Histoire de la poésie scandinave: Prolégomènes

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Brockhaus et Avenarius, 1839 - 511 páginas
 

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Página 426 - Qui, portant le tonnerre et la mort dans leurs flancs, Se heurtent dans les airs, et volent sur les vents : De leur mélange affreux les éclairs rejaillissent; La foudre en est formée, et les mortels frémissent.
Página 456 - Sun destre guant en ad vers Deu tendut. Angles del ciel i descendent a lui. AOI CLXXVI 2375 Li quens Rollant se jut desuz un pin; Envers Espaigne en ad turnet sun vis. De plusurs choses a remembrer li prist, De tantes teres cum li bers cunquist, De dulce France, des humes de sun lign, 2380 De Carlemagne, sun seignor, kil nurrit; Ne poet muer n'en plurt e ne suspirt.
Página 454 - Turnat sa teste vers la paiene gent ; Pur ço l'at fait que il voelt veirement Que Caries diet e trestute sa gent, Li gentilz quens, qu'il fut mort cunquerant. Cleimet sa culpe e menut e suvent ; 2365 Pur ses pecchez Deu en puroffrid lo guant*.
Página 426 - Mort pâle et sanglante, étaient à ses côtés. Malheureux, suspendez vos coups précipités ! Mais un destin funeste enflamme leur courage; Dans le cœur l'un de l'autre ils cherchent un passage, Dans ce cœur ennemi qu'ils ne' connaissent pas. Le fer qui les couvrait brille et vole en éclats; Sous les coups redoublés leur cuirasse étincelle , Leur sang, qui rejaillit, -rougit leur main cruelle; Leur bouclier, leur casque, arrêtant leur effort, Pare encor quelques coups, et repousse la mort.
Página 147 - ... la lame des épées ; elles versaient du poison dans les blessures et moissonnaient les guerriers comme le marteau d'Odin « Nous avons combattu avec l'épée! Pourquoi la mort n'est-elle pas plus près du guerrier qui se précipite sur le tranchant des sabres ? Celui qu'ils ne frappent point regrette souvent d'avoir trop vécu , et cependant il est difficile d'exciter le lâche à la lutte du cimeterre ; le cœur lui bat en vain dans la poitrine. « Nous avons combattu avec l'épée! Je tiens...
Página 426 - Leur sang , qui rejaillit , rougit leur main cruelle ; Leur bouclier , leur casque , arrêtant leur effort , Pare encor quelques coups , et repousse la mort. Chacun d'eux , étonné de tant de résistance , Respectait son rival , admirait sa vaillance. Enfin le vieux d'Ailly , par un coup malheureux , Fait tomber à ses pieds ce guerrier généreux. Ses yeux sont pour jamais fermés à la lumière ; Sou casque auprès de lui roule sur la poussière.
Página 300 - Si tú quisieses, señora, yo sería tu servidor » «Vete de ahí. enemigo, malo, falso, engañador, que ni poso en ramo verde, ni en prado que tenga flor ; que si el agua hallo clara, turbia la bebía yo ; que no quiero haber marido, porque hijos no haya, no; no quiero placer con ellos, ni menos consolación.
Página 141 - Nous avons combattu avec l'épée ! J'étais jeune encore quand, à l'orient, dans le détroit d'Eirar, nous avons creusé un fleuve de sang pour les loups, et convié l'oiseau aux pieds jaunes à un large banquet de cadavres ; la mer était rouge comme une blessure qui vient de s'ouvrir, et les corbeaux nageaient dans le sang. « Nous avons combattu avec l'épée...
Página 274 - And they twa met, and they twa plat, And fain they wad be near ; And a' the warld might ken right weel, They were twa lovers dear.
Página 148 - Nous avons combattu avec l'épée ! Cinquante et une fois j'ai planté ma bannière sur le champ de bataille ; au sortir de l'enfance j'appris à rougir ma lance ; jamais je n'ai craint que les guerriers ne trouvassent un chef plus vaillant.

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