Œuvres, Volumen11805 |
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... pleurs ! Mes yeux depuis six mois étaient ouverts aux larmes , Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits ! Mais en sont - ils aux mains ...
... pleurs ! Mes yeux depuis six mois étaient ouverts aux larmes , Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits ! Mais en sont - ils aux mains ...
Página 22
... pleurs ne m'ont de rien servi ; Et le courroux du sort voulait être assouvi . O toi , Soleil , ô toi , qui rends le jour au monde , Que ne l'as - tu laissé dans une nuit profonde ! A de si noirs forfaits prêtes - tu tes rayons ? Et peux ...
... pleurs ne m'ont de rien servi ; Et le courroux du sort voulait être assouvi . O toi , Soleil , ô toi , qui rends le jour au monde , Que ne l'as - tu laissé dans une nuit profonde ! A de si noirs forfaits prêtes - tu tes rayons ? Et peux ...
Página 36
... pleurs , Et comme il faut enfin fait parler mes douleurs ! ANTIGONE , seule . Et si tu prends pitié d'une flamme innocente , O cicl , en ramenant Hémon à son amante , Ramène - le fidèle : et permets , en ce jour . , Qu'en retrouvant l ...
... pleurs , Et comme il faut enfin fait parler mes douleurs ! ANTIGONE , seule . Et si tu prends pitié d'une flamme innocente , O cicl , en ramenant Hémon à son amante , Ramène - le fidèle : et permets , en ce jour . , Qu'en retrouvant l ...
Página 46
... pleurs ? N'accorderez - vous rien aux larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se peut , retenez votre frère : Le cruel pour vous seule avait de l'amitié . > > ANTIGONE . Ah ! si pour vous son âme est sourde à la pitié , Que pourrais - je ...
... pleurs ? N'accorderez - vous rien aux larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se peut , retenez votre frère : Le cruel pour vous seule avait de l'amitié . > > ANTIGONE . Ah ! si pour vous son âme est sourde à la pitié , Que pourrais - je ...
Página 48
... pleurs perfides à ce point ; Avec vos ennemis ils ne conspirent poiut . Cette pais que je veux me serait un supplice S'il en devait coûter le sceptre à Polynice ; Et l'unique faveur , mon frère , où je prétends , C'est qu'il me soit ...
... pleurs perfides à ce point ; Avec vos ennemis ils ne conspirent poiut . Cette pais que je veux me serait un supplice S'il en devait coûter le sceptre à Polynice ; Et l'unique faveur , mon frère , où je prétends , C'est qu'il me soit ...
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Términos y frases comunes
aime alarmes ALEXANDRE Allez Allons amant âme amitié amour ANDROM AQUE ANDROMAQUE ANTIGONE armes ATTALE Aussi-bien AXIANE bras Buthrote cæur caur CÉPHISE charmes cher chercher ciel CLÉOFILE CLÉONE colère combat courage couronne courroux cours craint CRÉON crime cruel d'Alexandre dessein diadême Dois-je douleur En-vain enfin ennemi Épire ÉTÉOCLE faut-il fils d'Hector flatte frère funeste fureur gloire Grecs haîne haïr Hector Hélas Hémon HERMIONE héros hymen j'ai j'irai JOCASTE l'aime l'amour l'Épire l'ingrat laisse larmes lieux long-tems m'en madame madame de Maintenon main malheureux Ménécée moi-même mort mourir Oh dieux OLYMPE ORESTE paix par-tout père peuple peut-être PHENIX pleurs POLY Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu’un Racine régner rien rival rois s'il sais sang sans-doute sauver SCÈNE seigneur seul seur soins songe sort souffrir soupirs Taxile tems Thébains Thèbes tragédie trépas Troie trône Troyens tyran væux vainqueur vais venger veut veux victoire vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 184 - Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle ; Et déjà son courroux semble s'être adouci Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici.
Página 180 - ... d'Astyanax. On ne croit point qu'elle doive aimer ni un autre mari, ni un autre fils. Et je doute que les larmes d'Andromaque eussent fait sur l'esprit de mes spectateurs l'impression qu'elles y ont faite, si elles avaient coulé pour un autre fils que celui qu'elle avait d'Hector.
Página 238 - Parle-lui tous les jours des vertus de son père ; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère. Mais qu'il ne songe plus , Céphise , à nous venger ; Nous lui laissons un maître , il le doit ménager. Qu'il ait de ses aïeux un souvenir modeste : Il est du sang d'Hector , mais il en est le reste ; Et pour ce reste enfin j'ai moi-même, en un jour, Sacrifié mon sang , ma haine et mon amour. CÉPHISE. Hélas ! ANDROMAQUE. Ne me suis point , si ton cœur en alarmes Prévoit qu'il ne pourra commander...
Página 250 - Mais, seigneur, s'il le faut, si le ciel en colère Réserve à d'autres yeux la gloire de vous plaire, Achevez votre hymen, j'y consens; mais, du moins, Ne forcez pas mes yeux d'en être les témoins. Pour la dernière fois je vous parle peut-être ; Différez-le d'un jour, demain vous serez maître Vous ne répondez point?...
Página 203 - Fuyons. . . . Mais si l'ingrat rentrait dans son devoir ! Si la foi dans son cœur retrouvait quelque place ! S'il venait à mes pieds me demander sa grâce ! Si sous mes lois, Amour, tu pouvais l'engager ! S'il voulait ! ... Mais l'ingrat ne veut que m'outrager.
Página 196 - Le fils d'Agamemnon vient hâter son supplice. ANDROMAQUE. Et vous prononcerez un arrêt si cruel? Est-ce mon intérêt qui le rend criminel? Hélas? on ne craint point qu'il venge un jour son père; On craint qu'il n'essuyât les larmes de sa mère.
Página 199 - II faut vous oublier , ou plutôt vous haïr. Oui , mes vœux ont trop loin poussé leur violence Pour ne plus s'arrêter que dans l'indifférence ; Songez-y bien : il faut désormais que mon cœur , S'il n'aime avec transport, haïsse avec fureur.
Página 253 - Où suis-je? Qu'ai-je fait? Que dois-je faire encore? Quel transport me saisit? Quel chagrin me dévore? Errante et sans dessein, je cours dans ce palais. Ah! ne puis-je savoir si j'aime ou si je hais? Le cruel ! de quel œil il m'a congédiée : Sans pitié, sans douleur au moins étudiée ! L'ai-je vu se troubler et me plaindre un moment?
Página 244 - Là, de mon ennemi je saurai m'approcher ; Je percerai le cœur que je n'ai pu toucher ; Et mes sanglantes mains, sur moi-même tournées. Aussitôt, malgré lui, joindront nos destinées : Et, tout ingrat qu'il est, il me sera plus doux De mourir avec lui, que de vivre avec vous.
Página 248 - Quoi ? sans que ni serment ni devoir vous retienne, Rechercher une Grecque, amant d'une Troyenne? Me quitter, me reprendre, et retourner encor De la fille d'Hélène à la veuve d'Hector? Couronner tour à tour l'esclave et la princesse ; Immoler Troie aux Grecs, au fils d'Hector la Grèce ? Tout cela part d'un cœur toujours maître de soi, D'un héros qui n'est point esclave de sa foi.