Oeuvres de Saint-Just, représentant du peuple a la Convention NationalePrévot, 1834 - 424 páginas |
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... dernier de la tyrannie que de prétendre être jugé par des lois qu'il a détruites ? Et , Citoyens , si nous lui accordions de le juger civilement , c'est- à - dire suivant les lois , c'est - à - dire en citoyen , à ce titre il nous ...
... dernier de la tyrannie que de prétendre être jugé par des lois qu'il a détruites ? Et , Citoyens , si nous lui accordions de le juger civilement , c'est- à - dire suivant les lois , c'est - à - dire en citoyen , à ce titre il nous ...
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... dernier jour ! Il ne voulut point ju- lui - même son ennemi ; il permit qu'on employât tout pour le convaincre qu'il se trompait , lors même que tant de familles portaient le deuil de leurs en- ger 1 fans , et que les meilleurs citoyens ...
... dernier jour ! Il ne voulut point ju- lui - même son ennemi ; il permit qu'on employât tout pour le convaincre qu'il se trompait , lors même que tant de familles portaient le deuil de leurs en- ger 1 fans , et que les meilleurs citoyens ...
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... dernier , demandait la sanction d'une loi à laquelle était attaché son repos . Quel est donc le gouvernement libre où , par l'abus des lois , le crime est inviolable , la tyrannie sacrée ; où la loi n'est qu'un piége qui protège la ...
... dernier , demandait la sanction d'une loi à laquelle était attaché son repos . Quel est donc le gouvernement libre où , par l'abus des lois , le crime est inviolable , la tyrannie sacrée ; où la loi n'est qu'un piége qui protège la ...
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... dernier , comme un complot formé contre l'établissement et l'unité de la République éclatait dans Paris et dans l'empire , vous avez consigné dans leurs maisons trente - deux membres de cette assemblée , prévenus par le cri public d'en ...
... dernier , comme un complot formé contre l'établissement et l'unité de la République éclatait dans Paris et dans l'empire , vous avez consigné dans leurs maisons trente - deux membres de cette assemblée , prévenus par le cri public d'en ...
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... dernier . L'anarchie était le cri de ralliement des conjurés ; on espérait , par l'excès des malheurs publics , arriver à ce point de justifier le plus grand de tous , celui de donner un chef aux Français . Buzot et Gorsas tendent ...
... dernier . L'anarchie était le cri de ralliement des conjurés ; on espérait , par l'excès des malheurs publics , arriver à ce point de justifier le plus grand de tous , celui de donner un chef aux Français . Buzot et Gorsas tendent ...
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Términos y frases comunes
10 août accusateur public accuse agens armées armes assemblées attentats avaient avez Billaud-Varenne Blérancourt blique Brissot Buzot censeurs CHAPITRE choses citoyens civile cœur comité de salut commerce communes complices conjuration conseil conspirait conspirateurs Constitution Convention nationale coupables crime criminelles d'Orléans Danton décret délibérations denrées départemens dessein détenus devant directoires division doit Dumourier enfans ennemis établi Fabre Fabre d'Églantine factions faiblesse garantie Gironde gouver gouvernemens gouvernement guerre Hérault hommes institutions jour juges justice l'aristocratie l'assemblée nationale l'autorité l'ennemi l'État l'étranger l'Europe législation législatures liberté lois long-temps Louis magistrats malheureux Marat membres ministre mœurs mois monarchie opprimé ourdie paix parler patrie patriotes Pétion peuple Philippeaux politique populaire principes probité publique puni rapport représentans représentation nationale Répu républicain République respect révolution révolutionnaire Robespierre rois royauté s'il Saint-Just salut public Sambre séances sera seront souverain suffrages sûreté générale tion toyens tribunal tribunal révolutionnaire tyrannie Valazé vertu vingt-un ans voulait
Pasajes populares
Página 279 - Aucun ex-noble, aucun étranger des pays avec lesquels la République est en guerre, ne peut habiter Paris, ni les places fortes, ni les villes maritimes, pendant la guerre. Tout noble ou étranger, dans le cas ci-dessus, qui y serait trouvé dans dix jours, est mis hors la loi.
Página 150 - Vous devez resserrer tous les nœuds de la responsabilité, diriger le pouvoir, souvent terrible pour les patriotes et souvent indulgent pour les traîtres. Tous les devoirs envers le peuple sont méconnus. L'insolence des gens en place est insupportable, les fortunes se font avec rapidité.
Página 225 - La Révolution est dans le peuple, et non point dans la renommée de quelques personnages. Cette idée vraie est la source de la justice et de l'égalité dans un État libre; elle est la garantie du peuple contre les hommes artificieux qui s'érigent, en quelque sorte, en patriciens par leur audace et leur impunité. Il ya quelque...
Página 293 - Je déclare qu'on a tenté de mécontenter et d'aigrir les esprits pour les conduire à des démarches funestes, et l'on n'a point espéré de moi sans doute que je prêterais mes mains pures à l'iniquité. Ne croyez pas au moins qu'il ait pu sortir de mon cœur l'idée de flatter un homme! Je le défends parce qu'il m'a paru irréprochable, et je l'accuserais lui-même s'il devenait criminel.
Página 252 - Desmoulins, au momeut où il lisait à quelqu'un l'écrit dans lequel il demandait un comité de clémence pour l'aristocratie, et appelait la Convention la cour de Tibère, Fabre se mit à pleurer. Le crocodile pleure aussi.
Página 182 - État libre ; les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.
Página 64 - ... plus rien sans crime pour sa liberté ; le crime adroit s'érigerait en une sorte de religion , et les fripons seraient dans l'arche sacrée. »Nous n'avons point à craindre maintenant une violente domination; l'oppression sera plus dangereuse et plus délicate : rien ne garantira le peuple qu'une constitution forte et durable, et que le gouvernement ne pourra ébranler. »Le législateur commande à l'avenir; il ne lui sert...
Página 310 - Les politiques grecs qui vivaient dans le gouvernement populaire ne reconnaissaient d'autre force qui pût le soutenir que celle de la vertu. Ceux d'aujourd'hui ne nous parlent que de manufactures , de commerce , de finances , de richesses , et de luxe même.
Página 335 - Les enfants sont vêtus de toile dans toutes les saisons. Ils couchent sur des nattes et dorment huit heures. Ils sont nourris en commun et ne vivent que de racines, de fruits, de légumes, de laitage, de pain et d'eau.
Página 141 - Les agenls choisis sous l'ancien ministère, les partisans des royalistes sont les complices nés de tous les attentats contre la patrie. Vous avez eu peu de ministres patriotes; c'est pourquoi tous les principaux chefs de l'armée et de l'administration, étrangers au peuple pour ainsi dire, ont constamment été livrés aux desseins de nos ennemis.