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LES CONSULATS DE TERRE SAINTE AU M.-AGE.

P. 360, 1. 22 en rem.:

L'assertion de Caumont sur le troisième consul, mise à tort en doute, est justifiée par le traité conclu à Rhodes le 7 oct. 1403 entre le grand-maitre Philibert de Nailhac et le sultan d'Égypte (Paoli, Cod. dipl., II, 108). Le sultan autorise l'ordre de Saint-Jean à établir des consulats à Jérusalem et à Rames (Ramla) et à ouvrir dans la ville sainte un hôpital particulier pour les pèlerins qui viendraient sur les vaisseaux de l'ordre. Les deux parties consentent en outre à un tarif des droits à payer par les pèlerins, où on lit par exemple: « A Rame pour le consolat chacun pellerin dragme une - en Jherusalem pour le consolat chacun pellerin dragme huit ». (W. HEYD).

D

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Ajoutez:

La mémoire des trois patriarches était aussi rappelée les févr. et le 19 déc. (AA. SS. Boll., n. ed., febr., 1, $99).

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Depuis l'impression de cette note, j'ai recueilli les indications suivantes de reliques des trois patriarches envoyées en Europe: il est à remarquer, que dans ces indications, les trois patriarches figurent toujours ensemble; ce qui prouve: 1.° que toutes ces reliques devaient venir de leur sépulture commune; 2.° que les religieux qui les distribuaient ne devaient pas être très-certains de l'identité respective des trois corps saints auxquels ils les avaient empruntées; dans le doute, ils donnaient toujours une parcelle de chacun d'eux.

1.o S. Junien, (arr.t de Bellac, Haute-Vienne). (Epistola Guidonis de Blavone ad canonicos S. Juniani Comodoliacensis [P., B. Nat., lat. 12764, p. 70]) - Reliques apportées entre 1139 et 1150 par Gui de Blon, moine de Grandmont, pèlerin de T. S.

que ces

2. Cefalù (Cathédrale de), Sicile (Pirrus, Sicilia sacra, p. 827) - Reliques données par Roger, roi de Sicile. 3.° Salerne (Cathédrale de). (AA. SS. Boll., oct., IV, 691).— Origine inconnue. Je serais porté à croire reliques furent envoyées de Terre Sainte ainsi que les précédentes, aussitôt après l'invention, à la reine Adele de Jérusalem, veuve du comte Roger de Sicile, puis de Baudouin I, qui s'était retirée en Sicile en 1117 et mourut vers le temps même de l'invention.

4. Angers (Cathédrale d'). (Inventaires du trésor d'Angers de 1255 et années suiv. jusqu'en 1595; renseignement communiqué par M. L. de Farcy). Reliques rapportées de la cinquième croisade dans un cor d'ivoire par Guillaume de Beaumont, év. d'Angers

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5. Anvers et Malines (Maisons des Jésuites au siècle dernier). (AA. SS. Boll., 1. c.). — Origine inconnue. 6. Marchiennes (Abbaye de). (Rayssius, Hierogazophylacium Belgicum, p. 295). — Origine inconnue. 7. Prague (Cathédrale de). (AA. SS. Boll., n. éd., jan. II, p. 720). Reliques données par l'empereur Charles IV, v. 1360. Origine inconnue. Suivant une hypothèse de Camusat il y en aurait eu à Troyes, et la fausse charte de Frédéric de Clermont (Lami, Eccl. Flor. mon., pp. 1648-9) énumère parmi les reliques données en 1220 au dôme de Florence, des parcelles des trois patriarches. Aucune de ces reliques ne paraît être venue jusqu'à nous.

- n. 38, 1. 3. - Ajoutez:

(R.)

Vita s. Rainerii Pisani (1139) (AA. SS. Boll., n. éd., jun., IV, 352; Epistola Guid. de Blavone, cc. 1150 [P., B. Nat., lat. 12764, p. 70]).

