Revue rétrospective, ou Bibliothèque historique [ed. by J.A. Taschereau].Jules Antoine Taschereau 1837 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 74
Página 21
... nation , c'est révéler aux siècles modernes les siècles passés , c'est soulever un coin du voile qui couvre le moyen - âge . La fin du dixième siècle , les onzième , douzième et treizième siècles de la monarchie française occuperont ...
... nation , c'est révéler aux siècles modernes les siècles passés , c'est soulever un coin du voile qui couvre le moyen - âge . La fin du dixième siècle , les onzième , douzième et treizième siècles de la monarchie française occuperont ...
Página 81
... nations les abus disparaissent , d'autres les rem- placent . Le quatorzième siècle fut plus malheureux que le treizième : l'anarchie féodale y est portée à son der- nier degré pendant cent cinquante ans les rois lutteront : : B. — IX ...
... nations les abus disparaissent , d'autres les rem- placent . Le quatorzième siècle fut plus malheureux que le treizième : l'anarchie féodale y est portée à son der- nier degré pendant cent cinquante ans les rois lutteront : : B. — IX ...
Página 279
... nation que ce soit , dans les quatre parties du monde . On y a fait entrer les instructions de M. Colbert sur les haras et les chevaux ; enfin c'est une abondance de choses nouvelles et presque incon- nues qui sont comme la création d ...
... nation que ce soit , dans les quatre parties du monde . On y a fait entrer les instructions de M. Colbert sur les haras et les chevaux ; enfin c'est une abondance de choses nouvelles et presque incon- nues qui sont comme la création d ...
Página 321
... nation du ju- gement qu'ils auraient rendu . Une correspondance de M. de Malesherbes léguée par Grouber de Groubentall à sa famille , traçait à celui - ci le plan qu'il avait à suivre . Nous aurions désiré pouvoir la pu- blier en tête ...
... nation du ju- gement qu'ils auraient rendu . Une correspondance de M. de Malesherbes léguée par Grouber de Groubentall à sa famille , traçait à celui - ci le plan qu'il avait à suivre . Nous aurions désiré pouvoir la pu- blier en tête ...
Página 323
Jules Antoine Taschereau. APPEL DE LOUIS XVI , ROI DE FRANCE , A LA NATION , CONTENANT SES DÉFENSES ET SES MOYENS , TANT SUR L'ACCUSATION PORTÉE CONTRE LUI PAR LA CONVENTION NATIONALE , QUE CONTRE LE décret de mort par elle prONONCÉ LE ...
Jules Antoine Taschereau. APPEL DE LOUIS XVI , ROI DE FRANCE , A LA NATION , CONTENANT SES DÉFENSES ET SES MOYENS , TANT SUR L'ACCUSATION PORTÉE CONTRE LUI PAR LA CONVENTION NATIONALE , QUE CONTRE LE décret de mort par elle prONONCÉ LE ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affaires arrêté assemblée autem avaient Bardelière Belle-Isle bonne maîtresse Bourgueil cardinal cardinal de Lorraine chancelier charge charte château chose citoyens commissaires comte conseil Conseil-Général constitution Convention nationale décret délibérations demande députés devait Dieu donner duc d'Orléans duc de Noailles dudit ecclesiæ écrit enfans envoyé évènemens évêque faction femme Fontaines François Ier frère garde général Guillaume habitans hæc Henri III homme j'ai j'avais j'en jour juger justice l'abbé l'assemblée ladite ledit Lettre lettre de cachet lit de justice Louis Capet Louis XVI m'en madame main maire maison maîtresse et amie Majesté mandement MARIE Mémoire ment mille livres ministre mois monachis Monsieur de Glascow mort nation nommé nostræ officiers oncle Parlement passer personne pièces pouvait présente prier prince procès Prosper Tarbé quæ quod rebus Reine rente requête royaume s'est Saint Saint-Malo sancti séances secrétaire seigneur sera servir seul Sheffield sieur Société Talhouet Temple tion trésorier trône trouvé VIII voulu
Pasajes populares
Página 439 - A l'égard du duc , le jugement fut concerté avec les pairs, et portoit qu'zV serait tenu d'en user avec plus de circonspection, et de se comporter à l'avenir d'une manière irréprochable , et telle qu'il convient à sa naissance, et à sa dignité de pair de France.
