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3. 9.

4.

Դ

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49, a un son plus fort que le g ou gu, et moins que le k qth, a aussi le son entre le t et le d; il porte à-peu-près la même valeur que le thêta grec prononcé par les Ioniens de l'Asie-Mineure.

5.b l'epsilon grec, ou é fermé des français, ou ie pro

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noncé vite.

qz français tout-à-fait.

6..0 L 7. Է է

nêta grec, ou é long français.

8. Le muet français ou un peu plus fort.

9. français ou v tau grec.

10. JJ français tout-à-fait. 11. ֆ ի i ou y en français.

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12. LL / ou à lambda du grec.

13.

Ju kh, se prononce

comme le χ des grecs, ou comme le

khe des arabes et le che des allemands.

14. zêta grec prononcé fortement, ou comme de français

ou comme z italien dans le mot zizzania.

15. ч 4 gou gu français partout.

16.

17. 2

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h aspiré ou l'esprit rude des grecs.

& thz; cette lettre sonne plus fortement que le z italien et moins que le tz des allemands.

18. 9, 7 gh, a la valeur du

19.

20.

21. 3,

gamma, dans la prononciation

grecque, ou du ghain des arabes.
dj en français, ou g italien devant e i.
m français ou grec.

i,h, se prononce tantôt comme i ou iôtạ
comme un faible h, tantôt il est muet.

grec, tantôt

que, pour les écrire, on opère une espèce de grattement, car chez les anciens, le mot écrire signifiait aussi gratter. Homère a dit: Maintenant que j'ai écrit sur (que j'ai gratté, frotté) ton pied, ce sera en vain que tu te vanteras (1).

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24. በ n 6 bref, ou l'omicron o grec.

25. 2 tch, ou le c des italiens devant e, i.
25.2 2
26.b français tout-à-fait.

27.dch, a le son plus doux que le c italien.
n", rh fort, ou comme un double rr.

28. Ռ 29. U

30.

31. S

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:

32. Ր 33.89 34.

35.

L

36. ff

37. 0

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r doux, ou, entre deux voyelles, comme dans Paris. tz des allemands.

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l'upsilon grec ou l'u français; mais les modernes le prononcent aussi souvent comme » français, ou comme un h aspiré.

grec ou p francais tout-à-fait.

k fort en français ou chez les Romains.

l'oméga grec ou ó long français. Les Arméniens l'empruntèrent des Latins du temps des Princes

croisés..

38. $ph ou f. Cettre lettre a été empruntée des grecs, vers

le 13e siècle.

(1) Cette citation de l'original grec est tirée de l'Iliade (2 388 ). Le traducteur ne se sert ici que du verbe simple qut, vpápw, j'écris, mais un des commentateurs arméniens anonymes, emploie en parlant de ce passage, le verbe Swqwqp, Entypage j'écris dessus : et

τακτικὰ δύο, καὶ

~

८४

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nut

o, w* @poroxrixo dà lé-stat, ռաջադիրձայնաւորքենվեց, ὅτι ποτασσόμενα τῇ ι καὶ τὸ υ ώ, Κ, Ε, &, GuAop moreÀËí al, tu. Two- - ջադիրք ասին, զինախադա ralia di 30, 1, wel v. T ս Dè äviore rpolaluxóv icւ r8 1, * ¿v Iã μvĩa xai äpævla, viòs xai cois օuoious. Aiplo-ou dé isı» iğ, al, au, oi, el, el, u. Հմpwva à ta Aouma irloxaíswax Թ, 7, 3, Հ, 9, ×, ձ, ս, », է,

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L

սելով զինւն, եւ զիւնիւն՝ շաղաշարս կատարեն ոպլ ú, úß : be vonpwqwvg են երկու, ի, ւ։ Եւ ինդ է ուրեք՝ զի վաղադասական է քան զւիւն, ոպ յիմաստու_ թունդ, եւ յարդիւնդ: Երկ_ են բունք՝ Հինգ ,

բարբառք

աւ, եւ, ու, աի, ռի. եւ բռ նաբարբառ երկձայք՝ երեք, էւ, ըւ, իւ։ Եւ այլքն ամք

comme on laisse partout où l'on écrit, la trace des lettres qu'on forme, Homère a pu dire au figuré: j'écrirai sur ta jambe, pour je ferai sur ta jambe une blessure telle qu'il y restera une cicatrice, un signe de ma vengeance et de ta punition. Molière, dans le Médecin malgré lui, fait dire à Sganarelle : ma petite femme je te frotterai, pour, je te batterai. La même figure est passée dans le langage populaire, donner ou faire une apostrophe, signifie frapper de manière que celui qui a reçu le coup en porte la marque.

