Histoire de la poésie, Volúmenes7-8 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página 2
... amour du peuple pour un roi qui avait chassé l'étranger . Pierre Michault , dans la Danse aux aveugles , voit en songe tout le pauvre genre humain qui danse devant Cupidon , la Fortune et la Mort . Au lieu de la mort , mettez Plutus ...
... amour du peuple pour un roi qui avait chassé l'étranger . Pierre Michault , dans la Danse aux aveugles , voit en songe tout le pauvre genre humain qui danse devant Cupidon , la Fortune et la Mort . Au lieu de la mort , mettez Plutus ...
Página 5
... amour des plaisirs ne lui laissa guère le temps de suppléer à son manque d'éducation première ; cependant il acquit quelque teinture de la littérature latine , et sut qu'il avait existé jadis une littérature grecque . Dès lors commença ...
... amour des plaisirs ne lui laissa guère le temps de suppléer à son manque d'éducation première ; cependant il acquit quelque teinture de la littérature latine , et sut qu'il avait existé jadis une littérature grecque . Dès lors commença ...
Página 27
... amour , et d'une force aussi prodigieuse que celle des héros d'Homère . Leur origine , sur laquelle on a beaucoup discuté , remonte évidemment à cette époque où le Christianisme et les mœurs guerrières , s'unissant et se combinant par ...
... amour , et d'une force aussi prodigieuse que celle des héros d'Homère . Leur origine , sur laquelle on a beaucoup discuté , remonte évidemment à cette époque où le Christianisme et les mœurs guerrières , s'unissant et se combinant par ...
Página 83
... amour se nourrit de pleurs , Et les abeilles de fleurs ; Les prés aiment la rosée , Phoebus aime les neuf Suurs , Et nous aimons les douceurs Dont la Muse est arrousée . Dans plusieurs épîtres de Du Bellay , dans l'Hymne à la surdité et ...
... amour se nourrit de pleurs , Et les abeilles de fleurs ; Les prés aiment la rosée , Phoebus aime les neuf Suurs , Et nous aimons les douceurs Dont la Muse est arrousée . Dans plusieurs épîtres de Du Bellay , dans l'Hymne à la surdité et ...
Página 99
... Amour ; Et l'emmenant me vint dire : Ecoute , mon cher Ronsard , Enseigne à mon enfant l'art De bien jouer de la lyre . Incontinent je le pris , Et soigneux je lui appris Comme Mercure eut la peine De premier la façonner , Et de premier ...
... Amour ; Et l'emmenant me vint dire : Ecoute , mon cher Ronsard , Enseigne à mon enfant l'art De bien jouer de la lyre . Incontinent je le pris , Et soigneux je lui appris Comme Mercure eut la peine De premier la façonner , Et de premier ...
Términos y frases comunes
ACHILLE acte admirable AGAMEMNON aime amant âme amour Andromaque assez Athalie Bajazet beau beautés Bellay Bérénice Boileau Britannicus Burrhus caractère Chant charme chose ciel Cinna CLYTEMNESTRE cœur comédie Corneille crime Dieu dieux dire discours dramatique ennemis époux esprit Euripide femme fille fils française François 1er frère fureur génie gloire goût Grecs Hermione héros heureux homme Horace IPHIGÉNIE j'ai jamais jeune Joad Josabeth jour l'amour l'Andromaque l'art l'auteur laisse langage langue latin Louis XIV lui-même main Malherbe malheur Marot mérite Mithridate mœurs Molière Monime mort Narcisse Néron noble Osmin ouvrage parler passer passion pensée père personnages pièce plaisir pleurs poème poésie poète poétique Polyeucte premier prince Pyrrhus qu'un Rabelais Racan Racine raison Rambouillet reste rien rime Romains Ronsard Roxane sang satire Scarron scène seigneur sentiments seul SGANARELLE siècle sort spectateur style sublime succès sujet talent théâtre Thomas Corneille tragédie tragique trouve VALÈRE vérité veut Voilà Voltaire yeux
Pasajes populares
Página 437 - L'âne vint à son tour, et dit : " J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Página 179 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Página 47 - Surtout qu'en vos écrits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
Página 343 - J'entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois vivre entre eux les hommes comme ils font. Je ne trouve partout que lâche flatterie, Qu'injustice, intérêt, trahison, fourberie; Je n'y puis plus tenir, j'enrage; et mon dessein Est de rompre en visière à tout le genre humain.
Página 227 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 202 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Página 474 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Página 86 - Lui laissait le regret de mourir ma victime! Va le trouver : dis-lui qu'il apprenne à l'ingrat Qu'on l'immole à ma haine, et non pas à l'État. Chère Cléone, cours : ma vengeance est perdue S'il ignore en mourant que c'est moi qui le tue.
Página 222 - C'est lui-même; il m'échauffe, il parle : mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent. Lévites, de vos sons prêtez-moi les accords, Et de ses mouvements secondez les transports. LE CHOEUR chante au son de toute la symphonie des instruments. Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est, au printemps, la fraîcheur du matin.
Página 343 - Et faisons un peu grâce à la nature humaine; Ne l'examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses défauts avec quelque douceur. Il faut parmi le monde une vertu traitable ; A force de sagesse on peut être blâmable : La parfaite raison fuit toute extrémité, Et veut que l'on soit sage avec sobriété.