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28.

Citeaux (l'abbé de ), T. IV, p. était né en 1414. Imhoff, Tab. CXXXVII.

Clarence (George, duc de ), comte de Warwick et de Salisbury, tué le 18 fév. 1477. Il avait épousé Isabelle Nevill, fille et héritière · de Richard, comte de Warwick, † 1476.

Clary ou Clery, Voy. Renty. Clercq (Jean du), abbé de StVaast, T. III, p. 224. Dans l'Addition à l'Histoire du roi Louis XI, on lit ces mots : « le 15 sept. (1462) trépassa l'abbé de St-Vaast d'Arras, Jean du Clerc (sic), grand aumônier et prélat de grand gouvernement et belle conduite, âgé de 86 ans. » Voy. les TÉMOI

GNAGES.

Clermont (le comte de), fils aîné du duc de Bourbon, T. II, p. 8.

Cleron (Adrien de ), fait chevalier durant la guerre de Gand, T. II, p. 130.

Clinton, quelquefois Clynton. Cette maison possédait le comté de Lincoln. Voyez Imhoff, Tab. LIV.

29.

Clogiet (Henri), Liv. I, ch.

Cobham (le comte de), App. du livre Ier. C'était Edouard Brook.

Cocquerel (Jennin de ) d’Arras, archer du duc de Bourgogne, T. II, p. 31.

Coetivy (Olivier de ), Liv. I ̧ ch.42; appelé Contigny.

Coetivy, Voy. Raix ou Raiz. Cohem, Cohen; Jean de Berghes, seigneur de Cohen. Voyez Rambures (Jacques).

Cohen. Ces seigneurs étaient de la maison de Berghes - St - Winox; Pierre de Berghes, chevalier, seigneur de Cohen, devint par la succession de Marie de Nielles, sa tante maternelle, seigneur d'Olhain, de Caucourt, de Nielles, de Houlx, de Moule et de Disque (d'Isque?), en 1433. Il fut gouverneur de la ville d'Aire qu'il vendit

Clèves (Adolphe de), sire de Ravestein, fils puîné d'Adolphe de la Marck, premier duc de Clèves, et de Marie, fille de Jean, duc de Bourgogne. Click (le comte de ), T. II, au roi Louis XI, moyennant

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Coimbre (Jacques de), neveu pour servir à l'histoire de France de la duchesse de Bourgogne et de Bourgogne, B. 224. nommé à l'évêché d'Arras qu'il résigna en faveur de Jean Joffredi, abbé de Luxeuil en Bourgogne, T. II, p. 97.

Coligny, Voy. Lourdin.

Collin (Adrien), président de la chambre du comte à Ypres, T. III, p. 61.

Constain (Jean); notre MS porte Coustain, nom corrigé comme cidessus dans une note. Cependant Pontus Heuterus et Haræus le traduisent par Custenius, ce qui semble plus conforme à la première leçon. Il était sommelier de corps du duc Philippe, comme on le voit dans l'État de sa maison, ой il y a aussi Coustain et non Constain. T. III, pp. 212, 317. Isa

Colone (Jacques), un des accusateurs de Jacques Cœur. Voyez Coullognes. Commery, livre I, chapitre beau Coustain dansa à la fête

41.

Comminges. Louis XI étant parvenu à la couronne, fit don du comté de Comminges à Jean, bâtard d'Armagnac, seigneur de Bourdon, l'an 1461; mais celui-ci étant mort, sans enfans mâles, en 1472, ce comté fut donné à Odet d'Aydie, seigneur de Les

cún,

du Faisan, Olivier de la Marche, Liv. I, ch. 29. Voy. le discours préliminaire.

Constance (cardinal de), T. III, p. 6.

Contu, sieur de ), maître d'hôtel de la duchesse de Bourgogne ; ce fut lui qui opina en 1467 pour qu'on mit à mort les otages Liégeois : « Il me semble bon de dire, observe Commines, qu'après que ledit seigneur de Contay eut donné cette cruelle sentence.... un estant en ce conseil, me dit en l'oreille : « Voyez-vous bien cet homme? combien qu'il soit bien Commygam (Robert de), Liv. vieil, si est-il de sa personne bien I, ch. 33.

et à ses hoirs mâles, au défaut desquels il fut réuni à la couronne par Louis XII en 1498. Il avait été avant Louis XI à Matthieu de Foix, troisième mari de Marguerite de Comminges, dame de Serrière.