Página 389 - J'accepte donc la constitution. Je prends l'engagement de la maintenir au dedans, de la défendre contre les attaques du dehors, et de la faire exécuter par tous les moyens qu'elle met en mon pouvoir. Je déclare qu'instruit de l'adhésion que la grande majorité du peuple donne à la constitution, je renonce au concours que j'avais réclamé dans ce travail, et que n'étant responsable qu'à la nation, nul autre, lorsque j'y renonce, n'aurait le droit de s'en plaindre.
Página 389 - ... j'ai favorisé l'établissement de ses parties avant même d'avoir pu en juger l'ensemble ; et si les désordres qui ont accompagné presque toutes les époques de la révolution venaient trop souvent affliger mon cœur, j'espérais que la loi reprendrait de la force entre les mains des nouvelles autorités, et qu'en approchant du terme de vos travaux, chaque jour lui rendrait ce respect sans lequel le peuple ne peut avoir ni liberté ni bonheur. J'ai persisté longtemps dans cette espérance,...
Página 390 - Mais puisque les opinions sont aujourd'hui divisées sur ces objets, je consens que l'expérience seule en demeure juge. Lorsque j'aurai fait agir avec loyauté tous les moyens qui m'ont été remis, aucun reproche ne pourra m'être adressé ; et la Nation, dont l'intérêt seul doit servir de règle, s'expliquera par les moyens que la Constitution lui a réservés.
Página 335 - D'une part, améliorer les revenus de l'état, et assurer leur libération entière par une répartition plus égale des impositions; de l'autre, libérer le commerce des différentes entraves qui en gênent la circulation, et soulager, autant que les circonstances me le...
Página 389 - J'ai appelé autour de moi la nation pour l'exécuter. Dans le cours des événements de la révolution, mes intentions n'ont jamais varié. Lorsqu'après avoir réformé les anciennes institutions, vous avez commencé à mettre à leur place les premiers essais de votre ouvrage, je n'ai point attendu, pour y donner mon assentiment, que la constitution entière me fût connue. J'ai favorisé l'établissement de ses parties avant même d'avoir pu en juger l'ensemble ; et si les désordres qui ont...
Página 158 - Oui, c'est mon cœur seul qui m'engage à vous le dire; et j'ai l'honneur d'être avec un très profond respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur. A Paris, ce 30 décembre 1738.
Página 252 - Temple ou autrement ne pourra y dessiner quoi que ce soit ; et que si quelqu'un est surpris en contravention au présent arrêté , il sera sur-le-champ mis en état d'arrestation et amené au conseil général faisant en cette partie les fonctions de gouverneur. 2°. Enjoint aux commissaires du conseil de service au Temple de ne tenir aucune conversation familière avec les personnes détenues , comme aussi de ne se charger d'aucune commission pour elles. 3°. Défenses sont pareillement faites...
Página 476 - D'ailleurs , les évènemens avaient parlé pour nous ; beaucoup d'accusations et d'accusateurs étaient tombés. A peine rentré en France, mes amis m'ont demandé des Mémoires ; j'ai trouvé des excuses dans ma répugnance à faire une sévère part aux premiers chefs jacobins, associés depuis à ma proscription ; aux girondins, morts pour des principes qu'ils avaient combattus et persécutés en moi ; au roi et à la reine, dont le sort déplorable ne permet plus que de s'honorer de quelques...
Página 390 - Révolution, soient éteintes dans une réconciliation générale. Je ne parle pas de ceux qui n'ont été déterminés que par leur attachement pour moi ; pourriez-vous y voir des coupables? Quant à ceux qui, par des excès où je pourrais apercevoir des injures personnelles, ont attiré sur eux la poursuite des Lois, j'éprouve à leur égard que je suis le Roi de tous les Français.