Oeuvres poétiques, Volumen4Lefèvre, 1689 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 28
Página 13
... ennemis je reconnois l'orgueil ; Ils viennent se briser contre le même écueil : Déja , rompant par - tout leurs plus fermes barrières , Du débris de leurs forts ils couvrent ses frontières . Tu lui donnes un fils prompt à le seconder ...
... ennemis je reconnois l'orgueil ; Ils viennent se briser contre le même écueil : Déja , rompant par - tout leurs plus fermes barrières , Du débris de leurs forts ils couvrent ses frontières . Tu lui donnes un fils prompt à le seconder ...
Página 28
... ennemis . SCÈNE V. ( Toute cette scène est chantée . ) LE CHOEUR . UNE ISRAELITE , seule . Pleurons et gémissons , mes fidèles compagnes ; A nos sanglots donnons un libre cours ; Levons les yeux vers les saintes montagnes D'où l ...
... ennemis . SCÈNE V. ( Toute cette scène est chantée . ) LE CHOEUR . UNE ISRAELITE , seule . Pleurons et gémissons , mes fidèles compagnes ; A nos sanglots donnons un libre cours ; Levons les yeux vers les saintes montagnes D'où l ...
Página 48
... jours les plus sombres ; Que dis - je ? sur ce trône assis auprès de vous , Des astres ennemis j'en crains moins le courroux , Et crois que votre front prête à mon diadème " Un éclat qui le rend respectable aux dieux même 48 ESTHER .
... jours les plus sombres ; Que dis - je ? sur ce trône assis auprès de vous , Des astres ennemis j'en crains moins le courroux , Et crois que votre front prête à mon diadème " Un éclat qui le rend respectable aux dieux même 48 ESTHER .
Página 66
... ennemis Le bruit de ta valeur te servir de barrière ! S'ils t'attaquent , qu'ils soient en un moment soumis ; Que de ton bras la force les renverse ; Que de ton nom la terreur les disperse ; Que tout leur camp nombreux soit devant tes ...
... ennemis Le bruit de ta valeur te servir de barrière ! S'ils t'attaquent , qu'ils soient en un moment soumis ; Que de ton bras la force les renverse ; Que de ton nom la terreur les disperse ; Que tout leur camp nombreux soit devant tes ...
Página 71
... ennemis ? Fut - il jamais au joug esclaves plus soumis ? Adorant dans leurs fers le Dieu qui les châtie , Pendant que votre main sur eux appesantie A leurs persécuteurs les livroit sans secours , Ils conjuroient ce Dieu de veiller sur ...
... ennemis ? Fut - il jamais au joug esclaves plus soumis ? Adorant dans leurs fers le Dieu qui les châtie , Pendant que votre main sur eux appesantie A leurs persécuteurs les livroit sans secours , Ils conjuroient ce Dieu de veiller sur ...
Términos y frases comunes
ABNER adorable AMAN amour ASAPH ASSUÉRUS ATHALIE autels avoit AZARIAS Baal bienfaits bras CANTIQUE Chantons charmes cher CHOEUR ciel cieux cœur courroux crainte d'Assuérus d'Esther d'Israël d'Ochozias David déja Deo Patri sit desirs Dieu dieux divin douceur doux éclat Éliacin ÉLISE encens enfant ennemis Esprit saint ESTHER éternelle étoient étoit fille fils fleurs foible funeste fureur Genséric gloire grace grand-prêtre Hélas heureux HYDASPE innocent ISMAEL ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD JOAS Joram JOSABETH jour Juifs l'astre l'innocence l'univers lévites lieux long-temps lumière mains malheureux Mardochée MATHAN méchants mortels NABAL Ochozias paix par-tout Pater piissime Patri sit gloria père perfide peuple plaisirs pleurs Pradon Præsta prêtres prince profane race règne reine rois rois de Juda sacrés Sacrés monts SALOMITH sang SCÈNE VII secours secret Seigneur seule Sion sœur soin songe SUITE D'ATHALIE superbe temple terre tremble trône trouble troupe vengeance vœux vois voix yeux ZACHARIE zèle
Pasajes populares
Página 112 - De ce jour à jamais auguste et renommé , Quand , sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs, Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre : Venait-il renverser l'ordre des éléments? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?
Página 156 - C'est lui-même : il m'échauffe ; il parle; mes yeux s'ouvrent. Et les siècles obscurs devant moi se découvrent. Lévites, de vos sons prêtez-moi les accords, Et de ses mouvements secondez les transports. LE CHŒUR chante au son de toute la symphonie des instruments. Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est, au printemps, la fraîcheur du matin.
Página 123 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie, Et chercher du repos au pied de ses autels: Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels!
Página 302 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Página 156 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même : il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Página 19 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion : Jeunes et tendres fleurs, par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème, Lasse de vains honneurs, et me cherchant moi-même, Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Página 101 - Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L'impie Achab détruit, et de son sang trempé Le champ que par le meurtre il...
Página 121 - Philistin, par d'éternels ravages, Comme au temps de vos rois, désoler ses rivages; Le Syrien me traite et de reine et de sœur...
Página 111 - En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence : Son nom ne périra jamais. Le jour annonce au jour sa gloire et sa puissance; Tout l'univers est plein de sa magnificence: Chantons, publions ses bienfaits.
Página 99 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.