Constain, ou mieux Coustain, (Humbert ou Imbert); il est désigné par Du Clercq, T. III, P. 214, comme garde joyaux du duc Philippe, mais dans l'État de la maison de ce prince, on ne le voit figurer qu'en qualité de sommelier de corps. Mémoires

sain mais j'oseroye bien mettre grand'chose, qu'il ne sera point vif d'huy en un an; et le dis pour cette terrible opinion qu'il a dite; v et ainsi en aviut. » Liv. II, ch. 2.

Contay, Voy. Tremouille.

Conté (le sieur de la ), T. III, pag. 153. Porus de Recourt, second fils de Jean de Recourt et de

Marguerite d'Alennes, eut pour son partage, l'an 1455, la terre et seigneurie de la Comté ou Conté, mouvante du chapitre de St-Aurel

à Douay.

Couches (sieur de ), T. II, p. 143, signe le traité de Gavres; c'était Claude de Montagu. T. I, p. 157.

Coullognes (Jacques), T. II, p.

Cordes (des), Voy. Querdes 187. Voyez Colone. (des) ou d'Esquerdes.

Courbet (Gilles), natif du pays

Cormaille (Patrice), prêtre, de Hainaut, T. III, p. 218. T. II, p. 235.

Corneille ou Cornille, bâtard de Bourgogne, seigneur de Bèvres, gouverneur du duché de Luxembourg, appelé communément le grand bâtard de Bourgogne, fut tué à la bataille de Rupelmonde, en 1452.

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Cornille (Martin), receveur des aides ordinaires du comté d'Artois, T. III, p. 41. Supplément aux Troph. de Br. T. I, p. 203. Corvin (Mathias), fils de Jean Hunniade, fut choisi pour roi en 1458; son règne n'offre qu'une suite de guerres avec l'empereur Ferdinand III, avec les rois de Bohême Podiebrad et Wladislas; avec Casimir IV, roi de Pologne avec les way wodes de Transylvanie, de Moldavie et de Valachie, et avec les sultans Mahomet ou Mohammed II et Bajazet II. Un missel magnifique, exécuté à Florence pour ce prince et qu'on voit à Bruxelles, contient un portrait de Mathias Corvin et de sa femme Beatrix d'Arragon. Voy. Mém. de l'Académie royale de Brux., T. IV, pp. 493 et suiv.

Courcelles (Pierre de), Liv. I,' ch. 16.

Courson, capitaine de Honfleur, Liv. I, ch. 19. J'ignore s'il était de la famille de Robert de Courson ou Courçon, cardinal-prêtre du titre de St-Étienne in Cœlio-monte, et légat du St-Siége en France. Jacques, bâtard de Chastelux, seigueur de Courson, était écuyer du comte de Nevers en 1453.

Cousinot (Guillaume), Liv. I, ch. 18. Il était seigneur de Monstreuil. Voyez dans les Notices des MSS de la Bibl. du roi, T. IV, pp. 9, 25 et suiv., ses ambassades à Rome et en Angleterre; il fut maître des requêtes, chambellan, gouverneur de Montpellier, chevalier et secrétaire du roi.

Couvran (Geoffroid de), Liv. I, ch. 9.

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Corvin (Jean), Voy. Cheva- de), de Fressin et de Canaples, lier Blanc. conseiller et premier chambellan

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de Philippe-le-Bon, qui le fit chevalier en 1429, et lui donna la Toison-d'or en 1430. Il se trouva à Mont-le-Hery, et mourut fort âgé en 1474.

Crevecœur (sieur de), bailli d'Amiens, chambellan et principal gouverneur (conseiller) de Jean, comte d'Étampes, T. III, p. 220.

Crevecœur, Voy. Esquerdes. Antoine, seigneur de Crevecœur, de Thiennes, de Thois, etc., chevalier de St-Michel, fut conseiller et chambellan du roi, grand louvetier de France. Il épousa Jeanne de Bernieulles, et en secondes noces Marguerite de la Tremouille. Sa fille Philippe, dame de Dours, épousa, vers 1485, Charles d'Ailly, baron de Piquigny, vidame d'Amiens, fils de Jean, sieur d'Ailly et d'Yolande, bâtarde de Bourgogne. Criencourt (sieur de), T. II, p. 296.

Croix (Aigneux de) > compagnon de guerre, T. II, p. 343.

Croy ou Croï. Dans le catalogue du comte de Morel-Vindé on lit sous le N° 3596: « Généalogie de la maison de Croy, commençant en l'année 1313 jusqu'en 1655, gr. in-fol. V. M. MS sur papier, contenant 70 feuilles avec tous les blasons peints avec beaucoup de soin en or et en couleurs. » On voit au 1er vol. du Suppl. aux trophées de Brabant que la famille de Croy prenait pour cri ces mots : Je maintiendray Croy, ou seulement je maintiendray.