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J'ignorais, en donnant cette inscription, qu'elle avait été publiée par M. G. Schlumberger (dans le Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France 1882, p. 145), d'après un estampage assez défectueux de M. Chevarrier, mon prédécesseur à Jaffa. M. Schlumberger ignorait lui-même l'existence de la reproduction du journal Das Heilige Land, que j'ai signalée en note. Cette inscription n'est donc pas inédite, à proprement parler; je crois cependant que l'excellent fac-simile héliographique que j'ai fait graver d'après un estampage soigneusement exécuté par moi en 1881, ne fera pas double emploi; il rend sensiblement mieux la physionomie de l'original que ces reproductions antérieures, qui laissent d'ailleurs à désirer sous le rapport de l'exactitude. Je signalerai, par exemple, sur la planche du Bulletin, les formes Det Є (fermé) prêtées abusivement par le graveur aux et aux Є; la forme F de fortis qui est, en réalité, P; la transcription STRATVS au lieu de STRAT2 en abrégé; la transcription NORRIBILIS avec deux R consécutifs, tandis que l'original porte NORIBILIS avec le deuxième R tout petit en surcharge; les formes peu exactes des signes abrévialifs dans les derniers mots de l'inscription 3, legitur, conditur &; enfin la lecture VILIVCO au lieu de ¶VILIV6O, qui a le tort grave d'altérer le nom même de notre personnage. Le g de Quilingo qui est, du reste, indiqué par la rime (Hugo), est matériellement certain; je l'ai encore vérifié sur l'estampage, pour plus de sûreté.

Les trois points séparatifs des mots () sont aussi fréquemment omis sur la planche du Bulletin. En examinant à nouveau mon estampage sous ce dernier rapport, j'ai fait une assez curieuse remarque; quand les trois points disjonctifs () tombent à la fin des vers, ils affectent cette disposition (:, qui semble bien viser une coupe des vers, en plus de la coupe des mots. Cette intention est rendue sensible par une particularité du deuxième vers: le lapicide avait, après le dernier mot de ce vers, EXIMIE, gravé simplement les trois points ordinaires(); s'étant aperçu de son inadvertance, il l'a corrigée en ajoutant un quatrième point qui fournit la disposition voulue (·). A la fin du quatrième vers seulement cette convention n'est pas observée, et le mot final fumulatus 4 est suivi de () au lieu du (·) auquel on s'attendrait.

M. Schlumberger a fait à propos de ce texte d'excellentes remarques, telles qu'on pouvait les attendre d'un médiéviste aussi consommé. J'ai été heureux de voir que nous nous étions rencontrés sur plus d'un point et notamment que nous avions été conduits par des raisons analogues à chercher du côté de la Bretagne l'origine de notre personnage inconnu dans l'histoire. L'attribution de l'épitaphe à l'un des templiers tués à Ascalon en 1153, attribution que j'ai discutée et à laquelle M. Schlumberger paraît se rallier avec moins d'hésitation que moi, est subordonnée, avant tout, à la provenance du monument. Or, je le répète, nous sommes loin d'être sûrs qu'il ait été trouvé à Ascalon; j'ai des raisons de croire que c'est de S. Jean d'Acre qu'il a été apporté à Jaffa.

Je regrette de n'avoir pas pris les dimensions exactes du monument. Je me rappelle seulement que l'ins

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cription occupe environ la moitié supérieure de la dalle qui est en forme de rectangle allongé. La moitié inférieure est vide; il ne serait pas impossible qu'elle ait été réservée pour recevoir une représentation figurée ou l'écu du défunt, et que le monument soit resté inachevé par suite de quelque circonstance fortuite.

DOCUMENTS.

(CLERMONT-GANNEAU).

P. 148, 1, 9:

livres, .: litres.

P. 154, 1. 2:

1234, 1.: 1235.

