Imágenes de páginas
PDF
EPUB

P. 83, 1. 5. Après: successeur, ajoutez: ainsi que les lettres de ces prélats de 1261, de 1265 et de 1274, relatives aux chapellenies de la collégiale et de l'hôpital de Saint-Jacques de Soignies.

P. 89, I. 21. Au lieu de Albert, lisez Guillaume IV.

P. 89, n. 1, n. 2 et p. 90, n. 1. Rectifiez et complétez ce texte latin, sur la pièce même que nous avons extraite du cartulaire intitué: Le Livre blanc et que nous avons publiée sous le n° XVI de notre description analytique. P. 93, 1. 15 Au lieu de: des laines, lisez du lin.

P. 95, 1. 13. Au lieu de Plustard, lisez Plus tard.

on

P. 101, I. 25-27. C'est par erreur que nous avons dit que l'écu du chapitre de Soignies était timbré d'une couronne d'or et que les armoiries de ce corps ecclésiastique figuraient dans le champ du sceau dont il se servait pour sceller les actes. Cette couronne n'existe que pour les armes de la ville moderne et n'y figure que depuis le 13 avril 1818. Quant au sceau, a vu qu'il représente saint Vincent avec ses deux fils Landry et Dentelin. PP. 102-113. Quelques-uns des actes dont nous avons donné l'analyse sous ces pages et notamment les 4 (1093), 5e (1110), 7 (1123), 14 (1161), 24° (1202), 29e (1226), 32o (1249) et 39 (1296), renferment des inexactitudes provenant des copies d'après lesquelles nous avons rédigé cette partie de notre travail. Ces erreurs, de même que plusieurs autres que nous avons déjà relevées, n'existeraient pas, si nous avions eu plus tôt à notre disposition les cartulaires du chapitre de Saint-Vincent, dont les titres n'ont pas toujours été bien interprétés par l'auteur de l'inventaire de 1390, ainsi que par les personnes qui en ont fait usage dans les divers procès intentés aux chanoines. Du reste, le lecteur peut facilement rectifier ces analyses au moyen de celles qui se trouvent dans notre appendice.

P. 107, I. 19. Au lieu de: 1226, lisez: 1206.

P. 112, l. 3. Au lieu de leurs celliers, lisez: leur cellier.

P. 112, I. 12. Au lieu de: 1446, lisez: 1444.

P. 112. I. 18. Au lieu de: 1494, lisez: 1492.

P. 113, 11 Au lieu de: 1616, lisez 1606.

P. 114, 28. Au lieu de: souverain, lisez: Souverain-Pont.

P. 119, l. 16. Au lieu de: 1446, lisez : 1444.

P. 131, 1. 10. M. le doyen de Soignies nous a montré la matrice de l'ancien sceau dont on se servait pour sceller les actes relatifs à cette chapelle ; il s'y trouve gravé le millésime 1595.

P. 132, I. 7. Saint Vincent est surtout invoqué contre la sciatique et les rhumatismes par les pèlerins qui ont soin de se frotter les reins aux colonnettes supportant l'autel où est déposée la châsse du patron de l'église. P. 135, 1. 5 Au lieu de don lisez: dou.

P. 139, l. 16. Après: armoiries, ajoutez du chapitre.

P. 166, 1. 24. La première mention de la table des pauvres, que nous avons rencontrée, remonte au commencement du xve siècle. Il existe aux archives de l'État, à Mons, un chirographe en parchemin, portant constitution d'une rente annuelle de 20 deniers sur une maison de la rue du Mont, à Soignies, au profit des pauvres de cette ville. La suscription de cet acte est conçue ainsi : « Che fu fait à Songnies en l'an nostre signeur mil quattre cens et dis-siept, le prochain merkedi devant le nuit du Quaremial (1418 n. st.).

P. 173, l. 12. Au lieu de : était, lisez : étaient.

P. 174, 1. 12. On trouve mentionnés dans deux chartes de 1092 et de 1156, Raginer ou Regnier et Wautier, avoués de Soignies (Le Livre enchaîné, fol. 40 et 55 vo). Le 9 novembre 1566, Guillaume Tilleman, avoué de Soignies, âgé de 35 ans, pour avoir tiré de nuit un coup de pistolet sur un personnage étant sur la chaussée de Leuze, fut condamné par le châtelain de cette ville, avec le consentement du grand bailli de Hainaut, à faire un voyage aux Trois-Rois de Cologne. ( Registre aux dépêches du grand bailli de Hainaut, de 1566 à 1568, fol. 4.).

P. 176, 1. 4. Au lieu de: un usage, lisez en usage.

P. 176, l. 14. Au lieu de remonte-t-elle, lisez: remontait-elle.

P. 177, I. 8. Nous avons retrouvé dans l'une des armoires de l'ancienne salle aux archives du chapitre de Soignies deux comptes du bailliage de cette ville, consistant en deux rôles en parchemin et rendus par le bailli Estievène de Donstienne pour l'année 1402.

