Oeuvres complètes de Jean Racine, Volumen1Raymond et Ménard, 1811 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 85
Página 10
... veux , en n'y laissant aucun de mes soldats , Qu'elle soit seulement juge de nos combats . J'ai des forces assez pour tenir la campagne ; Et , si quelque bonheur nos armes accompagne , L'insolent Polynice et ses fiers alliés Laisseront ...
... veux , en n'y laissant aucun de mes soldats , Qu'elle soit seulement juge de nos combats . J'ai des forces assez pour tenir la campagne ; Et , si quelque bonheur nos armes accompagne , L'insolent Polynice et ses fiers alliés Laisseront ...
Página 18
... veux parvenir . Le soin de sa grandeur est le seul qui m'anime ; Je hais ses ennemis , et c'est là tout mon crime : Je ne m'en cache point ; mais , à ce que je voi , Chacun n'est pas ici criminel comme moi . JOCASTE . Je suis mère ...
... veux parvenir . Le soin de sa grandeur est le seul qui m'anime ; Je hais ses ennemis , et c'est là tout mon crime : Je ne m'en cache point ; mais , à ce que je voi , Chacun n'est pas ici criminel comme moi . JOCASTE . Je suis mère ...
Página 20
... veux par avance Vous épargner encor jusques à ma présence . Aussi bien mes respects redoublent vos mépris , Et je vais faire place à ce bienheureux fils . Le roi m'appelle ailleurs , il faut que j'obéisse . Adieu . Faites venir Hémon et ...
... veux par avance Vous épargner encor jusques à ma présence . Aussi bien mes respects redoublent vos mépris , Et je vais faire place à ce bienheureux fils . Le roi m'appelle ailleurs , il faut que j'obéisse . Adieu . Faites venir Hémon et ...
Página 31
... veux me seroit un supplice . S'il en devoit coûter le sceptre à Polynice ; Et l'unique faveur , mon frère , où je prétends , C'est qu'il me soit permis de vous voir plus long - temps . Seulement quelques jours souffrez que l'on vous ...
... veux me seroit un supplice . S'il en devoit coûter le sceptre à Polynice ; Et l'unique faveur , mon frère , où je prétends , C'est qu'il me soit permis de vous voir plus long - temps . Seulement quelques jours souffrez que l'on vous ...
Página 34
... veux être seule en l'état où je suis , Si toutefois on peut l'être avec tant d'ennuis . SCÈNE II . JOCASTE . DURERONT - ILS toujours , ces ennuis si funestes ? N'épuiseront - ils point les vengeances célestes ? Me feront - ils souffrir ...
... veux être seule en l'état où je suis , Si toutefois on peut l'être avec tant d'ennuis . SCÈNE II . JOCASTE . DURERONT - ILS toujours , ces ennuis si funestes ? N'épuiseront - ils point les vengeances célestes ? Me feront - ils souffrir ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
AGRIPPINE ALBINE Alexandre allez amant amitié amour ANDROMAQUE ANTIGONE arrêter ATTALE avoit AXIANE bientôt bras BRITANNICUS BURRHUS CÉPHISE César charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE connois connoître courage courroux cours crainte Créon crime cruel d'Alexandre d'Hector DANDIN desirs dessein diadème dieux dois-je douleur enfin ennemis ÉPHESTION Epire ÉTÉOCLE étoit fils flatte foible frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE héros ISABELLE j'ai JOCASTE jour JUNIE l'amour l'empire L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en Madame madame de Maintenon main maître malheur moi-même Monsieur mort mourir NARCISSE Néron OLYMPE ORESTE paix père PETIT JEAN peuple peut-être Phoenix pleurs POLYNICE Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner rien rival rois s'il sais sang SCÈNE PREMIÈRE Seigneur seroit seul sœur soins sort soupirs TAXILE Thébains Thèbes tragédie trépas trône tyran vainqueur vais venger veut veux victoire vois voulez-vous vous-même yeux
Pasajes populares
Página 204 - S'il me perd, je prétends qu'il me retrouve en toi. Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , Montre au fils à quel point tu chérissois le père".
Página 382 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste; Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux: Et le fer est moins prompt pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Página 404 - Tais-toi, perfide, Et n'impute qu'à toi ton lâche parricide. Va faire chez tes Grecs admirer ta fureur : Va, je la désavoue, et tu me fais horreur. Barbare, qu'as-tu fait? Avec quelle furie As-tu tranché le cours d'une si belle vie?
Página 230 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Página 385 - Pour toute ambition , pour vertu singulière , II excelle à conduire un char dans la carrière , A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains...
Página 340 - ... approuver, Je m'excite contre elle, et tâche à la braver : Mais, je t'expose ici mon âme toute nue, Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue, Soit que je n'ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j'ai lu si longtemps mon devoir, Soit qu'à tant de bienfaits ma mémoire fidèle Lui soumette en secret tout ce que je tiens d'elle ; Mais enfin mes efforts ne me servent de rien : Mon génie étonné tremble devant le sien.
Página 421 - De quel front oserais-je me montrer, pour ainsi dire, aux yeux de ces grands hommes de l'antiquité que j'ai choisis pour modèles? Car, pour me servir de la pensée d'un ancien, voilà les véritables spectateurs que nous devons nous proposer-, et nous devons sans cesse nous demander : « Que diraient Homère et Virgile, s'ils lisaient ces vers? que dirait Sophocle...
Página 196 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils... Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque, de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Página 379 - C'est à vous à choisir, vous êtes encor maître. Vertueux jusqu'ici, vous pouvez toujours l'être: Le chemin est tracé, rien ne vous retient plus ; Vous n'avez qu'à marcher de vertus en vertus. Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime, II vous faudra, Seigneur, courir de crime en crime, Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés, Et laver dans le sang vos bras ensanglantés.
Página 301 - L'INTIMÉ, d'un ton pesant. Puis donc qu'on nous permet de prendre Haleine, et que l'on nous défend de nous étendre, Je vais, sans rien omettre et sans prévariquer, Compendieusement énoncer, expliquer, Exposer à vos yeux l'idée universelle De ma cause, et des faits renfermés en icelle.