Scènes de la vie militaire au MexiqueHachette, 1858 - 295 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 57
Página 17
... main du vétéran et sortit précipitamment . Une minute après , les échos silencieux de la plaine de Calderon se réveillaient sous les pieds des che- vaux , qui partaient au galop . L'étranger , resté seul avec moi , ne parut pas beaucoup ...
... main du vétéran et sortit précipitamment . Une minute après , les échos silencieux de la plaine de Calderon se réveillaient sous les pieds des che- vaux , qui partaient au galop . L'étranger , resté seul avec moi , ne parut pas beaucoup ...
Página 26
... main . Le cavalier qui nous avait rejoints était grand , svelte et d'une physionomie toute prévenante . « Venez donc , mon neveu , s'écria don Ruperto , nous ferons route ensemble ; car nous n'avons pas de secrets à nous dire devant ce ...
... main . Le cavalier qui nous avait rejoints était grand , svelte et d'une physionomie toute prévenante . « Venez donc , mon neveu , s'écria don Ruperto , nous ferons route ensemble ; car nous n'avons pas de secrets à nous dire devant ce ...
Página 32
... je cours lui faire honte de sa conduite , car je sais à peu près où le trouver . » En disant ces mots , le sous - officier se leva avec tout l'empressement d'un joueur qui espère mettre la main sur 32 SCÈNES DE LA VIE MILITAIRE.
... je cours lui faire honte de sa conduite , car je sais à peu près où le trouver . » En disant ces mots , le sous - officier se leva avec tout l'empressement d'un joueur qui espère mettre la main sur 32 SCÈNES DE LA VIE MILITAIRE.
Página 33
Gabriel Ferry. tout l'empressement d'un joueur qui espère mettre la main sur une martingale . Bientôt il fut au bout de l'allée et hors de vue de ses camarades . « Notre cabo est un fin limier , dit après quelques instants de silence l ...
Gabriel Ferry. tout l'empressement d'un joueur qui espère mettre la main sur une martingale . Bientôt il fut au bout de l'allée et hors de vue de ses camarades . « Notre cabo est un fin limier , dit après quelques instants de silence l ...
Página 38
... main droite en tenant dans leur main gauche une inutile fourchette . Tous les usages mexicains étaient oubliés ce soir- là ; on but largement des vins capiteux , et chacun but dans son verre double dérogation aux habi- tudes du pays ...
... main droite en tenant dans leur main gauche une inutile fourchette . Tous les usages mexicains étaient oubliés ce soir- là ; on but largement des vins capiteux , et chacun but dans son verre double dérogation aux habi- tudes du pays ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Abasolo Albino Andrès arriver avaient Bajan barranca del Salto bataille de Calderon Berrendo bientôt bord brick bruit C'était cabane cabo Calderon canon capitaine Castaños cavalier chasseur chefs chercheur de traces cheval citerne colline colonel compagnons contrebandier côté coup Cristino Vergara Cureño d'Albino d'Andrès d'Hidalgo derrière devant dis-je dit-il don Faustino don Ramon don Ruperto dragons Elizondo espagnol eût faucheur de nuit Fleur-de-Liane fleuve galop gaucho général Rayon Guadalajara guerre de l'indépendance guerrillero hacienda halte Hidalgo hutte Indiens instant insurgés j'ai j'avais j'étais Jalapa Jalisco jeté jeune fille jeune homme jour l'hacienda l'Indien laissé lune m'avait m'écriai-je main marche ment mexicaine Mexique Monclova n'avait noria OEil-Double Palos-Mulatos passer plaine pont de lianes Púcuaro répondit reprit révolution mexicaine route Ruperto Castaños s'écria s'était Saltillo San-Blas sarape Saturnino seigneur selle semblait sentier seul silence soif soldats soleil souper Tehuacan Tepic Teran tête Valdivia venait vieillard Villa-Señor voix voyageurs yeux Zacatecas
Pasajes populares
Página 280 - Rerrendo à Andrès quand ils se retrouvèrent seuls, ce faucheur de nuit... — N'était qu'un drôle qui jouait le rôle qu'on lui avait tracé, mais qui n'était pas de force à lutter contre moi. — Il vous a confessé que ce fourrage était empoisonné? — Il ne m'en a pas dit un mot; nous n'avons causé que du beau temps et des dernières pluies, répondit Andrès en achevant de débrider son cheval. — Et cela vous a suffi? — Parbleu! j'ai deviné la pensée de bien des gens en moins...
