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BERICHT

über die Thätigkeit der Gesellschaft für lothringische Geschichte und

Altertumskunde

vom 1. April 1897 bis 1. April 1898.

Generalversammlung am Samstag, dem 24. April, nachmittags 5 Uhr,

im Erdgeschosssaale des Bezirkspräsidiums.

Anwesend vom Vorstande: Die Herren von Hammerstein, von Daacke, von Fisenne, Dr. Wolfram und ausserdem noch etwa 30 Mitglieder.

Nach Eröffnung der Versammlung erstattet der Schatzmeister der Gesellschaft, Herr Regierungs- und Forstrat von Daacke, den Rechenschaftsbericht für 1896-97. Danach belaufen sich

die Einnahmen auf.

die Ausgaben auf

7067.87 M.

7039.42 >

Sonach verbleibt ein Ueberschuss von .

28.45 M.

Hierzu kommen die Baarbestände aus den früheren
Jahren mit.

2812.24

so dass am Schlusse des Rechnungsjahres 1896/97 der
Kassenbestand beträgt.

2840.69 M.

Zu Rechnungsprüfern waren, wie im Vorjahre, die Herren Kreisschulinspektoren Pünnel und van den Driesch gewählt. Bei Prüfung der Rechnung und der Belege wurden von den genannten Herren Anstände nicht erhoben. Auf Antrag des Herrn Pünnel wird dem Schatzmeister in der Generalversammlung Entlastung erteilt.

Der Schriftführer, Archivdirektor Dr. Wolfram, verliest den Bericht über die Thätigkeit der Gesellschaft im Jahre 1896, 97 (abgedruckt in der «Lothringer Zeitung vom 28. April 1897 und in den hiesigen übrigen Zeitungen).

An Stelle des nach Strassburg versetzten Herrn Majors Geppert wurde Herr Oberstlieutenant Weissenborn in den Vorstand gewählt. Der Vorsitzende teilt mit, dass für diesen Sommer ein grösserer Ausflug nach Vic (wahrscheinlich im Monat Juni) und weitere Ausflüge nach Alberschweiler und nach Moulins-JussySt. Ruffine in Aussicht genommen sind.

Auch für das jetzt bereits begonnene Rechnungsjahr hat das kaiserliche Ministerium eine Beihülfe in der Höhe von 1000 Mark gewährt.

Den Schluss der Sitzung bildete ein sehr lehrreicher und interessanter Vortrag des Herrn Oberst a. D. Kaufmann über die Reunionspolitik des Kardinals Richelieu. Die Reunionstheorie, welche darauf ausging, die angeblichen, mehr als

Compte-rendu

des travaux de la Société d'histoire et d'archéologie lorraine

du 1er avril 1897 au 1er avril 1898.

Assemblée générale du samedi 24 avril, à 5 heures de l'après-midi, à l'Hôtel de la Présidence.

Sont présents: MM. le baron de Hammerstein, de Daacke, de Fisenne

Dr Wolfram, membres du Bureau, et environ 30 sociétaires.

La séance étant ouverte, M. de Daacke, conseiller des forêts et trésorier de la Société rend compte des recettes et des dépenses faites par la Société pendant l'exercice 1896-97.

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En sorte que l'encaisse actuelle de la Société est de 2840.69 M.

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MM. Pünnel et van den Driesch, inspecteurs des écoles, avaient été chargés, comme les années précédentes, de vérifier les comptes. N'ayant trouvé, lors de l'examen des comptes et des pièces à l'appui, aucune objection à élever, M. Pünnel propose à l'assemblée générale de donner décharge au trésorier de sa gestion. Décharge est accordée à M. de Daacke.

M. le Dr Wolfram, directeur des archives et secrétaire de la Société, donne lecture du compte-rendu des travaux de la Société pendant l'exercice 1896-97 (imprimé dans la «Lothringer Zeitung» du 28 avril 1897, ainsi que dans les autres feuilles paraissant à Metz).

En remplacement de M. le major Geppert, transféré à Strassburg, M. Weissenborn, lieutenant-colonel, est élu membre du Bureau. M. le Président annonce que le Bureau a décidé de faire dans le courant de l'été une grande excursion archéologique vers la ville de Vic (probablement au mois de juin), une seconde dans la direction d'Alberschweiler et enfin une troisième dans les environs de Moulins-Jussy-Ste-Ruffine.

Le ministère impérial a accordé de nouveau à la Société, pour l'exercice courant, une subvention de 1000 Mark.