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Croy (Agnès de) fille de Jean Ier, dame d'honneur d'Isabelle de Portugal, duchesse de Bourgogne.

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Croy (Antoine, sire de), de Renty, de Beaurain, de Bar-surAube, de Rosay, etc. comte de Porcean, de Beaumont et de Guisurnommé le Grand, fils de Jean Ier et de Marguerite de Craon, premier chambellan du duc de Bourgogne, qui le fit chevalier de la Toison-d'or en 1431. Dans l'Histoire gén. de la maison royale de France, T. VIII, p. 374 D., on le fait seigneur de la ville de Heverlo près de Louvain, laquelle ville était et est encore une terre considérable appartenante aujourd'hui au duc d'Aremberg. C'est là que se trouve l'Arx Heverlea ou le château d'Heverlé dont Juste Lipse a laissé la description. Antoine fut créé grand - maître de l'hôtel de Louis XI, à l'avènement de ce prince, exerça cet office jusqu'en 1465, et mourut en 1475, T. III, p. 74. Pontus Heuterus, dans le tableau qu'il a dressé de la généalogie de Croy et que nous avons suivi T. IV, p. 310, dit que la fille ainée d'Antoine s'appelait Jeanne ; il se corrige ailleurs et lui donne le nom de Marguerite. L'Hist. gén. de la maison royale de France, T. V, p. 637, l'appelle Marie et ajoute qu'elle épousa Henri, vicomte de Montfort, en Hollande.

Il y a un ouvrage en estampes, qu'il est difficile de rencontrer

complet et qui est intitulé: Livre. contenant. la. généalogie. et. descente. de ceux. de la. maison. de. Croy. tant. de la. ligne. principale. estant. chef. du. nom. et. armes. d'icelle. que. des. branches. et. ligne. collaterale. de la. dite. maison. in-fol. Ce titre gravé porte la signature suivante : Jacobus de Bye sue Ele scalptor fecit. Un exemplaire de cette généalogie, orné d'un texte manuscrit et de 403 écussons enluminés, y com. pris ceux qui accompagnent les portraits, a été mis prix chez le libraire Verbyst à cinq cents francs.

Chimay, connu par sa réponse hardie à Louis XI qui lui demandait si son maître était d'un autre métal que les autres princes de France, T. III, p. 227. Monstrelet, vol. III, p. 95.

Croy (Léon de), fils de Jean Ier, grand bailli et capitaine du Haiuaut.

Croy (Philippe I, sire de), d'Aerschot, de Renty, de Seneghem, d'Araines et de Bar-sur- - Aube, comte de Porcean, baron de Beaumont, premier chambellan héréditaire de Brabant, fut fait chevalier en 1461, au sacre de Louis XI ; il mourut en 1511. Il épousa Jacqueline de Luxembourg du vivant de son père, l'an 1455, et fut cité avec lui, pour ce mariage, devant le patriarche d'Antioche, évêque de Poitiers, commissaire délégué par le cardinal d'Avignon, le 13 août 1456, parce qu'on prétendait qu'il avait été fait de force et par violence, pendant la détention de cette dame.

Croy (Jacqueline de), fille de Jean Ier, dame de Bievre ou Bevres, femme d'Antoine de Rubempré, seigneur d'Authie, chevalier de la Toison-d'or, conseiller et chambellan de Philippe - le - Bon, fils de Robert Ier, sire de Rubempré, et de Colette de Rivery. Son mari ne se trouve point parmi les chevaliers de la Toison-d'or, rapportés par Maurice qui la nomme Marguerite, p. 82. Hist. gén. de la maison royale de France, T. V, p. 637 B. Les auteurs de cette Histoire citent mal; à la vérité Maurice ne parle que de Jean de Rubempré; et J. J. Chifflet, dont l'exactitude est connue, fait de même; mais Jacqueline n'est point appelée Marguerite par le premier qui ne nomme que Marguerite de Craon. Croy (Jean de), seigneur de Creste et de Marguerite de Sully,

Cuinghem (David do), chevalier flamand, T. II, p. 96. Peutêtre Everghem ou Drinckam, ib. p. 403.

Culant (Charles de), sieur de Châteauneuf, de St-Désiré, et de la Creste, chevalier, conseiller et chambellan du roi, gouverneur de Mantes, de Paris et de Chartres, capitaine de cent hommes d'armes; mourut en juin 1460. Il était fils de Jean de Culant, seigneur de la

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