Mémoires de Aug. Guil. Iffland, auteur et comédien allemand: avec une notice sur les ouvrages de cet acteurPonthieu, 1823 - 255 páginas |
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... yeux , m'ont engagé , en publiant mes comédies , à donner quelques détails sur ma carrière théâtrale . Cette invi- tation , le plaisir que j'éprouve , en écrivant , à me rappeler les événemens passés , et par- ticulièrement la ...
... yeux , m'ont engagé , en publiant mes comédies , à donner quelques détails sur ma carrière théâtrale . Cette invi- tation , le plaisir que j'éprouve , en écrivant , à me rappeler les événemens passés , et par- ticulièrement la ...
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... yeux . On représentait , je crois , ce jour - là , le Malade imaginaire . Je pourrais encore indi- quer la place où le vieil Ackermann était assis en robe - de - chambre . Je vois encore l'amou- reux en habit gris et en veste verte ...
... yeux . On représentait , je crois , ce jour - là , le Malade imaginaire . Je pourrais encore indi- quer la place où le vieil Ackermann était assis en robe - de - chambre . Je vois encore l'amou- reux en habit gris et en veste verte ...
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... yeux de tous côtés , mais les tenir fixés sur la scène ; enfin , être bien attentif à tout ce qui s'y di- rait d'utile . Je promis de me conformer scru- puleusement à cette loi . Je serrai l'affiche dans ma poche avec au- tant de soin ...
... yeux de tous côtés , mais les tenir fixés sur la scène ; enfin , être bien attentif à tout ce qui s'y di- rait d'utile . Je promis de me conformer scru- puleusement à cette loi . Je serrai l'affiche dans ma poche avec au- tant de soin ...
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... yeux l'importance de ce que j'allais voir . La rampe fut allumée , et me permit de distinguer la toile qui cachait en- core l'unique objet de mes désirs . Quelle joie me causa l'éclat des couleurs qui y brillaient ! quel ravissement fut ...
... yeux l'importance de ce que j'allais voir . La rampe fut allumée , et me permit de distinguer la toile qui cachait en- core l'unique objet de mes désirs . Quelle joie me causa l'éclat des couleurs qui y brillaient ! quel ravissement fut ...
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... yeux qu'Antiochus et Cléopâtre . Hé quoi ! je ne devais plus parler de ces princes si magnanimes , si malheureux , qui s'étaient montrés devant mes yeux avec tant de no- blesse et de confiance ? J'essayai d'en parler à mes frères et ...
... yeux qu'Antiochus et Cléopâtre . Hé quoi ! je ne devais plus parler de ces princes si magnanimes , si malheureux , qui s'étaient montrés devant mes yeux avec tant de no- blesse et de confiance ? J'essayai d'en parler à mes frères et ...
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Memoires de Aug. Guil. Iffland, Auteur Et Comedien Allemand; Avec Une Notice August Wilhelm Iffland,Iffland-A Sin vista previa disponible - 2013 |
Mémoires de Aug. Guil. Iffland, auteur et comédien allemand August Wilhelm Iffland Sin vista previa disponible - 1823 |
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página xiv - Iffland dans ses rôles. Je ne crois pas que nous ayons jamais vu au théâtre français un talent plus varié ni plus inattendu que le sien, ni un acteur qui se risque à rendre les défauts et les ridicules naturels avec une expression aussi frappante. Il ya dans la comédie des modèles donnés, les pères avares, les fils libertins, les valets fripons, les tuteurs dupés; mais les rôles d'Iffland, tels qu'il les conçoit ne peuvent entrer dans aucun de...
Página xxxv - Iffland n'ait été pompeusement pro« clamé le Molière de l'Allemagne. « Comme ce grand homme, il est «vrai, Iffland fut à la fois auteur, « acteur et directeur; mais on ne sau« rait, sans une révoltante partialité, « pousser le parallèle beaucoup plus « loin. Ce n'est pas toutefois que le « dramaturge allemand ne possède « des parties de talent fort estimables. « II excelle, par exemple, dans la « peinture naïve des mœurs et des ta« bleaux de famille, titre qu'il a même «...
Página 71 - Les rires devinrent plus forts , l'Esprit quitta la scène , et celui qui devait, sous le théâtre, représenter le vieux chercheur de trésors, jura d'une manière si terrestre , que le balancier , celui qui le mettait en mouvement , et ceux qui en avaient donné l'idée , prirent simultanément la fuite. A la fin de l'acte , Hamlet et l'Esprit...
Página 69 - L'acteur qui remplissait ce rôle s'arrête , glacé d'épouvante, à l'approche de l'Esprit. Ecthof, qui le représentait , entre en scène. Hamlet frissonne devant les secrets de l'éternité. L'Esprit commence à parler.... quand tout à coup un bruit désagréable et monotone se fait entendre près de là ; et le public de rire. Hamlet se retourne, et se fâche. L'Esprit regarde derrière soi de l'autre côté , et peste de toutes ses forces. Le machiniste, qui ignore ce qui se passe, continue,...
Página 70 - C'est quelque chose de très nouveau , le mouvement du balancier ! » Cependant , quand on l'eut instruit des dispositions hostiles des premiers personnages tragiques , du rire bruyant de l'auditoire , il prévit surle-champ ce qui l'attendait à la fin de l'acte. Il commença donc à se défendre ; mais comme , dans le feu de la discussion , il n'avait pas quitté la baguette de fer, et que, sans s'en apercevoir, il frappait toujours plus vite sur l'une et l'autre planche , le scandale fut bientôt...
Página xxxix - paraît avoir été dirigé par une ré<i flexion qui souvent a été faite parmi « nous. Il a pensé que, des deux pièces « les plus connues, dirigées contre « la passion du jeu, l'une (le Joueur, «de Regnard) n'avait pas atteint le « but, et l'autre ( le Gamester, de « Moore ) l'avait dépassé. La voie «moyenne, entre une comédie plus « bouffonne que morale (l), et une tra(1) Pour moi, je pense qu'il ya bien quelques « gédie bourgeoise plus effrayante que « pathétique , a donc...
Página 117 - Les piétons abrégeaient la route en chantant, tandis que ceux qui étaient à cheval en doublaient la longueur, en allant et revenant sans cesse sur leurs pas. Toute la nuit l'effusion de la joie , les vapeurs du vin et les éclats bruyans de la gaîté répandaient dans tous les esprits une sorte d'ivresse qui devait nécessairement entraîner l'homme le plus indifférent. L'électeur n'avait pas vu le théâtre de Manheim depuis trois ans.
Página xxxix - expie la faute ), où le coupable, « après les plus terribles épreuves, re« naît au bonheur. Ces trois pièces, « tirées du même fonds, n'en forment « réellement qu'une en quinze actes. « Parmi les autres ouvrages d'Iffland, « dont le défaut d'espace ne nous per« met pas même de donner le cata« logue, il s'en trouve un dont le titre « seul ne- pourrait manquer de fixer « l'attention des lecteurs de tout pays, « puisqu'il n'est aucun théâtre où ce « sujet n'ait été essayé...