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Page 214, note. Au lieu de banc, lisez : blanc.

Page 248, titre du n° XXXV. Au lieu de: princes du sang, lisez: princes lorrains.

Page 265-267, n° XLVII. M. Frédéric Masson a publié dans la nouvelle Revue rétrospective, n° 15, février 1885, p. 49-54, deux notes inédites de Saint-Simon provenant d'une des copies manuscrites des Mémoires de Torcy qui sont entrées, avec les papiers du duc, au Dépôt des affaires étrangères. La première note est le document donné par nous sous le n° XLVII; mais le texte autographe retrouvé par M. Masson présente un certain nombre de variantes avec la copie retrouvée par nous dans les papiers Joly de Fleury. Il convient d'indiquer les principales: page 265, ligne 2, passant au lieu de parlant; page 266, ligne 1, avoit au lieu de auroit; ligne 6, pour au lieu de sur; ligne 16, pour avant battu; ligne 17, zèle au lieu de zélé; lignes 20 et 28, pique au lieu de précipitation; ligne 24, du jour à rétablir après l'affaire, et ligne 32, les avant marques; ligne 36, et qu'ils s'étoient enivrés au lieu de et qu'il l'étoit encore.

Nous avons reproduit dans le Supplément, sous le n° XV, p. 405, la seconde pièce de la Revue rétrospective.

Pages 267-269. Les pièces XLVIII, XLIX et L devraient précéder, comme ordre chronologique, les pièces XLVI et XLVII. De plus, la pièce XLVIII (23 janvier 1747) a été numérotée à tort XLVII.

Nous n'avons pas eu la faculté de prendre copie de deux lettres de Saint-Simon dont voici l'indication : 1° 27 septembre 1697, lettre de congratulation à Pomponne (catalogue de la vente Sotheby [Biencourt], mars 1883, no 294); 2° 9 mars 1722, lettre à Gualterio (catalogue Guizot, 1875, no 3841).

Dans un volume d'autographes divers achetés assez récemment par le ministère des Affaires étrangères et coté France 1876, nous avons trouvé les deux lettres qui suivent :

LA DUCHESSE DE SAINT-SIMON AU SIEUR MARSOLLIER.

Je reçois votre lettre, Monsieur. Il est fort juste de vous payer. Je vous suis même fort obligée du crédit que vous m'avez bien voulu faire jusqu'à présent. J'attends encore de votre amitié que vous me donnerez encore quelques (sic) temps, parce que je sais que je n'ai pas d'argent à Paris pour le présent. Je vais écrire au sieur Duquesnet, lorsqu'il en recevra, de vous donner des acomptes. C'est pour satisfaire à nos créanciers et pour les payer plus tôt que nous avons pris le parti de demeurer ici. Ainsi j'espère qu'ils voudront bien prendre un peu de patience, voyant notre bonne volonté et qu'il n'y a rien à perdre. On ne peut satisfaire tout le monde à la fois. Je vous en serai, Monsieur, sensiblement obligée.

La duchesse DE SAINT-SIMON.

M. Marsollier.

Adresse d'une autre main: « A Monsieur, Monsieur Marsollier, marchand-soyer, rue de la Lingerie, à l'Image Notre-Dame, à Paris. »

SAINT-SIMON A M. DE CULLEN.

La Ferté, 11 janvier 1748.

Plût à Dieu, Monsieur, être en situation de vous donner autres choses qu'une hure de sanglier pour vous1 témoigner estime, confiance, reconnoissance et amitié! Je desire au moins qu'elle soit bien bonne.

M. de Cullen 2.

1. Vous est en interligne.

Le duc DE SAINT-SIMON.

2. Le nom du destinataire est douteux.

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XXXVIII. Réponse briève au mémoire de M. de Saint-Simon

[1728].

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