Theáre complet de RacineLibrairie de Firmin Didot Freres, 1847 - 663 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página 28
... vous connais toujours , et suis toujours le même . ANTIGONE . Est - ce m'aimer , cruel , autant que je vous aime , Que d'être inexorable à mes tristes soupirs , Et m'exposer encore à tant de déplaisirs ? POLYNICE . Mais vous - même , ma ...
... vous connais toujours , et suis toujours le même . ANTIGONE . Est - ce m'aimer , cruel , autant que je vous aime , Que d'être inexorable à mes tristes soupirs , Et m'exposer encore à tant de déplaisirs ? POLYNICE . Mais vous - même , ma ...
Página 31
... Vous - mêmes dans mes bras vous l'avez amené . C'est vous dont la rigueur m'ouvrit ce précipice . Voilà de ces grands dieux la suprême justice ! Jusques au bord du crime ils conduisent nos pas ; Ils nous le font commettre , et ne l ...
... Vous - mêmes dans mes bras vous l'avez amené . C'est vous dont la rigueur m'ouvrit ce précipice . Voilà de ces grands dieux la suprême justice ! Jusques au bord du crime ils conduisent nos pas ; Ils nous le font commettre , et ne l ...
Página 36
... vous désarme et vous touche : Quittez , mon fils , quittez cette haine ... même sont las de servir sa colère ; Et j'ai su , depuis peu , que le roi son ... vous voir , croyez qu'il veut la paix Ce jour la doit conclure , ou la rompre à ...
... vous désarme et vous touche : Quittez , mon fils , quittez cette haine ... même sont las de servir sa colère ; Et j'ai su , depuis peu , que le roi son ... vous voir , croyez qu'il veut la paix Ce jour la doit conclure , ou la rompre à ...
Página 47
... vous - même , Qu'un superbe laurier soit votre diadème ; Régnez et triomphez , et joignez à la fois La gloire des ... vous seul ayez droit de monter . Mille sceptres nouveaux s'offrent à votre épée , Sans que d'un sang si cher nous la ...
... vous - même , Qu'un superbe laurier soit votre diadème ; Régnez et triomphez , et joignez à la fois La gloire des ... vous seul ayez droit de monter . Mille sceptres nouveaux s'offrent à votre épée , Sans que d'un sang si cher nous la ...
Página 58
... vous - même , cruelle , éteignez vos beaux yeux ! Vous fermez pour jamais ces beaux yeux que j'adore ; Et , pour ne me point voir , vous les fermez encore ! Quoiqu'Hémon vous fût cher , vous courez au trépas Bien plus pour m'éviter que ...
... vous - même , cruelle , éteignez vos beaux yeux ! Vous fermez pour jamais ces beaux yeux que j'adore ; Et , pour ne me point voir , vous les fermez encore ! Quoiqu'Hémon vous fût cher , vous courez au trépas Bien plus pour m'éviter que ...
Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux dis-je discours douleur enfin ennemis époux ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas HERMIONE heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOAD JOAS JOCASTE JOSABET jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheureux MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron OENONE Oh ciel ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT JEAN peuple Pharnace PHÈDRE pleurs Polynice Porus prince princesse Pyrrhus reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul soins sort soupirs TAXILE temple THÉRAMÈNE THÉSÉE Titus tragédie trépas triste trône trouble vais venger veut veux vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux ZATIME
Pasajes populares
Página 605 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte , Je crains Dieu , cher Abner, et n'ai point d'autre crainte.
Página 510 - Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Página 619 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie, Et chercher du repos au pied de ses autels: Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels ! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée ; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux....
Página 551 - J'ai pris, j'ai fait couler dans mes brûlantes veines Un poison que Médée apporta dans Athènes. Déjà jusqu'à mon cœur le venin parvenu Dans ce cœur expirant jette un froid inconnu...
Página 626 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin , Éliacin , vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point sans doute un enfant ordinaire. Vous voyez , je suis reine et n'ai point d'héritier : Laissez là cet habit, quittez ce vil métier; Je veux vous faire part de toutes mes richesses; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 528 - Vont prendre la parole, et prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser. Mourons. De tant d'horreurs qu'un trépas me délivre. Est-ce un malheur si grand que de cesser de vivre? La mort aux malheureux ne cause point d'effroi. Je ne crains que le nom1 que je laisse après moi.
Página 625 - ATHALIE. Les plaisirs près de moi vous chercheront en foule. JOAS. Le bonheur des méchants comme un torrent s'écoule.
Página 541 - Humains. Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible...
Página 522 - Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; (Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé...
Página 518 - Présente, je vous fuis ; absente, je vous trouve ' ; Dans le fond des forêts votre image me suit ; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite ; Tout vous livre à l'en vi le rebelle Hippolyte. Moi-même , pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche , et ne me trouve plus ; Mon arc, mes javelots , mon char, tout m'importune...