Victor étaient exempts de tâches, de chevauchées et généralement de tous impôts envers le comte de Provence, puisqu'ils ne sont pas mentionnés dans les Statuts de Fréjus; d'où l'on peut conclure que les propriétés des abbayes étaient en quelque sorte des enclaves absolument indépendantes du comte de Provence, vivant sous un régime particulier, qui leur était imposé par les abbés, les seuls souverains qu'ils eussent à reconnaître. FACSIMILE DU CARTULAIRE DE LERINS n lu qhanc cartula offerfoni hier rogauert:uple conrad comel eide er odile coniugi fue confenfix wetup. manuu ottoni nobis feu maury.omu lege uue cu romana tel. gnü H. Guilelmi rauber cehui. Egolup duct gufule notari under facri palaci fepros bui cartule offertioni p'traditä cöple dedi. de vinti milio cau egitur infitucionib; patri uetum urģēq; aligd sa augintandi monahul eferre uoluerit plepturarü leriem comecare Audeat memorie pofteroy. nede in cebf q8 absit ulli impediri ualeat ctradichonib; Jupp nol germanfre comite runtimiliensis indelicet.otto 78 cartade nimi. milio. + เน abbi Aldeberto, ciufq; fucceflorib, seu omib; monchi imo |