Mémoires de Aug. Guil. Iffland, auteur et comédien allemand: avec une notice sur les ouvrages de cet acteurPonthieu, 1823 - 255 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 26
Página 3
... main , et quelques semaines après , je pensai toute la nuit à ce spectacle si varié et si bril- lant . Dans la suite , et pendant long - temps , je construisais souvent des portes triomphales avec des bancs et des chaises , je les ...
... main , et quelques semaines après , je pensai toute la nuit à ce spectacle si varié et si bril- lant . Dans la suite , et pendant long - temps , je construisais souvent des portes triomphales avec des bancs et des chaises , je les ...
Página 12
... allions faire visite à des étran- gers ; tout cela me donnait une haute idée de la chose . Nous devions partir à quatre heures , et à trois heures j'avais déjà le chapeau à la main . Enfin ce moment si attendu arriva . Nous 12 MÉMOIRES.
... allions faire visite à des étran- gers ; tout cela me donnait une haute idée de la chose . Nous devions partir à quatre heures , et à trois heures j'avais déjà le chapeau à la main . Enfin ce moment si attendu arriva . Nous 12 MÉMOIRES.
Página 13
... main . Enfin ce moment si attendu arriva . Nous traversâmes les deux cours du palais et montâmes le grand escalier . Je n'étais pas en- core venu dans ce grand édifice ; la longueur des corridors , la hauteur des portes , les gar- des ...
... main . Enfin ce moment si attendu arriva . Nous traversâmes les deux cours du palais et montâmes le grand escalier . Je n'étais pas en- core venu dans ce grand édifice ; la longueur des corridors , la hauteur des portes , les gar- des ...
Página 20
... main , je m'abandonnais à ma fureur . Quelquefois , sans rien changer au reste de mon costume , un panier de ma grand'mère achevait la parure de Cléopâtre . Au milieu de tout cela brillait mon propre vêtement . C'était un petit habit de ...
... main , je m'abandonnais à ma fureur . Quelquefois , sans rien changer au reste de mon costume , un panier de ma grand'mère achevait la parure de Cléopâtre . Au milieu de tout cela brillait mon propre vêtement . C'était un petit habit de ...
Página 32
... main divine m'avait conduit près de ce guide . Un seul instant de cette soirée décida de ma vie entière . ( 1 ) Source de gloire et de sécurité . ( 2 ) Douce consolation des chagrins . Je jouis peu de la représentation de Ri- chard III ...
... main divine m'avait conduit près de ce guide . Un seul instant de cette soirée décida de ma vie entière . ( 1 ) Source de gloire et de sécurité . ( 2 ) Douce consolation des chagrins . Je jouis peu de la représentation de Ri- chard III ...
Otras ediciones - Ver todas
Memoires de Aug. Guil. Iffland, Auteur Et Comedien Allemand; Avec Une Notice August Wilhelm Iffland,Iffland-A Sin vista previa disponible - 2013 |
Mémoires de Aug. Guil. Iffland, auteur et comédien allemand August Wilhelm Iffland Sin vista previa disponible - 1823 |
Términos y frases comunes
acteurs agréable âme artistes avaient baron de Dalberg beau Beck Beil Berlin bientôt bienveillance bonté Brandes Brockmann c'était caisse chagrin chose circonstance Clairfait Cléopâtre cœur comédie comédiens comte comtesse palatine d'Iffland dant Deux-Ponts devait donner époque étions événemens faisait famille Francfort Frankenthal gaîté Gotha goût habitans Hambourg Hamlet Hanovre Heidelberg homme Iffland intel intérêt j'ai j'avais j'étais jamais joie jouer jour l'armée l'art dramatique l'électeur l'électrice l'intendant larmes long-temps m'avait m'en m'était manière Mayence Mémoires ment moi-même Munich n'avait n'était noble Palatinat palatine parler passer pendant pensée personne persuasion pièce plaisir position pouvait première prince public quitter Manheim rendait représentation rester reux Rhin Rodogune rôle s'était salle scène Schröder Schwetzingen sentimens sentiment serait seul Seyler Shakespeare sion soir souvent spectacle suite talent tation théâ théâtre allemand théâtre de Manheim tion tout-à-fait tragédie triste troupe trouver vérité vint vive voulait Weimar Wurmser zèle
Pasajes populares
Página xiv - Iffland dans ses rôles. Je ne crois pas que nous ayons jamais vu au théâtre français un talent plus varié ni plus inattendu que le sien, ni un acteur qui se risque à rendre les défauts et les ridicules naturels avec une expression aussi frappante. Il ya dans la comédie des modèles donnés, les pères avares, les fils libertins, les valets fripons, les tuteurs dupés; mais les rôles d'Iffland, tels qu'il les conçoit ne peuvent entrer dans aucun de...
