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Krieg von Hochfelden 6, Ruckgaber 7, Vanotti 8, Fickler 9 et Uhland 10 en avaient signalé le mérite. Mais c'est M. Barack qui les a publiés et étudiés à fond le premier; le premier il a tiré de cette étude des conclusions satisfaisantes sur l'auteur de la chronique, les sources auxquelles celui-ci a puisé, l'époque où il a composé son œuvre et la langue dans laquelle il l'a écrite. En effet, tandis que quelques-uns des savants cités plus haut et surtout Ruckgaber, désignent le comte Wilhelm Werner de Zimmern ", M. Barack démontre 12 jusqu'à l'évidence que, si le comte a fourni des renseignements relatifs à l'histoire de sa maison, il ne peut pas être le véritable auteur de la chronique: d'après lui, elle aurait été écrite par le comte Froben Christophe de Mespelbronn 13 (né en 1519, mort entre le 23 août 1566 et le 7 mars 1567) et par Hanns Müller, secrétaire du comte de Zimmern à Messkirch, devenu plus tard grand-prévôt du comte de Zimmern à Oberndorf sur le Neckar (mort à Oberndorf après 1568) 1; la date de la rédaction devrait être placée aux environs de l'année 1566.

Voici le jugement que porte M. Barack sur la valeur des divers renseignements fournis par la chronique: « Pour les évènements con» temporains, s'ils ne se sont pas passés trop loin de l'auteur, les >> renseignements historiques méritent toute confiance. Pour ceux, au » contraire, qui, dans l'ordre des temps et des lieux, ont été moins » à la portée de l'auteur et de son observation directe, il sont assez >> souvent présentés sous un faux jour, ou bien certains faits sont pré>> sentés comme connexes, comme causes et effets, tandis qu'en réa»lité ils sont étrangers l'un à l'autre et que l'ordre chronologique >> empêche absolument de les rapprocher. Il est donc indiscutable que . >> cette chronique, comme tant d'autres ouvrages analogues, perd » une partie de sa valeur pour les évènements qui, lorsqu'elle a été » écrite, remontaient déjà à une époque reculée et qu'une forte dose » de critique et de prudence est nécessaire à qui veut en faire usage: » mais, abstraction faite de la richesse des sources où l'auteur a puisé » à pleines mains et pour faire contre-poids au doute critique, il

6 Geschichte der Grafen von Eberstein in Schwaben (1836), p. 349-360.

7 Geschichte der Grafen von Zimmern: ein Beitrag zur Gesch. des deutschen Adels, Rottweil (1840), avantpropos.

8 Geschichte der Grafen von Montfort und von Werdenberg (1845), p. viij; il appelle la Chronique une « œuvre hors ligne pour l'histoire spéciale de la >> Souabe ».

9 Archiv für Geschichte, Genealogie, Diplomatik, I, 32 et ss.: parlant de la valeur de la Chronique au point de vue de la science, il dit : « elle consiste moins » dans la forme de l'œuvre, qui est diffuse et prolixe, » que dans les matériaux précieux qui y sont accumulés, » matériaux tirés de documents perdus ou introuvables.

» Il n'y a presque pas une famille de l'Allemagne du »sud qui n'y soit nommée avec accompagnement de >> faits inconnus et de leurs motifs, et cela projette sur » son histoire plus de lumière que ne pourraient le » faire des chartes sans commentaire ».

10 Pfeiffer, Germania, I. 2, ss.. VI, 50, et 55. Dans les nombreux renseignements qu'elle fournit » sur Bodman, comme dans tout le reste, la Chroniqne » de Zimmern, de 1566, semble animée par un souffle

» vivifiant de tradition populaire

11 Geschichte der Grafen von Zimmern, p. IV.
12 Vol. IV, pp. 451 et s.

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> faut reconnaître que le style en porte une profonde empreinte de » véracité 15 ».

