Theáre complet de RacineLibrairie de Firmin Didot Freres, 1847 - 663 páginas |
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... n'en avait point pour la tragédie . » Ce jugement nous paraît étrange , parce qu'il se lie dans notre esprit avec cette estime habituelle et sentie que nous avons pour Racine , et surtout avec l'admiration profonde que la lecture ou la ...
... n'en avait point pour la tragédie . » Ce jugement nous paraît étrange , parce qu'il se lie dans notre esprit avec cette estime habituelle et sentie que nous avons pour Racine , et surtout avec l'admiration profonde que la lecture ou la ...
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... n'en fallait aux premiers in- venteurs pour porter l'un ou l'autre au point où ils l'ont laissé . Un fait assez singulier , c'est que dans le privilége d'ANDRO- MAQUE on donne à Racine le titre de Prieur de l'Epinay : mais il n'en jouit ...
... n'en fallait aux premiers in- venteurs pour porter l'un ou l'autre au point où ils l'ont laissé . Un fait assez singulier , c'est que dans le privilége d'ANDRO- MAQUE on donne à Racine le titre de Prieur de l'Epinay : mais il n'en jouit ...
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... n'en a presque point ici : et je doute que je lui en donnasse davantage si c'é- tait à recommencer ; car il faudrait ou que l'un des deux frères fût amoureux , ou tous les deux ensemble . Et quelle apparence de leur donner d'autres ...
... n'en a presque point ici : et je doute que je lui en donnasse davantage si c'é- tait à recommencer ; car il faudrait ou que l'un des deux frères fût amoureux , ou tous les deux ensemble . Et quelle apparence de leur donner d'autres ...
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... N'en doutons plus , Olympe , ils se vont égorger . Que l'on coure avertir et håter la princesse ; Je l'attends . Juste ciel , soutenez ma faiblesse ! Il faut courir , Olympe , après ces inhumains ; Il les faut séparer , ou mourir par ...
... N'en doutons plus , Olympe , ils se vont égorger . Que l'on coure avertir et håter la princesse ; Je l'attends . Juste ciel , soutenez ma faiblesse ! Il faut courir , Olympe , après ces inhumains ; Il les faut séparer , ou mourir par ...
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... n'en fut point jaloux : Et vous ne voulez pas qu'il y monte après vous ! ÉTÉOCLE . Non , madame ; à l'empire il ne doit plus prétendre : Thèbes à cet arrêt n'a point voulu se rendre ; Et , lorsque sur le trône il s'est voulu placer , C ...
... n'en fut point jaloux : Et vous ne voulez pas qu'il y monte après vous ! ÉTÉOCLE . Non , madame ; à l'empire il ne doit plus prétendre : Thèbes à cet arrêt n'a point voulu se rendre ; Et , lorsque sur le trône il s'est voulu placer , C ...
Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux dis-je discours douleur enfin ennemis époux ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas HERMIONE heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOAD JOAS JOCASTE JOSABET jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheureux MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron OENONE Oh ciel ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT JEAN peuple Pharnace PHÈDRE pleurs Polynice Porus prince princesse Pyrrhus reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul soins sort soupirs TAXILE temple THÉRAMÈNE THÉSÉE Titus tragédie trépas triste trône trouble vais venger veut veux vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux ZATIME
Pasajes populares
Página 605 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte , Je crains Dieu , cher Abner, et n'ai point d'autre crainte.
Página 510 - Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Página 619 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie, Et chercher du repos au pied de ses autels: Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels ! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée ; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux....
Página 551 - J'ai pris, j'ai fait couler dans mes brûlantes veines Un poison que Médée apporta dans Athènes. Déjà jusqu'à mon cœur le venin parvenu Dans ce cœur expirant jette un froid inconnu...
Página 626 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin , Éliacin , vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point sans doute un enfant ordinaire. Vous voyez , je suis reine et n'ai point d'héritier : Laissez là cet habit, quittez ce vil métier; Je veux vous faire part de toutes mes richesses; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 528 - Vont prendre la parole, et prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser. Mourons. De tant d'horreurs qu'un trépas me délivre. Est-ce un malheur si grand que de cesser de vivre? La mort aux malheureux ne cause point d'effroi. Je ne crains que le nom1 que je laisse après moi.
Página 625 - ATHALIE. Les plaisirs près de moi vous chercheront en foule. JOAS. Le bonheur des méchants comme un torrent s'écoule.
Página 541 - Humains. Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible...
Página 522 - Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; (Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé...
Página 518 - Présente, je vous fuis ; absente, je vous trouve ' ; Dans le fond des forêts votre image me suit ; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite ; Tout vous livre à l'en vi le rebelle Hippolyte. Moi-même , pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche , et ne me trouve plus ; Mon arc, mes javelots , mon char, tout m'importune...