ADRIEN IV accorde un privilége au seigneur de Montpellier. I, xxy. - Confirme les droits de l'Eglise de Maguelone. II, 292. ADULTERE. Son châtiment à Montpellier. I, 72.

AGDE. Traité de commerce de son vicomte et de son évêque avec le seigneur de Montpellier. II, 420. AGNES de Castille, préférée à Eudoxie Comnene par Guillem VIII. I, XLV. Ne peut obtenir du St.Siége la ratification de son mariage, XLVIII. A part aux largesses testamentaires de Guillem VIII, LX. - Sa tactique à l'égard de la fille de sa rivale, 27. AGRICULTURE, objet des préoccupations du concile de Montpellier de 1215. I, 225. ALBIGEOIS. Ils n'ont pas les sympathies de la Commune de Montpellier. I, 211.

ALEXANDRE III accorde divers priviléges au seigneur et aux habitants de Montpellier. I, xxII. Tient un concile dans cette ville, XXVI et 220.

ALEXANDRE IV confirme les libertés de la Commune de Montpellier. I, 234; et les statuts de son École de médecine. III, 95. ALEXANDRE VII. Son bref en faveur

de la confrérie de Saint-Roch de l'église Saint-Paul de Montpellier. III, 290 et 503. ALEXANDRIE.La Commune de Mont

pellier y entretient un consulat pour son commerce. II, 39. AMALRIC, vicomte de Narbone, fait alliance avec la Commune de Montpellier. II, 25.

ANDRÉ de Fredol, évêque de Maguelone. II, 240. Se plaint de l'humeur turbulente des étudiants de Montpellier. III, 33. ANGELUS.Son établissement à Montpellier. II, 258.

ANGLIC GRIMOARD vient en aide aux habitants de Montpellier, après la sédition de 1379. II, 191. Préside à l'achèvement du monastère de Saint-Germain, 276.

Fonde lui-même et dote le collége de Saint-Ruf, 278. ANNÉE. A quelle époque elle commençait à Montpellier au moyenâge. I, 249 et 302.

ANTIBES. Son commerce avec Montpellier. II, 13 et 449. ANTOINE (Saint) de Padoue professe la théologie à Montpellier. III, 63 et 321. APPEL. A lieu de la cour du bayle à celle du seigneur ou de son lieutenant. I, 85.

BAYLE de Montpellier. Sa position
par rapport au seigneur. I, 54.

Ses devoirs et ses attribu-
tions, 54, 57, 59 et 87. - Sa
cour, 54, 59, 64, 85, 122 et 125.

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- Il ne doit jamais être pris
parmi les Juifs, 61. On appelle
de ses sentences au seigneur, 85.
- Il ne peut, non plus que les
officiers de sa cour, acquérir d'im-
meubles relevant du seigneur,
pendant la durée de ses fonc-
tions, 96. Il ne doit pas vendre
les justices de sa cour, 116. - Il
doit être nécessairement de Mont-
pellier, 117 et 193.- Est nommé
pour un an 122 et 132. N'est
rééligible qu'au bout de deux ans,
122.-Est soumis au serment, 125.
Ancienneté de ce magistrat,
131. Mode de son élection et
sa responsabilité, 280, II, 333.
Ses démêlés avec l'Université
de droit. III, 57 et 406.
BAYLIE. Signification de ce mot par
opposition au mot Rectorie. I,
137.- Annexes de la baylie. II,
316 et 383. A quoi s'élevaient
les revenus de la baylie de Mont-
pellier, 159.

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-

BEC de Castelnau, nommé par
Urbain V à l'évêché de Cahors.
II, 271.

BÉJAUNES. Excès et suppression de
cette société. III, 61 et 412.
BÉNÉDICTINS. Leur établissement à
Sauret au XIIe siècle. I, xxvIII;
III, 319. Leur translation à
Montpellier dans le monastère
de Saint-Germain. II, 266 et 273.
BENJAMIN de Tudela. Importance
de son Itinéraire, pour l'histoire
du commerce et des Écoles de
Montpellier au XIIe siècle. I, LXIV.
BENOÎT XII intervient entre l'évê-
que de Maguelone et l'Université
de droit de Montpellier. III, 13.
- Entre les juges séculiers et les
inquisiteurs, 224 et 495.
BÉRAUDON de Faudoas, conseiller
du duc d'Anjou, échappe seul au
massacre de 1379. II, 197.
BERENGER, évêque de Girone, con-
fesseur de Jayme Ier. II, 33.

-

-

BERNARD de Gordon. Bizarreries
de son Lilium medicinæ. III, 109.
Ses préjugés astrologiques,
115 et 139.
BERNARD Guillem d'Entença. I, 39.
BERNARD de Mèze, évêque de Ma-
guelone, reconnaît à Jayme Ier
divers droits sur la fabrication
de la monnaie melgorienne. I,
131.- Vit en bonne intelligence
avec la Commune de Montpel-
lier, 190.-Bénit l'église des Do-
minicains de cette ville, 238.