En plaçant cette chronique sur la même ligne que tant d'autres compilations anciennes dont on doit avoir la même opinion, M. Barack a prononcé un jugement généralement juste, et, son importance se trouve ainsi établie par une autorité des plus compétentes. Mais l'historien consciencieux n'en a que davantage le devoir de contrôler dans les détails la véracité des renseignements fournis par ce document; pour cela, il faut remonter aux sources (à celles du moins qui peuvent encore se retrouver) et les remettre en lumière. Ce travail fera naturellement ressortir l'authenticité relative des renseignements et leur valeur.

Tel est le motif qui nous a déterminé à rechercher dans cette étude les sources d'où a été tiré le chapitre de la chronique relatif à la première croisade; après cela il nous sera possible d'établir la valeur des renseignements parfois très intéressants qu'elle fournit sur cette croisade.

M. Röhricht a déjà signalé l'importance de ce chapitre, mais il n'en a pas fait l'objet d'une étude approfondie 16. Ce sont ses indications. qui nous ont amené à étudier avec un soin particulier ce chapitre de la chronique de Zimmern avant d'écrire notre étude sur Pierre l'Hermite: nous en avons reconnu toute l'importance pour qui veut rendre un meilleur compte de la croisade de Pierre et nous avons été assez heureux pour y trouver quelques détails intéressants, que nous avons pu utiliser 7. Nous avons déjà exprimé à cette occasion notre opinion sur ce chapitre, mais notre but est, aujourd'hui, de reproduire d'une manière plus complète ce que nous avions dû, alors, ou mutiler faute de place, ou renoncer à encadrer dans notre récit.

Nous commencerons par donner le texte original avec une traduction littérale du chapitre en question; car la chronique, nous l'avons dit déjà, est écrite en dialecte souabe-alaman du XVIe siècle 18; mais, pour la clarté de l'exposition, nous nous permettrons, dans la tra

15 Vol. IV, p. 445 et s. Nous pouvons encore citer d'autres jugements très favorables portés sur cette Chronique par divers écrivains: par Gervinus, Gesch, der deutsch. Dichtung, 2e éd., vol. II, p. 5353 dans les Göttinger Gelehrten Anzeigen, 1869, p. 1299; dans le Literar. Centralblatt, 1869, p. 1446; par Wattenbach dans les Heidelberger Jahrbücher, 1869, p. 595 et ss.; par Birlinger, dans le Theologisches Literaturblatt, 1870, p. 519; dans le Zeitschrift für vergleichende Sprachforschung, vol. XX, pp. 55 et ss. Voy. aussi le Prospectus composé par l'éditeur pour la 2o édition de la Chronique, et la Schwäbische Kronik, 1881, Nr 245 (Sonntagsbeilage des Merkurs).

16 V. Zeitschrift für deutsche Philologie, Vol. VII,

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p. 166: M. Röhricht l'explique ainsi qu'il suit: La Chronique de Zimmern est « une source où il faut

puiser pour l'histoire de la première et de la deuxième » croisade on ne l'a jamais encore désignée

» ou reconnue comme telle, mais comme elle est » basée sur des relations de témoins oculaires, très » anciennes et probablement perdues, elle est intéres» sante au plus haut degré et fournit beaucoup de renseignements nouveaux. »

17 Peter der Ermite, ein kritischer Beitrag zur Gesch. des ersten Kreuzzuges. Leipzig 1879, p. 134. 18 Voy. Barack, Zimmerische Chronik, vol. IV, p. 467 et ss. C'est le dialecte souabe-alaman, mais avec une forte prépondérance de l'alaman.

1 éd., p. 78

2 éd., p. 85.

duction, de nous écarter de l'original, en le découpant en petits chapitres; nous laisserons subsister les rubriques de la chronique; les titres de chapitres, ajoutés par nous, seront mis entre crochets.