La parole est accordée ensuite à M. Kaufmann, colonel en retraite, qui expose d'une manière particulièrement instructive et intéressante la politique de réunion du cardinal Richelieu. D'après M. Kaufmann, la théorie de réunion qui

zweifelhaften Rechte Frankreichs auf die drei Bistümer Metz, Toul und Verdun geltend zu machen, stammt aus den zwanziger Jahren des 17. Jahrhunderts, als die Geschicke Frankreichs unter der Regierung Ludwig XIII. durch den allgewaltigen Minister, Kardinal Richelieu, gelenkt wurden. Bereits 1624 war eine Kommission, bestehend aus 3 Mitgliedern: Dubois, Lebret und Dupuy, eingesetzt, welche, gemäss dem Edikte und der Dienstanweisung von 1624, den Auftrag erhielten, sämtliche in den öffentlichen Beständen niedergelegten Rechtstitel und Urkunden zu prüfen. Aus diesen Urkunden wurde mit Fleiss alles herausgegriffen, was nur irgendwie dem Könige ein scheinbares Anrecht auf die 3 Bistümer liefern konnte. Wo Rechtstitel nicht vorhanden waren oder sich nicht zu Gunsten der französischen Politik deuten liessen, wurden Zeugen gehört (tant par titres que par témoins). Diese vom Kardinal Richelieu eingesetzte Kommission von 3 Mitgliedern, deren eifrige Thätigkeit, Umsicht und Klugheit übrigens sehr bewundernswert ist, bezeichnet der Redner als Vorreunionskammer. Erst 1679 wurde die eigentliche Reunionskammer eingerichtet. Ihre Aufgabe war nun eine leichte, nachdem ihre Vorgängerin bereits alle Schwierigkeiten zur Ausführung der Reunion entfernt hatte. In kurzer Zeit war die Vereinigung der 3 Bistümer Metz, Toul und Verdun rücksichtslos durchgeführt. Die Nachbarstaaten, insbesondere Deutschland, waren durch die kluge Politik Richelieus hingehalten und dachten nicht daran, Einspruch zu erheben.

Der Vorsitzende sprach dem Herrn Oberst Kaufmann für seine wertvollen Mitteilungen den warmen Dank der Versammlung aus.

Schluss der Sitzung 61 Uhr.

Vorstandssitzung vom 2. Juni, nachmittags 2 Uhr, im Bezirkspräsidium.

Anwesend: Der Vorstand mit Ausnahme der Herren von Fisenne, de Verneuil, Dorvaux und Besler (entschuldigt).

Der Vorsitzende teilt mit, dass am 24. Mai Ministerialrat Du Prel im Auftrage des Herrn Staatssekretärs in Metz war, um mit einigen Vorstandsmitgliedern eine Vorbesprechung über die zu bildende historische Landeskommission abzuhalten. Die damals entworfenen Leitsätze hat der Schriftführer, Dr. Wolfram, mittlerweile codificiert und sie werden nummehr dem Vorstande zur Durchberatung und Beschlussfassung vorgelegt.

Ausflug nach Vic am Donnerstag, dem 9. Juni 1897.

Von Metz, Saarburg, Saargemünd, Diedenhofen, Dieuze und Strassburg waren etwa 50 Mitglieder der Gesellschaft mit dem Zehnuhrzuge in Vic eingetroffen, wo sie von dem Gemeinderate mit dem Herrn Bürgermeister Chaligny an der Spitze feierlich auf dem Bahnhofe empfangen wurden. Der Zug der Gäste bewegte sich sodann durch die reichgeschmückten Strassen nach dem Stadthause. Dort hatten sich noch zahlreiche Bewohner der Stadt Vic zur Sitzung eingefunden, so dass der geräumige Saal kaum die Teilnehmer zu fassen vermochte. In

tendait à prouver les droits fictifs et très douteux de la France sur les TroisEvêchés Metz, Toul et Verdun, prend son origine déjà dans la première vingtaine du XVIIe siècle, alors que, sous Louis XIII, les destinées de la France étaient dirigées par le puissant cardinal Richelieu. Dès l'année 1624 une commission composée des trois membres bien connus: Dubois, Lebret et Dupuy, avait été instituée, qui reçut pour mission, conformément à l'édit et à l'instruction de 1624, d'examiner dans les dépôts publics tous les documents et titres. Parmi ces documents la commission sut faire adroitement un choix de tous les titres qui accordaient en apparence au roi un droit de propriété quelconque sur des Trois-Evêchés. Lorsque les titres faisaient défaut ou qu'ils ne prouvaient pas en faveur des prétendus droits du roi, la commission avait recours aux témoins (l'édit royal leur intimait l'ordre de vérifier les droits du roi tant par titres que par témoins«). Cette commission de 3 membres instituée par Richelieu, à laquelle il faut d'ailleurs reconnaître une activité, une circonspection et une prudence vraiment étonnantes, est désignée par M. Kaufmann sous le nom de »Chambre de réunion préparatoire. Ce n'est qu'en 1679 que la Chambre de réunion proprement dite a été instituée. La tâche de cette dernière fut bien facile, depuis que la Chambre de réunion préparatoire avait réussi à écarter toutes les difficultés qui empêchaient d'exécuter la Réunion‹. La preuve, c'est que peu de temps après, la réunion des Trois-Evêchés de Metz, Toul et Verdun à la France était chose faite. Les Etats avoisinants, entre autre l'Allemagne, se laissèrent éblouir par l'adroite politique de Richelieu et ne songèrent aucunement à protester contre les empiétements de la France.

M. le Président exprime à M. Kaufmann les remercîments de l'assemblée pour sa conférence si intéressante.

La séance est levée à 64 heures.

