Pierre-Jean Mariette, 1694-1774

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Página 180 - Il démontre qu'il en est de même des anciennes voies romaines, et de celle d'AppiusClaudius, en particulier : il cite aussi les murs de Rome élevés sous le règne de Tarquin ; les fondations de l'ancien Capitule, l'émissaire du lac Albano, et quelques anciens édifices qui furent construits de gros quartiers de pierres, dans les premiers temps de la république, et qui servent encore aux mêmes usages que dans leur origine '. L'opinion de Piranesi avait excité une certaine émotion parmi les...
Página 163 - Tous les arts , tous les goûts , tous les talents de plaire: Pompadour, vous embellissez La cour, le Parnasse, et Cythère. Charme de tous les cœurs, trésor d'un seul mortel, Qu'un sort si beau soit éternel! Que vos jours précieux soient marqués par des fêtes! Que la paix dans nos champs revienne avec Louis! Soyez tous deux sans ennemis, Et tous deux gardez vos conquêtes.
Página 167 - ... que soit pour M. de Soubise cette commission que je lui donne, il la doit regarder comme une preuve certaine de la confiance que sa probité, et ses vertus m'ont inspirée pour lui. Je le prie d'accepter deux de mes bagues, l'une, mon gros diamant couleur d'aigue-marine , l'autre, une gravure de Guay représentant l'Amitié. Je me flatte qu'il ne s'en défera jamais , et qu'elles lui rappelleront la personne du monde qui a eu pour lui la plus tendre amitié.
Página 83 - Ce ne sont pas, comme on le voit, des desseins achetés un à un , ce sont des cabinets entiers, et des cabinets de la première réputation, qui se sont réunis chez M. Crozat, et qui ont fait du sien le plus grand cabinet de dessins qui, on ose le dire, ait jamais été.
Página 14 - Voyez mon petit Caylus, il a déjà tué un de mes ennemis. » Son avancement fut rapide, grâce au nom qu'il portait et à l'influence de sa famille, alliée de près à madame de Maintenon.
Página 82 - M» Crozat, de retour à Paris, continua d'entretenir des correspondances en Italie, et il en fit venir , en différents temps , la collection entière du sieur Pio, de Rome; celle du sieur Lazari, de Venise, du chevalier Ascagne...
Página 267 - Les ouvrages n'y étaient prisés qu'autant qu'ils s'éloignaient de la noble simplicité de la nature. 11 fallait, pour avoir de la réputation, outrer les caractères, charger inconsidérément les muscles, donner à ses figures des contorsions et des attitudes aussi fausses que bizarres. On faisait passer ces défauts pour des coups de l'art, et l'on admirait les Spranger, les Goltzius et leurs semblables.
Página 99 - Caylus, à l'antique, aux grands maîtres mqdernes et à la nature. On ne peut rendre compte du nombre des études qu'il avait faites dans tous les genres à Rome, et il est certain que, par goût et par raison, il en fit sa principale occupation pendant son séjour. Aussi était-il en état d'exécuter le plus grand comme le plus petit objet, avec une égale facilité et un égal degré de perfection. » Les pierres gravées du Cabinet du Roi, qu'il avait dessinées pour le comte de Caylus, en sont...
Página 132 - ... Je suis trop vivement touché des soins que je lui ai vu prendre pour se signaler en cette occasion et mériter la place honorable qui lui étoit destinée ; j'aime aussi à lui voir traiter un sujet qui interprète des sentiments vifs et respectueux de l'Académie, nous montre le génie du dessein à qui Apollon fait part de ses lauriers, ou, pour parler un langage moins allégorique, le roi qui fait à l'Académie l'honneur de s'en déclarer le...

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