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Mittler zeit, wie dise handlungen zwischen denen zwaien bischoven zu Costanz fürgingen, 2 erhube sich, als man zellet nach Christi unsers herrn gepurt ain tausend fünfundneunzige, der aller grössest heerzug wider die ungleübigen, von dem man geschriben findt. Es waren darbei gar treffenliche vil fürsten, gaistlichs und weltlichs stands, auch graven, freien herrn, ritter und edelknecht, von hochen und nidern teutschen landen, aus Gallia, Italia, auch gemeinlich ausser aller christenhait, also das man den haufen achtet und überschlug biss an die dreimal hundert tausendt werhaftiger man zu ross und zu fuoss. Was unsäglicher grosser mühe und arbait, sorg (A 40, a) und gefarlikait dise underwegen, bis sie die statt Jerusalem sampt der landtschaft Judea erobert, gehabt und erlitten, das alles haben Guido Remensis, dessgleichen Robertus Monachus und insonderhait Guilielmus Tyrius, so eins tails derselben zeit gelept und darbei und mit gewesen, nach der lenge beschriben, desshalben nit von [2, ed. p. 86] nöten, solches weiter alhie einzufiern [1. ed. p. 79]. Aber nachdem die iezernempten historici und andere (60) mer nit Hochteutschen, sonder Franzosen oder Niderlender gewesen, haben sie allermaist der herschaften irs landts, die ains tails mitge

1 Titre placé par l'auteur de la Chronique, en tête de la partie qui comprend, dans la traduction, les chapitres suivants, de I à IV (t. I, p. 78-82 - 2 éd. p. 85-89).

Dans ce chapitre, on apprendra quand a commencé la glorieuse guerre contre les Infidèles, sous le règne de l'empereur Henri III, et d'où ont été tirés les chapitres sui

vants.1

I.

[Introduction; sources].

Tandis que les choses se passaient ainsi entre les deux évêques de Constance 2, l'an 1095 ap. J. C. se forma, pour marcher contre le Infidèles, la plus grande armée dont on ait jamais entendu parler. Il s'y trouvait un très grand nombre de princes éminents, ecclésiastiques et laïques, des comtes, barons, chevaliers et écuyers de haute et de basse Allemagne, de Gaule et d'Italie et de toute la chrétienté, et l'on estimait leurs forces à 300,000 combattants à pied et à cheval: ils eurent à subir en route des fatigues et des peines indicibles, à passer par des soucis et des dangers sans nombre, avant de conquérir la ville de Jérusalem et le pays de Judée: Gui de Reims, Robert le Moine et en particulier Guillaume de Tyr, qui ont en partie vécu à cette époque et assisté à ces évènements, les ont décrits en détail: c'est pourquoi il est inutile d'y revenir ici. Mais comme ces historiens et d'autres encore n'étaient pas des Hauts-Allemands, mais des Français ou des Néerlandais, il se sont occupés des seigneurs qui étaient partis de leur pays avec l'armée, ils ont mis tous leurs soins à rappeler leurs noms et à raconter leur histoire; quant à la noblesse de la Haute Allemagne, qui n'a pas moins exposé sa vie et qui a, elle aussi, accompli nombre d'actions nobles et louables, ils

2 Le chroniqueur vient, à l'instant, de raconter les querelles et les violences réciproques de l'évêque Gebhard, partisan du pape, et d'Arnold de Heiligenberg, partisan de l'empereur.