Página 238 - ... l'insurgé crut entendre un rugissement rauque qui l'effraya si fort, que, préférant l'ennemi de chair et d'os aux hôtes terribles que semblait renfermer la grotte, il s'élança au dehors. Le chemin était libre, et Berrendo put reprendre sa route. En moins de deux heures , il atteignit Pûcuaro, et ce ne fut qu'alors qu'il crut pouvoir respirer plus librement ; mais il comptait sans une nouvelle rencontre. En traversant la rue principale de Pûcuaro pour gagner, le meson qui devait le recevoir,...
Página 96 - C'était un vieux métis, très vigoureux encore, malgré ses cheveux blancs, et qui à l'agilité d'un jeune homme joignait l'expérience d'un vieillard. Cet homme, qu'on désignait par le surnom significatif d'Œil-Double, paraissait, en effet, doué du don de seconde vue. 11 semblait qu'aucune trace ne pût lui échapper sur le sol, et qu'aucune piste ne pût le tromper dans l'air; il semblait encore que les pensées les plus cachées prissent un corps devant sa miraculeuse pénétration. Un fait...
Página 282 - D'ici à une demi-heure, nous irons voir en quel état se trouve le cheval qui a mangé sa ration de luzerne. L'événement confirma de tout point l'assertion du chercheur de traces. Le pauvre animal ne tarda pas à expirer dans les convulsions du poison, et un immense brasier consuma bientôt sur la place la dernière parcelle du fourrage qui, sans l'intervention d'Andrès, eût été si fatale à la cavalerie de Teran.
Página 288 - D'après les renseignemensque le chercheur de traces avait recueillis, on devait prendre la direction de l'est; mais des marais impraticables empêchaient de suivre la direction indiquée : il fallut presque rebrousser chemin, et les hommes se décourageaient. Berrendo chevauchait en silence à côté du chercheur de traces, qui s'avançait sombre et résigné, prêtant l'oreille au sourd et imposant murmure des eaux lointaines, dont un rideau d'arbres cachait la vue. — Nous sommes près d'un fleuve,...
Página 151 - L'hacienda , ainsi que je pus le voir en me glissant à travers les arbres , formait un grand parallélogramme massif, soutenu par d'énormes contre-forts de pierres de taille et percé seulement sur le côté tourné vers la sierra de quelques rares fenêtres, ou plutôt de meurtrières garnies de gros barreaux de fer. Une muraille d'enceinte, haute, large et crénelée, qui s'élevait sur un des côtés de ce parallélogramme, comprenait la cour, les écuries, les remises et les granges. La garnison...
Página 260 - ... mesures nécessaires pour en rendre les issues praticables. Il y vint lui-même avec quelques hommes munis de torches et de haches. A peine avait-il franchi le seuil, qu'une nuée épaisse de chauves-souris, effrayées par l'éclat inusité des lumières, se précipitèrent sur les torches et les éteignirent, mais non cependant sans qu'on eût pu entrevoir une merveilleuse colonnade de stalactites formées de nitre pur. Pour des gens qui cherchaient partout les substances nécessaires à la...
Página 179 - Toutefois, avant de rentrer à la venta, je tenais à éclaircir un doute que le récit du capitaine laissait subsister en moi. — Et Cureño, disje à don Ruperto, son pays s'est-il au moins souvenu de lui? Son nom ne vivra-t-il pas dans la mémoire des Mexicains à côté de celui du général qu'il a sauvé par son héroïque dévouement ? — Hélas! me répondit don Ruperto, quelques lignes consacrées au vieux soldat par les historiens de la guerre de l'indépendance, voilà quelle a été...