(1) Les signes alphabétiques, en tant qu'ils sont des traits peints sur le papier ou tout autre corps, s'appellent lettres; mais si on les considère comme autant de voix ou d'articulations, les mêmes signes sont nommés élémens ou voix élémentaires. Une voix quelconque, quand elle sort de la bouche, ne produit qu'un son; elle est regardée alors, par les grammairiens, comme une expulsion d'air, une chose immatérielle, une sorte d'esprit; mais quand ce son est représenté par un signe visible, il s'opère un changement dans sa nature, une espèce de mixtion d'un objet corporel avec une chose qui n'a pas de corps. Il existe aussi, dans les élémens de la voix, une graduation marquée: car il y a des lettres qui se prononcent faiblement, d'autres avec plus ou moins de force; quelques unes s'expriment par le simple

مو

Les mêmes lettres sont appelées aussi élémens (1), parce qu'il existe entre elles une espèce d'incorporation et de graduation. Il y a huit voyelles, savoir: a, é‚ꂤ‚ i, ó, u, ô; on les nomme voyelles parce qu'elles produi→ sent un son d'elles-mêmes sans le secours d'autres lettres. Deux de ces voyelles sont longues, savoir é, ô; trois sont brèves, savoir é, ó, ú, et trois sont de double mesure, savoir u, e, i; on les appelle ainsi, parce que leur voix est tantôt longue et tantôt brève.

On compte six voyelles prépositives qui sont a, é, é, e, i, ó; on les nomme ainsi, parce qu'étant placées devant i et u, elles forment des syllabes (diphthongues) comme au, ai.

Il y a en outre deux voyelles post-positives qui sont i et u, mais i se place aussi quelquefois avant la voyelle u comme dans les mots իմաստութիւն, sagesse ; արդիւն, mérite (2).

On distingue cinq diphthongues propres, savoir: au, éu, ou, ay, oy, et trois diphthongues coactives, savoir: éu, eu, iu.

mouvement des lèvres, plusieurs par l'organe du palais ou du gosier; et c'est pour indiquer ces sortes de nuances, qu'on emploie ici les mots: incorporation, graduation.

(2) Dans ces deux mots, qui s'écrivent en arménien, dwumne Pr, imasdoutioun (sagesse), mubi, arthioun (mérite), et dans quantité d'autres semblables, les deux lettres fe iu, ou iou, forment une diphtongue; et c'est uniquement pour indiquer cette circonstance, que le traducteur arménien a choisi ces deux mots comme étant prø→ pres à donner un exemple conforme à la dictée de la règle, et applicables en même temps à la langue arménienne. S'il fallait ici un exemple qui fût en rapport avec le latin et le français, on se servirait des mots Dionysius, Apollonius, etc.

έντων

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բազաձայնք՝ են քսան եւ վեց, բ, գ, դ, զ, թ, ժ, լ, խ, ծ, կ, ձ, ղ, ճ, մ, ն,շ, չ, պ, ջ, ռ, ս, տ, ր, ց, փ,ք։ Եւ շարա ձայնք ասին. վս զի սոքա իւ րեանց ինչ առանձինն ձայն՝ յինքեանս ոչ ունին . բայց՝

7, ՞, -, t,, X, ֆ* s'uve δὲ λέγεται, ὅτι ἀυτὰ μὲν καθ ̓ goura Öavoël * ouvra ἑαυτὰ φωνὴν οὐκ ἔχει· συντάσ c%ukoz 3 urod r@ av– σόμενα δὲ μετὰ τῶν φωνη kwu, @wv) ËmoreAs7. T:_ Tv huipov uèv özl, է, է, ,, ձ, թե, 2, P, օ պաipաv 3à λέγεται, ὅτι παρ ὅσον ἧττον τῶν Aé-sroe, 'm: m %-ov frrov r շարակածելով ը ձայնաւոր _ φωνηέντων εὔφωνα καθέστηκεν, ἐν Փաvév\wu elqova xaxléalev, v ls lois uuuois wal auois. Avo » ՄÉ åalí åvvéa, Թ,, 8, 9, *, w, r, փ, X* pաv dà Àë-la, փա lւ u&xov v v èoli ww6- - միջակք վս այնորիկ անուա ὅτι μᾶλλον τῶν ἄλλων ἐστὶ κακόφωνα· ὡςπερ • wsms avov é -oup τραγῳδὸν τὸν κακόφωνον. Τέτων Tpaաop rov Æápovo». Tr» Lia è rpia, w, 7, c. José §à rpi 9, փ, x* ués à rod

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սըն՝ ձայն բացակատարեն։ Էւ են սոքտ (՛ի սոցանէ)՝ նուրբք տասն, եւ ստուարք ինն, եւ միջակք եւթն: Եւ

նեցան, զի քան զնուրբմն՝ յոյրք են , եւ քան զյոյրմն՝ նուրբք։ Եւեն միջակք եւթն ի մէջ բարակացն եւ յոյրի ցըն՝ բ, գ, դ, ձ, ղ, ճ, ժ։ Էւ թաւք ինն՝ փ, ք, խ, թ, լ, ց, չ, ջ, ռ, եւ լերկք տամն՝ պ, կ, տ, զ, ն, ծ, շ, մ, ս, ը: Եւ են միջակքն բեն ՛ի մէջ մենի, պէի, եւ փիւրի . վսզի

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(1) Nous avons vu plus haut que les lettres de l'ancien alphabet arménien étaient au nombre de 36; mais en les divisant en voyelles et en consonnes, et en voulant indiquer leurs propriétés particulières, le traducteur arménien a eu soin de s'écarter le moins possible du texte grec, et par cette raison il n'a pas placé dans la série des voyelles simples, la lettre arménienne J, semi--voyelle, qui manque dans la langue grecque. Il a également omis dans la liste des consonnes, les lettres arméniennes, h, 4, v., qui n'ont pas non plus d'analogues dans l'alphabet grec.

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