zogen, sonderlich gedacht, dieselben mit iren namen und geschichten ganz fleissig angezaigt, aber des hohen teutschen adls, der doch nit weniger leib und leben gewaget, darzu vil loblicher adelicher thaten begangen, haben sie nit anders, dann nu in der gemain und mit denen kurzesten worten meldung gethon. Darumb ist zu wissen, das in dem closter zu Alperspach auf dem Schwarzwaldt ain alt geschriben buoch, dessgleichen ain grosser gewirkter aufschlag gewesen, 3 welche baide von langen, unverdechtlichen jarn von der freiherrschaft Zimbern dahin kommen und gegeben worden. Der inhalt des ganzen buchs ist ain beschribung des hörzugs, und gütlich zu glauben, das sollichs von der freiherren zu Zimbern ainem, deren drei, namlich herr Friderich, herr Conradt und herr Albrecht, gebrüeder, darbei gewesen, beschriben und aufgezaichnet seye worden. Gleicherweis sein grosse figuren scheibenwis in das gemelt tuoch gewürkt, mit lateinischen worten, welcher inhalt sich mit dem buch vergleicht; aus disen baiden dise nachvolgende capitl, so vil es die freiherrn von (A 40, b) Zimbern belangen thut, gezogen worden.

Die ursach aber und der anfang der rhumreichen, loblichen und christlichen expedition ist fürnemlich die gewesen: Der loblich, theur fürst, herzog Gottfridt von Lottringen, seines geschlechts und herkomens ain grave von Bullon, hat kaiser Hainrichen loblicher gedechtnus dem vierten allzeit mit trewen angehangen, und als sich begeben, das Kaiser Hainrich mit macht in Italiam zogen und Rom im jar Christi tausendt ainsundachtzige belegert, ist im gemelter herzog Gottfridt auch nachgevolgt, und nachdem auf ain zeit die stat Rom hart gesturmbt worden, auch ain gut thail der mauren und munition zerprochen, hat er sich so ritterlichen in solchem sturmb gehalten, das er der allererst auf die mauren komen, durch welche namhafte eerliche

3 P. 79, 1. 11, 2e éd. 1. 12: « Ain grosser ge» wirkter Aufschlag »; le sens de la page 99, 2o éd. p. 106 fait voir que cet Aufschlag était un tissu de

n'en parlent qu'en termes généraux, et ne la citent qu'en quelques mots très brefs. Que l'on sache donc qu'il y avait au monastère d'Alpirsbach, dans la Forêt-Noire, un vieux manuscrit et une grande tenture en tapisserie, 3 qui, tous deux, avaient été apportés de temps immémorial de la baronnie de Zimmern et donnés au couvent. Le sujet du livre est la relation de la croisade; le texte et les dessins ont vraisemblablement pour auteur l'un des barons de Zimmern; trois d'entre eux, trois frères, assavoir sire Frédéric, sire Conrad et sire Albert, avaient pris part à cette guerre. Sur la tenture on voit, dans des cercles, de grandes figures accompagnées d'inscriptions latines, dont le sujet correspond à celui du livre. De ces deux documents on a extrait ce qui concerne les barons de Zimmern: ce sera l'objet des chapitres suivants.

II.

[Le motif de la croisade. Le duc Godefroi de Bouillon].

Or, voici la cause principale et le commencement de cette expédition glorieuse, illustre et chrétienne: L'illustre et cher prince, le duc Godefroi de Lorraine, de la race et de la maison des comtes de Bouillon, a toujours été fidèlement attaché à l'empereur Henri IV d'illustre mémoire; lorsque l'empereur Henri a mené son armée en Italie et a fait le siège de Rome, en l'an 1081 ap. J. C., Godefroi l'y a suivi; à un certain moment, lorsque l'assaut à été donné à la ville et qu'une grande partie des murailles et des fortifications étaient battues en brèche, il a fait preuve d'une telle vaillance, qu'il est arrivé le premier de tous sur la muraille, et c'est surtout à cet acte héroïque et glorieux que l'empereur a dû la conquête de Rome. Cet assaut eut lieu au

toile qui servait de tenture dans le choeur de l'Église d'Alpirsbach: nous en reparlerons plus loin en détail

