Histoire de la commune de Montpellier: depuis ses origines jusqu'à son incorporation définitive à la monarchie française, Volumen2

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J. Martel ainé, 1851

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Página 62 - Domino inspirante feceritis, ad eterne possitis felicitatis gaudia pervenire. Nos enim, de omnipotentis Dei misericordia et beatorum Pétri et Pauli, apostolorum ejus, auctoritate confisi...
Página 282 - Dieu, de madame sainte Marie de Valence, de Notre-Dame-des-Tables de Montpellier et du roi Jacques qui y naquit ; ils les éprouveront tant en ce monde que dans l'autre, et. de plus ils seront agréables au roi lui-même et ils conserveront la bonne amitié qui doit exister à jamais entre eux et nous, s'il plaît...
Página 281 - Je prie et conjure, au contraire, tons les seigneurs, riches-hommes, chevaliers, citoyens, marchands, patrons de navires, mariniers, almogavares, soldats à pied, qui habitent les terres du roi d'Aragon, de Majorque, de Sicile, d'aimer et d'honorer de tout leur pouvoir les personnes de Montpellier qu'ils pourront rencontrer. Et s'ils agissent ainsi, ils en éprouveront les grâces de Dieu, de madame...
Página 165 - Et leur donnoit et faisoit banquets et soupers grands et beaux, et bien étoffés, et leut donnoit anals d'or et fremaillets à chacune, selon qu'il véoit et considéroit qu'elle le valoit. Tant fit le roi que il acquit des dames de Montpellier et des damoiselles grands grâces. Et voulsissent bien les aucunes que il fût là demeuré plus longuement qu'il ne fit, car c'étoient tous reviaux, danses, caroles et soulas tous les jours, et toujours à recommencer.
Página 165 - France eut pris ses ébattemens en la bonne ville de Montpellier environ quinze jours, le plus avec les dames et damoiselles, et il et ses consaulx eurent bien parfaitement entendu aux besognes nécessaires de la ville, car principalement c'étoit la cause pourquoi il y étoit venu, et tout réformé et mis en bon état selon l'avis et ordonnance de son plus espécial conseil, et ôté et abattu plusieurs oppressions dont les bonnes gens de la dite ville avoient été travaillés, il prit congé...
Página 280 - Je vous dirai , en outre , que le roi d'Arragon n'a pas eu et n'aura jamais des gens qui chérissent plus les descendants du roi En Jacques, que les bons habitants de Montpellier. Mais , depuis ce temps , il y est venu des gens de Cahors, de Figeac, de SaintAntoine, qui trouvaient le pays excellent, ainsi que des gens d'autres contrées ; et ces hommeslà ne sont point originaires de Montpellier. C'est ce qui a fait que la maison de France ya établi son autorité '. Mais soyez bien assurés que...
Página 378 - En tesmoing de ce , nous avons fait mettre nostre scel à ces présentes. Donné au Loriot le viij" jour de juillet, l'an de grâce mil quatre cens cinquante et deux.
Página 165 - Montpellier est une puissante ville et riche et garnie de grand'marchandise; et moult le prisa le roi, quand il eut vu et considéré leur fait et leur puissance. Et bien fut dit au roi que, sans comparaison, elle avoit été trop plus riche que pour le présent on ne la trouvoit , car le duc d'Anjou et le duc de Berry, chacun à son tour, l'avoient malement pillée et robée; dont le roi plaignoit les bonnes gens qui avoient eu si grand dommage, et disoit et leur promettoit que il y pourvoieroit,...
Página 95 - Au nom de la sainte et indivisible Trinité , du « Père , du Fils et du Saint-Esprit ! « Au temps où le pape Calixte n , et l'auguste em...
Página 279 - D'APRÈS les promesses du roi de France , le roi de Majorque fut tranquille sur le sort de Montpellier; et cependant, malgré ces assurances , il fut trompé par le roi de France, qui fit un échange avec l'évêché de Maguelone , contre ce que ledit évêché possédait à Montpellier.

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