschaft der Südsee-Inseln, der Nachfolgerin jenes Mannes den R. VIRCHOW in seinem ihm gewidmeten Necrologe (Verh. berl. anthrop. Gesellschaft 1885 pg. 53 & 535) mit Recht als den Urheber der deutschen Kolonialbewegung bezeichnet, sagt. Wenn BÄSSLER erklärt, dass, wenn nicht die Ungunst der Verhältnisse hemmend und störend wirken, dem hier zu erwartenden Ertrag gegenüber selbst die grössten Feinde

1) Abgesehen von der von SINIBALDO-MAS abgebildeten Igorroten-Schrift, wäre noch die Inschrift auf dem Weberschiffchen eines Webapparates der Tingianen (vgl. Publicationen des Dresdner kgl. Ethnogr. Mus. Bd VIII T. XV, Fig. 2 u. S. 18) zu erwähnen, so dass das Vorhandensein eines einheimischen Alphabetes vorläufig bei zehn philippinischen Völkern konstatirt erscheint.

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