that die stat Rom fürnemlich von den kaiserischen erobert ist worden. In disem sturmb, so im Junio beschehen, het sich gemelter herzog Gotfridt dermassen gebrucht, das er von wegen ainer so grossen übung in ain todtliche krankhait fallen was, derhalben gelopt und verhiesse er sich Got dem allmechtigen, wann es sach wer, das er lebendig und [2. ed. p. 87] bei kreften belibe, so welte er zum hailigen grab ziehen und solchs widerumb [1. ed. p. 80] aus denen henden der ungleübigen zu bringen sich understeen. Darauf ward er in ainer kürze wunderbarlich (61) gesundt, und sobald er widerumb in teutsche land kam, nam er urlaub vom kaiser und sucht alle mitl, damit er gelt, ain somma kriegsvolk zu versölden, zusamenbringen möchte. Und als er sollichs bis in das zwölft jar beharret, ver (A 41, a) kauft er zuletst mit bewilligung seiner baider brüder, herrn Balduini und herrn Eustachi, alle ire ligende güeter, des willens, wider die ungleubigen dise mergliche barschaft zu wolfart gemainer christenhait zu gebrauchen. Zu solchem ward in auch nit wenig verursachen das gros blutvergiessen und die stetige krieg, so zwischen dem kaiser und denen teutschen fürsten durch anschiften der bäpst erregt wurden.

mois de juin; le dit duc Godefroi y prit une telle part que l'excès de fatigue lui causa une maladie mortelle: se voyant en ce danger, il fit un vœu au Seigneur tout puissant et promit, au cas où il conserverait la vie et recouvrerait ses forces, d'aller au Saint-Sépulcre, se faisant fort de l'arracher des mains des Infidèles. Il guérit miraculeusement en quelques jours, et dès qu'il fut de retour en Allemagne, il prit congé de l'empereur et par toutes sortes de moyens amassa l'argent nécessaire pour payer la solde d'un certain nombre de gens de guerre. Pendant douze ans, il poursuivit son projet: enfin, du consentement de ses deux frères, le seigneur Baudouin et le seigneur Eustache, il vendit tous leurs biens fonds, ce qui · lui procura une somme considérable d'argent comptant, se proposant de l'employer pour le bien général de la chrétienté. Les guerres continuelles qui, à l'instigation du Pape, régnaient entre l'empereur et les princes allemands et la grande effusion de sang qui en résultait eurent aussi leur part d'influence sur sa détermination.

Als nu die fürsten aus Gallia und aus andern nationen das eerlich, christenlich fürnemen vernamen, die auch zuvor durch den bapst Urbanum zu Clermant in Auergne darzu bewegt, erwelten sie herzog Gotfriden ainhelligclich zu ihrem obri sten über den ganzen hauten. Sollichs möcht so baldt in deutschen landen nit kont werden, es namen etlich bischof das creuz an sich, als nemlich bischof Conradt von Chur und bischof Otho von Strassburg, herzog Friderrichs von Schwaben brüeder. Zu disen und andern bischofen mer verfüegte sich bischof Thiemo von Salzburg, dessgleichen herzog Egkhart von Bayern, ain sun grave Ottons von Scheyrn, und herzog Walther von Tegk. Dessgleichen so zogent mit dise

III.

[Les croisés Allemands ].

Lorsque les princes de Gaule et d'autres nations apprirent que l'on allait commencer la glorieuse entreprise chrétienne que leur avait déjà prêchée auparavant le pape Urbain, à Clermont en Auvergne, ils choisirent unanimement pour chef de toute l'armée le duc Godefroi. Cela ne fut pas connu immédiatement en Allemagne. Quelques évêques prirent la croix, entre autres l'évêque Conrad de Coire et l'évêque Othon de Strasbourg, frères du duc Frédéric de Souabe. A ces évêques et aux autres se joignirent l'évêque Thiemon de Salzbourg, puis le duc Ekkart de Bavière, fils du comte Othon de Scheiern, et le duc Walther de Teck. Avec eux arrivérent encore les comtes et barons dont les

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