Mémoires de Aug. Guil. Iffland, auteur et comédien allemand: avec une notice sur les ouvrages de cet acteurPonthieu, 1823 - 255 páginas |
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... haut degré , qu'il a joué les pièces de Schiller , et qu'il a donné lui - même ses principaux ouvrages . Les auteurs de la Biographie uni- verselle , auxquels nous avons em- prunté le peu de détails de la vie d'Iffland qui ne se ...
... haut degré , qu'il a joué les pièces de Schiller , et qu'il a donné lui - même ses principaux ouvrages . Les auteurs de la Biographie uni- verselle , auxquels nous avons em- prunté le peu de détails de la vie d'Iffland qui ne se ...
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... haut degré de la compassion , de la fierté , de l'horreur , de la tendresse et de la magnanimité . J'aurais re- noncé à mes plus douces jouissances , pour pou- voir prononcer , dans la chaleur de ce trans- port , un discours de ...
... haut degré de la compassion , de la fierté , de l'horreur , de la tendresse et de la magnanimité . J'aurais re- noncé à mes plus douces jouissances , pour pou- voir prononcer , dans la chaleur de ce trans- port , un discours de ...
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... insolente vanité . » Je reconnus qu'il avait raison . Je me sentis humilié , et cependant je continuai à prêcher , du haut d'une chaise , devant quiconque voulait m'en- tendre , et cela sans rien changer à mon genre D'IFFLAND . 25.
... insolente vanité . » Je reconnus qu'il avait raison . Je me sentis humilié , et cependant je continuai à prêcher , du haut d'une chaise , devant quiconque voulait m'en- tendre , et cela sans rien changer à mon genre D'IFFLAND . 25.
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... haut degré mon ardeur pour le théâtre . Je n'étais plus maître de moi . Mon amour pour cet art m'entraînait presque tous les jours dans son temple . Toutes mes relations s'y opposaient , les coutumes de notre maison , qui vivait ...
... haut degré mon ardeur pour le théâtre . Je n'étais plus maître de moi . Mon amour pour cet art m'entraînait presque tous les jours dans son temple . Toutes mes relations s'y opposaient , les coutumes de notre maison , qui vivait ...
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... haut de l'orgue lire , dans l'église du mar- ché , l'Épître , et une instruction à ce sujet , composée par le prédicateur . Cette lecture se faisait d'un ton de voix si perçant et si monotone , que personne ne pou- vait ni l'entendre ...
... haut de l'orgue lire , dans l'église du mar- ché , l'Épître , et une instruction à ce sujet , composée par le prédicateur . Cette lecture se faisait d'un ton de voix si perçant et si monotone , que personne ne pou- vait ni l'entendre ...
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Mémoires de Aug. Guil. Iffland, auteur et comédien allemand August Wilhelm Iffland Sin vista previa disponible - 1823 |
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página xiv - Iffland dans ses rôles. Je ne crois pas que nous ayons jamais vu au théâtre français un talent plus varié ni plus inattendu que le sien, ni un acteur qui se risque à rendre les défauts et les ridicules naturels avec une expression aussi frappante. Il ya dans la comédie des modèles donnés, les pères avares, les fils libertins, les valets fripons, les tuteurs dupés; mais les rôles d'Iffland, tels qu'il les conçoit ne peuvent entrer dans aucun de...
Página xxxv - Iffland n'ait été pompeusement pro« clamé le Molière de l'Allemagne. « Comme ce grand homme, il est «vrai, Iffland fut à la fois auteur, « acteur et directeur; mais on ne sau« rait, sans une révoltante partialité, « pousser le parallèle beaucoup plus « loin. Ce n'est pas toutefois que le « dramaturge allemand ne possède « des parties de talent fort estimables. « II excelle, par exemple, dans la « peinture naïve des mœurs et des ta« bleaux de famille, titre qu'il a même «...
Página 71 - Les rires devinrent plus forts , l'Esprit quitta la scène , et celui qui devait, sous le théâtre, représenter le vieux chercheur de trésors, jura d'une manière si terrestre , que le balancier , celui qui le mettait en mouvement , et ceux qui en avaient donné l'idée , prirent simultanément la fuite. A la fin de l'acte , Hamlet et l'Esprit...
Página 69 - L'acteur qui remplissait ce rôle s'arrête , glacé d'épouvante, à l'approche de l'Esprit. Ecthof, qui le représentait , entre en scène. Hamlet frissonne devant les secrets de l'éternité. L'Esprit commence à parler.... quand tout à coup un bruit désagréable et monotone se fait entendre près de là ; et le public de rire. Hamlet se retourne, et se fâche. L'Esprit regarde derrière soi de l'autre côté , et peste de toutes ses forces. Le machiniste, qui ignore ce qui se passe, continue,...
Página 70 - C'est quelque chose de très nouveau , le mouvement du balancier ! » Cependant , quand on l'eut instruit des dispositions hostiles des premiers personnages tragiques , du rire bruyant de l'auditoire , il prévit surle-champ ce qui l'attendait à la fin de l'acte. Il commença donc à se défendre ; mais comme , dans le feu de la discussion , il n'avait pas quitté la baguette de fer, et que, sans s'en apercevoir, il frappait toujours plus vite sur l'une et l'autre planche , le scandale fut bientôt...
Página xxxix - paraît avoir été dirigé par une ré<i flexion qui souvent a été faite parmi « nous. Il a pensé que, des deux pièces « les plus connues, dirigées contre « la passion du jeu, l'une (le Joueur, «de Regnard) n'avait pas atteint le « but, et l'autre ( le Gamester, de « Moore ) l'avait dépassé. La voie «moyenne, entre une comédie plus « bouffonne que morale (l), et une tra(1) Pour moi, je pense qu'il ya bien quelques « gédie bourgeoise plus effrayante que « pathétique , a donc...
Página 117 - Les piétons abrégeaient la route en chantant, tandis que ceux qui étaient à cheval en doublaient la longueur, en allant et revenant sans cesse sur leurs pas. Toute la nuit l'effusion de la joie , les vapeurs du vin et les éclats bruyans de la gaîté répandaient dans tous les esprits une sorte d'ivresse qui devait nécessairement entraîner l'homme le plus indifférent. L'électeur n'avait pas vu le théâtre de Manheim depuis trois ans.
Página xxxix - expie la faute ), où le coupable, « après les plus terribles épreuves, re« naît au bonheur. Ces trois pièces, « tirées du même fonds, n'en forment « réellement qu'une en quinze actes. « Parmi les autres ouvrages d'Iffland, « dont le défaut d'espace ne nous per« met pas même de donner le cata« logue, il s'en trouve un dont le titre « seul ne- pourrait manquer de fixer « l'attention des lecteurs de tout pays, « puisqu'il n'est aucun théâtre où ce « sujet n'ait été essayé...