Página xxxv - Iffland n'ait été pompeusement pro« clamé le Molière de l'Allemagne. « Comme ce grand homme, il est «vrai, Iffland fut à la fois auteur, « acteur et directeur; mais on ne sau« rait, sans une révoltante partialité, « pousser le parallèle beaucoup plus « loin. Ce n'est pas toutefois que le « dramaturge allemand ne possède « des parties de talent fort estimables. « II excelle, par exemple, dans la « peinture naïve des mœurs et des ta« bleaux de famille, titre qu'il a même «...
Página 71 - Les rires devinrent plus forts , l'Esprit quitta la scène , et celui qui devait, sous le théâtre, représenter le vieux chercheur de trésors, jura d'une manière si terrestre , que le balancier , celui qui le mettait en mouvement , et ceux qui en avaient donné l'idée , prirent simultanément la fuite. A la fin de l'acte , Hamlet et l'Esprit...
Página 69 - L'acteur qui remplissait ce rôle s'arrête , glacé d'épouvante, à l'approche de l'Esprit. Ecthof, qui le représentait , entre en scène. Hamlet frissonne devant les secrets de l'éternité. L'Esprit commence à parler.... quand tout à coup un bruit désagréable et monotone se fait entendre près de là ; et le public de rire. Hamlet se retourne, et se fâche. L'Esprit regarde derrière soi de l'autre côté , et peste de toutes ses forces. Le machiniste, qui ignore ce qui se passe, continue,...
Página 70 - C'est quelque chose de très nouveau , le mouvement du balancier ! » Cependant , quand on l'eut instruit des dispositions hostiles des premiers personnages tragiques , du rire bruyant de l'auditoire , il prévit surle-champ ce qui l'attendait à la fin de l'acte. Il commença donc à se défendre ; mais comme , dans le feu de la discussion , il n'avait pas quitté la baguette de fer, et que, sans s'en apercevoir, il frappait toujours plus vite sur l'une et l'autre planche , le scandale fut bientôt...
Página xxxix - paraît avoir été dirigé par une ré<i flexion qui souvent a été faite parmi « nous. Il a pensé que, des deux pièces « les plus connues, dirigées contre « la passion du jeu, l'une (le Joueur, «de Regnard) n'avait pas atteint le « but, et l'autre ( le Gamester, de « Moore ) l'avait dépassé. La voie «moyenne, entre une comédie plus « bouffonne que morale (l), et une tra(1) Pour moi, je pense qu'il ya bien quelques « gédie bourgeoise plus effrayante que « pathétique , a donc...
Página 117 - Les piétons abrégeaient la route en chantant, tandis que ceux qui étaient à cheval en doublaient la longueur, en allant et revenant sans cesse sur leurs pas. Toute la nuit l'effusion de la joie , les vapeurs du vin et les éclats bruyans de la gaîté répandaient dans tous les esprits une sorte d'ivresse qui devait nécessairement entraîner l'homme le plus indifférent. L'électeur n'avait pas vu le théâtre de Manheim depuis trois ans.
Página xxxix - expie la faute ), où le coupable, « après les plus terribles épreuves, re« naît au bonheur. Ces trois pièces, « tirées du même fonds, n'en forment « réellement qu'une en quinze actes. « Parmi les autres ouvrages d'Iffland, « dont le défaut d'espace ne nous per« met pas même de donner le cata« logue, il s'en trouve un dont le titre « seul ne- pourrait manquer de fixer « l'attention des lecteurs de tout pays, « puisqu'il n'est aucun théâtre où ce « sujet n'ait été essayé...