P. 168:

La pièce du 10 août 1402 avait été publiée en 1881 par M. Constantin Sathas, Documents, II, pp. 88-89. P. 238, 1, 8:

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Trokelowe (Chronica S. Albani, p. 321), ainsi qu'un Regist. de Newburg, cité par Dugdale, Baronetage of England, 1, 129, affirme que le duc de Norfolk mourut « dum rediret de Jerosolimis

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1393, 27 févr.

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Pièce relative à la captivité de pèlerins français et flamands revenant de T. S. et pris à Modon (Mon. spect. hist. Slav. merid., IV, 324).

1393, 26 avril.

Réception, par le roi de Hongrie, de Wenceslas-le-jeune, duc de Stettin, allant en T. S.

(Mon. spect. hist. Slav. merid., IV, 305).

1406

P. 264, 1. 2 en rem.:

Egi seculorum, 1.: Regi seculorum (1 Tim., I, 17).

P. 274, n. 8:

Ahali, 7. filius Ahali.

P. 288, n. 118:

ingenium, 1.: genius.

INDEX

A.

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ABOU-ABDALLAH Dimischki, 335.
ABOU-ABDALLAH Mohamed el-Mostan-

cer-Billah, roi de Tunis, 199.
Abou-Aly (Mahallet-) 99, 101.
ABOU-BEKR el-Eskafy, 411 n. 419.
ABOU-CHÂMAH, 115, 116, 120, 174,
177, 203, 386 n.
ABOU-DIBAB, 101.
ABOU-FODHAÏL, 120.
ABOU-SAID, II, 317, 318.
ABOU'L FADHL, 174.
ABOU'L-FARADJ, 119, II, 511.
ABOU'L FATH Bibars (Melik-Dâher),

389 n.

ABOU'L-FEDA, 95, 115, 117, 119, 173,
176, 178, 365 n., 367 n., 371 n.,
378 n., 382 n., 383 n., 391 n.,
393 n.. 398 n., 399 n., 405 n.,
406 n.; II, 188.

ABOU'L HASAN Ali Ibn Abi Said, II,
317.
ABOU'L-IZZ, 386.

ABOUL MAHASSIN, 94, 114, 115, 173,
174, 386.

ABOU-NASSR, sultan, 358.
ABOU ZA BEL, 96.

ABOU ZAKARJA el-Nawawi, 371 n.
ABRAHAM, 411, 412 n., 413-415,
417, 419, 420 n.; II, 284, 348,
356, 360, 362, 383, 389, 390,
392, 403, 411-421.
ABRAHAM d'Ancyre, 178, 179.
ABRAHAM ben Zaûs, 119.

ABRAHAM. moine arménien, II, 123.
ABRAYNUS, II, 11, 20, 63, 103.
Abruzzes, 280.

ABSALON, 446, 447; II, 354.
Abter (Fleuve d'), 335 n.
ABZAC (Adhémar d'), 273, 274; Gan-

tonet d'A. 163, 273-274.

Acaia, v. Achaya.

Acamas, fleuve, 230 n.

Acaron, 344, II, 342.

Accaron, v. Acre.

Accaron, v. Acaron.

ACCIMATOR (Ugo), II, 111.
ACCOLTUS (Benedictus), 183.
Accon, v. Acre.
ACCON (Alis de), II, 59-60;
menzus de A., II,
108;
cianus de A., II, 41, 43;
hanninus de A., II, 83, 96, 97,
Marcus de A., II,

104,
108;

105;

-

--

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-

Do-
Gra-

Jo-

Matthæus de A., II, 117;

Rollan-

Nicola de A., II, 111; - Per-
rozius de A.. II, 104; Philip-
ponus de A., II,
88;
dinus de A., II, 112;
ninus de A., II,
de A., II, 69, 89;

59;

-

-

Stepha
Thomas

Vaxchus de

A., II, 59.
ACELLINUS Aurie, II, 212.
ACERRANENSIS (Thomas), 113.
ACHAB, rex Israel, II, 292.
Achaia, 194, II, 307, 308, 331, 511.
ACHARD de Montmerle, 11, 491, 507.

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