Séance du Bureau du 2 juin, à 2 heures de l'après-midi, à l'Hôtel de la Présidence.

Sont présents: Les membres du Bureau à l'exception de MM. de Fisenne, de Verneuil, Dorvaux et Besler (ce dernier s'est fait excuser).

Le Président annonce que M. le baron du Prel, conseiller ministériel, s'est rendu, sur l'ordre de M. le secrétaire d'Etat, à Metz afin de s'entretenir avec quelques membres du Bureau au sujet du projet de la création d'une commission historique pour l'Alsace-Lorraine. Les principes fondamentaux fixés dans cette conférence ont été codifiés entretemps par M. le Dr Wolfram, et le Bureau est prié de les soumettre à sa délibération.

Excursion à Vic du jeudi 9 juin 1897.

Environ 50 sociétaires de Metz, Saarburg, Saargemünd, Diedenhofen, Dieuze et Strassburg arrivèrent à Vic par le train de 10 heures. Ils furent reçus solennellement à la gare par M. Chaligny, maire, entouré des conseillers municipaux. De la gare, les hôtes se rendirent à travers les rues de Vic richement décorées vers l'hôtel de Ville, où un grand nombre d'habitants de la ville avait déjà pris place pour assister à la séance, de sorte que la salle, quoique grande, put à peine contenir le grand nombre d'auditeurs. En l'absence du Président de la Société,

Abwesenheit des Vorsitzenden eröffnete Archivdirektor Wolfram die Sitzung und erteilte zunächst Herrn Bürgermeister Chaligny das Wort zu einer Begrüssungsrede. Nach der Antwort des Vorsitzenden begann Herr Abbé Chatelain seinen Vortrag über die Geschichte der Stadt Vic. In ausserordentlich gründlicher Weise hatte sich Herr Chatelain in die reiche Vergangenheit des Ortes eingearbeitet und wusste fast eine Stunde lang das Interesse der Zuhörer zu fesseln. Nach ihm sprach Archivdirektor Dr. Wolfram über das Vicer Handwerk im 15. Jahrhundert. Auf Grund eines reichen Urkundenmaterials führte er aus, dass es in erster Linie die Bischöfe Conrad und Georg waren, denen Vic nicht nur die zunftmässige Organisation seines Handwerks zu danken hat, sondern die auch zahlreiche deutsche Handwerker hier angesiedelt haben. Sodann wurde die recht reichhaltige Ausstellung von Vicer Altertümern, die durch die Bemühungen des Herrn Bauinspektor Rueff und Pfarrer Petit in Marsal zusammengebracht war, besichtigt.

Nach Schluss der Sitzung fand ein gemeinsames Mittagessen im Amtsgerichtssaale statt, an dem 45 Mitglieder teilnahmen.

Gegen 3 Uhr begann unter Führung der Herren Chaligny und Erzpriester Villaume die Besichtigung der hochinteressanten Stadt und der Kirche. In letzterer erregten besonders die reizvollen Statuen und die herrlich gestickten kirchlichen Gewänder die allgemeine Aufmerksamkeit.

Um 5 Uhr versammelten sich die Gäste mit den Einheimischen noch bei einem guten Glase Münchener Bieres, um sich gegen sechs Uhr mit den besten Eindrücken von dem gutgelungenen Feste, der freundlichen Stadt und ihren Bewohnern zu verabschieden.

Vorstandssitzung am Mittwoch, dem 7. Juli, mittags 12 Uhr. Anwesend: Die Herren von Hammerstein, Wichmann, Paulus, Grimme, von Daacke, Wolfram.

Der Herr Vorsitzende wurde bei einer dienstlichen Anwesenheit in Strassburg angegangen, mit den Herren Professoren Bresslau, Varrentrapp, Wiegand über die Vorschläge betr. Bildung einer Landeskommission ins Benehmen zu treten. Für Herbeiführung einer Einigung machen die Herren Professoren eine Reihe von Vorschlägen. Der Vorstand der Gesellschaft für lothringische Geschichte und Altertumskunde acceptiert diese Vorschläge nicht in vollem Umfange. Ueber das Nähere muss auf die Protokolle verwiesen werden.

Für die Untersuchungen der Kirche St. Peter in der Citadelle wird auf Antrag des Archivdirektors Wolfram ein Kredit von 300 Mark bewilligt.

Von den Skulpturen bei Lemberg (pompöser Brunnen) soll, wenn die Kosten 100 Mark nicht übersteigen, ein Abguss gefertigt werden. Die Gesellschaft zur Erhaltung historischer Denkmäler im Elsass soll zum Ausflug am 17. Juli eingeladen werden.

Ausflug nach Lörchingen, Alberschweiler, Hültenhausen und Lützelburg am Samstag dem 17. und Sonntag dem 18. Juli 1897.

Unter Führung des Vorsitzenden brachen etwa 15 Teilnehmer mit dem Zuge 8 Uhr morgens nach Lörchingen auf. Aus verschiedenen Orten des Landes

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