| 1856 - 752 páginas
...n'eût été ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le corsage, et fus complètement fasciné Tout me fit perdre l'esprit. Après m'être assuré...personne ne me voyait, je me plongeai dans ce dos d'amour comme un enfant se jette dans le sein de sa mère, en baisant à plusieurs reprises toutes... | |
| 1835 - 334 páginas
...réveillèrent en moi des jouissances infinies: le brillant des cheveux lissés au-dessus d'un cou frais comme celui d'une petite fille, les lignes blanches...voyait, je me plongeai dans ce dos comme un enfant se jette dans le sein de sa mère , en baisant à plusieurs reprises toutes ces épaules où se roula... | |
| Louis Désiré Véron - 1835 - 700 páginas
...réveillèrent en moi des jouissances infinies : le brillant des cheveux lissés au-dessus d'un cou frais comme celui d'une petite fille , les lignes blanches que le peigne y avait dessinées et ou mon imagination courut comme en de frais sentiers, tout me fit perdre l'esprit. Après m'être assuré... | |
| Honoré de Balzac - 1844 - 582 páginas
...cheveux lissés au-dessus d'un cou velouté comme celui d'une petite fille, les lignes !>],m : ches que le peigne y avait dessinées et où mon imagination...tout me fit perdre l'esprit. Après m'être assuré quo personne ne nie voyait, je me plongeai dans ce dos comme un enfant qui s« jette dans le svin de... | |
| baron Sirtema de Grovestins - 1859 - 480 páginas
...haussai tout palpitant pour voir le » corsage, et fus complètement fasciné... Tout me fit per» dre l'esprit. Après m'être assuré que personne ne me » voyait, je me plongeai dans ce dos d'amour comme un » enfant se jette dans le sein de sa mère, en baisant à plu» sieurs reprises toutes... | |
| Honoré de Balzac - 1875 - 806 páginas
...amorces-qui réveillèrent en moi des jouissances infinies : le brillant des cheveux lissés au-dessus d'un cou velouté comme celui d'une petite fille,...je me plongeai dans ce dos comme un enfant qui se jelte dans le sein de sa mère, et je baisai toutes ces épaules en y roulant ma tête. Cette femme... | |
| Honoré de Balzac - 1896 - 386 páginas
...amorces qui réveillèrent en moi des jouissances infinies : le brillant des cheveux lissés au-dessus d'un cou velouté 'comme celui d'une petite fille,...mon imagination courut comme en de frais sentiers, tant me fit perdre l'esprit. Après m'être assuré que personne ne nje voyait, je me plongeai dans... | |
| Charles Léger - 1928 - 330 páginas
...amorces qui réveillèrent en moi des jouissances infinies : le brillant des cheveux lissés au-dessus d'un cou velouté comme celui d'une petite fille,...de frais sentiers, tout me fit perdre l'esprit... » Et plus loin : « Je puis vous crayonner les traits principaux qui partout eussent signalé la comtesse... | |
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