Consacre celle de Notre-Dame
des Tables, 239.
BERNARD-le-Pénitent (le B.). Sa
vie et ses vertus. I, 216; III,
266.

BERNARD de la Treille professe la

théologie à Montpellier. III, 63.
BERNARD de Tréviers, chanoine de
Maguelone; ses ouvrages. I, LXXX.
BERNARD de Ventadour fait hom-
Image de ses vers à Azalaïs, fille
de Guillem VI. I, LXXIX.
BERNARD de Vissec, élu évêque de
Maguelone, ne peut obtenir ses
bulles. II, 238.
BERTRAND de Deaux. Ses statuts
pour l'École de droit de Mont-
pellier. III. 13.

chands de Montpellier. II, 40 et 513. BONIFACE VIII intervient auprès de Philippe-le-Bel pour faire respecter le territoire du comté de Melgueil. II, 117.

BOUCHERIE, réglementée par la Charte du 15 août 1204. I, 115. BOURGEOISIE royale établie à Montpellier, puis transférée à Aiguesmortes. II, 124. BOUTONNET, faubourg de Montpellier, constituait autrefois un fief à part. III, 358.

CHARITÉ. Sens de ce mot appliqué aux corporations industrielles. III, 163. Pains de charité, 343. CHARLES-le-Bel écrit au baillide Mâcon en faveur des marchands de Montpellier. II, 220 et 530. Prend sous sa sauvegarde les professeurs et étudiants de cette ville. III, 141 et 400. CHARLES V cède la ville et baronnie de Montpellier à Charles-le Mauvais. II, 178. Les lui retire et les lui rend, ibid. S'apitoie sur le sort des habitants de Montpellier ruinés par les malheurs publics, 231. Ses réserves à l'égard du roi de Navarre, 378.

-Ses lettres en faveur des maîtres et étudiants de l'École de médecine de Montpellier. III, 105 et 142. Honneurs funèbres qu'on lui rend dans cette ville, 197. CHARLES VI transige avec Isabelle de Montferrat, au sujet de la baronnie de Montpellier. II, 164.

,1

Vient à Montpellier, et y est l'objet de sympathiques démonstrations, 180. Ses réformes pour l'administration de cette

ville, 183. Ses lettres d'aboli

tion, 201 et 388.- Ses faveurs envers l'Université de Montpellier. III, 144 et 145. CHARLES VII confirme et étend les

priviléges de l'Université de mé

decine de Montpellier. III, 53, 144 et 404. CHARLES d'Anjou intervient entre les habitants de Montpellier et ceux de Marseille. II, 26 et 41. - Ses lettres de sauvegarde en faveur des marchands de Montpellier, 519 et 521. CHARLES-le-Mauvais obtient de Charles V la ville et la baronnie de Montpellier. II, 178. A quelles conditions, 378.-Accueil qu'il reçoit à Montpellier. III, 194. Autorisations de ce prince relatives à la vente des draps, et aux démonstrations anatomiques, 198 et 442.

CHARLES-le- Noble est investi de la Seigneurie de Montpellier. II, 179.

CHARTE (Grande) de Montpellier. Son importance et son caractère. I, 39. Traduction et analyse de ce document, 53.

CHEVALET (danse du). I, 248; II, 23; III, 199.

CHYPRE. Ses relations commerciales avec Montpellier. II, 217, 503 et 506.

CITEAUX (Moines de) exemptés des droits de leude et de coupe dans la Seigneurie de Montpellier. I, 88. Ont un collége théologique à Montpellier. III, 64 et 330. CLARISSES OU Franciscaines. Leur établissement à Montpellier. III, 330.

COMMERCE de Montpellier, protégé et encouragé par Alexandre III. I, xxv. Trouve de grands avantages dans la situation topographique de la ville et dans la faveur des Guillems, LXIII. Avait déjà pris au XIIe siècle une extension considérable, ibid. Privilége dont il est l'objet de la part de Conrad de Montferrat, LXVI. - La Charte du 15 août 1204 lui confère de précieuses garanties, 70 et 78. Il se faisait primitivement par le port de Lattes, et se fit plus tard par celui d'Aiguesmortes, 167 et 287.

-

sous

Son importance aux XIIIe et XIVe siècles, 172 et 291; II, 13, 39, 43 et 214.-Ses intérêts préoccupent le concile de Montpellier de 1215. I, 226. Causes et date de sa décadence, 294. Sur quoi il portait principalement. II, 221. COMMUNE de Montpellier. Son premier acte important. I, 12. Chemine, au XIIe siècle, l'enveloppe seigneuriale, 15. Triomphe complètement au commencement du XIIIe, 38. Son aspect républicain, 45 et 150. Son rôle tout catholique, 157. Ses rapports avec le Saint-Siége, 210. Dernière circonstance où elle fait preuve d'énergie. II, 187. Son absorption progressive, 202.- Opposition qu'éprouvèrent de sa part les rois de France dans la réalisation de leur système de