Oeuvres poétiques, Volumen2Lefèvre, 1668 |
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... 'est que des personnes un peu sérieuses ne traitent de badi- neries le procès du chien et les extravagances du juge . Mais enfin je traduis Aristophane , et l'on doit se souvenir qu'il avoit affaire à des specta- teurs PRÉFACE . 5.
... 'est que des personnes un peu sérieuses ne traitent de badi- neries le procès du chien et les extravagances du juge . Mais enfin je traduis Aristophane , et l'on doit se souvenir qu'il avoit affaire à des specta- teurs PRÉFACE . 5.
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... Enfin , vaille que vaille , J'aurois sur le marché fort bien fourni la paille . C'est dommage : il avoit le cœur trop au métier ; Tous les jours le premier aux plaids , et le dernier ; Et bien souvent tout seul , si l'on l'eût voulu ...
... Enfin , vaille que vaille , J'aurois sur le marché fort bien fourni la paille . C'est dommage : il avoit le cœur trop au métier ; Tous les jours le premier aux plaids , et le dernier ; Et bien souvent tout seul , si l'on l'eût voulu ...
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... enfin vous persuade ; Et pour votre santé ... DANDIN . Je veux être malade . LÉANDRE . la Vous ne l'êtes que trop . Donnez - vous du repos ; Vous n'avez tantôt plus que DANDIN . peau sur les os . Du repos ? Ah ! sur toi tu veux régler ...
... enfin vous persuade ; Et pour votre santé ... DANDIN . Je veux être malade . LÉANDRE . la Vous ne l'êtes que trop . Donnez - vous du repos ; Vous n'avez tantôt plus que DANDIN . peau sur les os . Du repos ? Ah ! sur toi tu veux régler ...
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... Enfin , pour se chauffer , venir tourner ma broche ! Voilà comme on les traite . Hé ! mon pauvre garçon , De ta défunte mère est - ce là la leçon ? La pauvre Babonnette ! Hélas ! lorsque j'y pense , Elle ne manquoit pas une seule ...
... Enfin , pour se chauffer , venir tourner ma broche ! Voilà comme on les traite . Hé ! mon pauvre garçon , De ta défunte mère est - ce là la leçon ? La pauvre Babonnette ! Hélas ! lorsque j'y pense , Elle ne manquoit pas une seule ...
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... enfin : Diantre ! l'amour vous tient au cœur de bon matin . Vous me voulez parler sans doute d'Isabelle . Je vous l'ai dit cent fois elle est sage , elle est belle ; Mais vous devez songer que monsieur Chicaneau De son bien en procès ...
... enfin : Diantre ! l'amour vous tient au cœur de bon matin . Vous me voulez parler sans doute d'Isabelle . Je vous l'ai dit cent fois elle est sage , elle est belle ; Mais vous devez songer que monsieur Chicaneau De son bien en procès ...
Términos y frases comunes
ACOMAT Adieu AGRIPPINE aime ALBINE Allez Allons amant amour Amurat ANTIOCHUS ARSACE ATALIDE avoit Bajazet BÉRÉNICE bontés BRITANNICUS BURRHUS Byzance César Cézy cher CHICANEAU ciel cœur COMTESSE connois cour courroux crainte crime cruel d'Agrippine DANDIN déja desirs dessein dieux dire dis-je discours douleur empereur enfin esclave étoit frère funeste fureur gloire grace Hélas hymen ingrat ISABELLE j'ai j'en j'ose janissaires jour JUNIE l'ai l'amour l'empereur l'empire l'ingrat L'INTIMÉ l'univers laisse larmes LÉANDRE lieux long-temps m'aime m'en madame main malheur moi-même monsieur mort n'étoit NARCISSE Néron Orcan OSMIN Pallas parler PAULIN pensée père perfide périls PETIT JEAN PETIT-JEAN peut-être PHÉNICE plaire pleurs pouvoit prince prompt qu'à reconnoissance reine rien rivale Rome ROXANE s'il sais sang SCÈNE VII secret seigneur sénat Sénéque sérail sergent seul soins sort SOUFFLEUR soupçons soupirs sultan témoins TITUS tragédie triste trouble vais vertu veut veux vœux voilà vois vous-même yeux ZAIRE ZATIME
Pasajes populares
Página 10 - Avait graissé la patte à ce pauvre animal. Depuis ce bel arrêt, le pauvre homme a beau faire, Son fils ne souffre plus qu'on lui parle d'affaire. Il nous le fait garder jour et nuit, et de près : Autrement, serviteur, et mon homme est aux plaids.
Página 140 - Narcisse ; elle a paru jusque dans son silence. Elle aime mon rival, je ne puis l'ignorer: Mais je mettrai ma joie à le désespérer. Je me fais de sa peine une image charmante ; Et je l'ai vu douter du cœur de son amante.
Página 123 - J'ai voulu lui parler, et ma voix s'est perdue; Immobile, saisi d'un long étonnement, Je l'ai laissé passer dans son appartement. J'ai passé dans le mien.
Página 232 - S'égarait, cher Paulin, par l'exemple abusée, Et suivait du plaisir la pente trop aisée. Bénénice me plut. Que ne fait point un cœur Pour plaire à ce qu'il aime, et gagner son vainqueur ! Je prodiguai mon sang : tout fit place à mes armes : Je revins triomphant. Mais le sang et les larmes Ne me suffisaient pas pour mériter ses vœux : J'entrepris le bonheur de mille malheureux : On vit de toutes parts mes bontés se répandre : Heureux, et plus...
Página 188 - Poursuis, Néron, avec de tels ministres; Par des faits glorieux tu te vas signaler; Poursuis. Tu n'as pas fait ce pas pour reculer. Ta main a commencé par le sang de ton frère; Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Página 164 - Du prince déjà mort demandait la santé. Enfin, des légions l'entière obéissance Ayant de votre empire affermi la puissance. On vit Claude; et le peuple, étonné de son sort, Apprit en même temps votre règne et sa mort.
Página 163 - J'eus soin de vous nommer, par un contraire choix, Des gouverneurs que Rome honorait de sa voix: Je fus sourde à la brigue, et crus la renommée; J'appelai de l'exil, je tirai de l'armée Et ce même Sénèque, et ce même Burrhus, Qui depuis .... Rome alors estimait leurs vertus.
Página 176 - Ponr tonte ambition , ponr vertn singnlière , • 11 excelle à condnire nn char dans la carrière , - A dispnter des prix indignes de ses mains ,