P. 177, l. 19 Un savant rapporte que quand le chapitre de Soignies tenait siége de rentes, le bailli avait le droit « d'embrasser la plus jolie fille parmi celles qui venaient payer leurs redevances. » (A. G B SCHAYES. Fiefs et droits bizarres existant jadis en Belgique, dans la Belgique communale. Bruxelles, 1848, col. 247).

P. 179, 1. 2. A la liste des baillis de Soignies: ajoutez: Thomas Randouls, 1366. Étienne de Donstienne, 1402. Duquesnoi, 1708. Le Vray, 1725. Jacques Éloi, 1725-1736.

P. 181, I. 10. Après: devra payer, ajoutez: au prince.
P. 200, 1. 24. Aulicu de: naper, lisez noper.

P. 204, n. 1. Nous avons rencontré, sous l'année 1384, le nom de Ruffin de Cella, lombard, marchand de la table de Soignies.

P. 218, 1. 27. Une ordonnance très-curieuse, émanée du magistrat de Soignies, contient quelques dispositions intéressantes sur la vente des grains en cette ville. Personne ne pouvait vendre ni acheter du bié dedans ou dehors la halle, sauf au mois d'août, avant que le dernier coup de prime eût été sonné. La halle était ouverte au commerce des grains le mardi, le jeudi et le samedi. Les mesures de capacité en usage devaient porter la marque particulière de la ville; on confisquait les grains mesurés au « vaissiel »>

qui ne remplissait pas ces conditions. La falsification des produits exposés en vente était sévèrement punie; le blé vendu devait être conforme à l'échantillon. Il était permis de s'approvisionner de blé, d'avoine et d'autres céréales pour l'année entière, mais quiconque voulait en faire une œuvre de spéculation ne pouvait les acheter à la halle, sinon après midi sonné. Les jours de marché, il était défendu de revendre les grains achetés dans la journée, et celui qui enfreignait cette défense, en exigeant un prix plus élevé que la côte de la halle avait sa marchandise confisquée. Les produits venant du dehors ne pouvaient être vendus qu'à la halle. Le marchand qui avait acheté du blé en dehors des jours de marché, devait en étaler la moitié le mardi suivant à la halle, afin que les gens pauvres pussent s'en approvisionner au prix coûtant. Quiconque vendait du blé à quelqu'un, présence d'autres amateurs, était tenu d'en livrer une « monnée » à chacun de ceux-ci, et en cas de refus. la justice ou les sergents avaient le droit de le contraindre à observer les prescriptions faites à ce sujet. Si le blé venait à manquer à la halle dans le cours du marché et que les gens pauvres se plaignissent de ne pouvoir s'en procurer pour leur consommation, tout marchand, soit de la ville, soit de l'étranger, qui en avait acheté, était tenu de leur en fournir à chacun pour une semaine, au prix coûtant, sans que ce prix pût excéder 12 deniers la rasière. (ARCHIVES DU ROYAUME. Cartulaires et manuscrits, n.o 299, fol. 20).

en

P. 223, 1. 24. Au lieu de Trois portes, etc., lisez: Quatre portes, etc., savoir la porte de Nœufbourg ou d'Enghien, au nord; celle de Braine à l'est; celle de Mons, au midi; et celle du Moulin, à l'ouest.

P, 224, l. 12. Les fossés qui s'étendent à gauche de la rue d'Enghien ont été comblés en partie et convertis en jardins légumiers ; les substructions des ramparts qui longeaient ces fossés subsistent encore.

P. 229, 1. 30. Au lieu de l'estimation, lisez à l'estimation.

P. 251, 1. 25. On conserve au dépôt des archives de l'État, à Mons, des lettres du 17 décembre 1631 portant donation d'une rente de 100 sous tournois, au profit de l'école dominicale de Soignies, par Henri Maillet, et qui émanent des gens de loi de Gottignies.

P. 294, n. 1, 1. 3. Au lieu de ranchises, lisez : franchises.

P. 380, 1. 26. Au lieu de: Mevin, lisez Mesvin.

P. 397, 39. Au lieu de mobili, lisez : nobili.

P. 398, 1. 12. Après : tamen, ajoutez : et.

P. 405, 1. 24. Au lieu de
P. 440. 1. 28. Au lieu de

Soignies, lisez : Songnies.

déposés, lisez déposée.

P. 461, n. 1. Selon toute apparence, les établissements de bains, appelés estuves, dans les règlements de police que nous avons cités, étaient aussi des maisons de tolérance. Les rencontres illicites dans ces maisons étaient défendues et quiconque s'en rendait coupable ou les favorisait encourait une peine prévue par la loi de la ville.

P. 466, 1. 12. Aux comptes de la ville de Soignies, dont nous avons donné une analyse, on peut ajouter: 1° Compte de la taille de dix livres au brassin, pour l'année 1674; 2o compte rendu à l'avocat fiscal, en vertu de l'octroi du 16 août 1740, des droits perçus sur la chaussée des carrières de Soignies; et 3° état dressé en 1578 des grains demeurés chez les habitants de Soignies, au départ des ennemis, et à remettre à ceux à qui ils appartiennent, en exceptant les personnes qui ont tenu parti contraire aux états généraux et à la patrie.

« AnteriorContinuar »