Histoire de la poésie, Volúmenes7-8 |
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... voilà ce qui faisait le sujet de sa douleur ; il s'en explique ainsi à son ami Panias : Panias , veulx - tu sçavoir quels sont mes passe temps ? Je songe au lendemain , j'ay soing de la despence Qui se fait chacun jour , et si fault que ...
... voilà ce qui faisait le sujet de sa douleur ; il s'en explique ainsi à son ami Panias : Panias , veulx - tu sçavoir quels sont mes passe temps ? Je songe au lendemain , j'ay soing de la despence Qui se fait chacun jour , et si fault que ...
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... Voilà les propres termes de Ronsard . Henri Estienne , dans sa Précellence du langage françois , dans ses Dialogues du nutrau langage françois italianisé , où il s'élève contre cette manie d'innovation , De l'impute jamais à Ronsard ...
... Voilà les propres termes de Ronsard . Henri Estienne , dans sa Précellence du langage françois , dans ses Dialogues du nutrau langage françois italianisé , où il s'élève contre cette manie d'innovation , De l'impute jamais à Ronsard ...
Página 97
... Voilà les dépouilles dont il fallait orner ses temples et ses autels , les trésors que l'on devait enlever du temp'e delphique ; ou plutôt , dans le temple delphique , dans le sanc- tuaire de l'antiquité , on ne devait chercher que la ...
... Voilà les dépouilles dont il fallait orner ses temples et ses autels , les trésors que l'on devait enlever du temp'e delphique ; ou plutôt , dans le temple delphique , dans le sanc- tuaire de l'antiquité , on ne devait chercher que la ...
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... qui suit le lendemain ; La vie n'a point d'asseurance , Et pendant que nous désirons La faveur des roys , nous mourons Au milieu de notre espérance . ( * ) Sa ceinture . Voilà la langue et le tour poétique : voilà la RONSARD . 101.
... qui suit le lendemain ; La vie n'a point d'asseurance , Et pendant que nous désirons La faveur des roys , nous mourons Au milieu de notre espérance . ( * ) Sa ceinture . Voilà la langue et le tour poétique : voilà la RONSARD . 101.
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Charles Augustin Henry. Voilà la langue et le tour poétique : voilà la coupe savante et néanmoins naturelle . Une des pièces les plus gracieuses de Ronsard est assurément ce sonnet , dans lequel une idée mélancolique , souvent expri- mée ...
Charles Augustin Henry. Voilà la langue et le tour poétique : voilà la coupe savante et néanmoins naturelle . Une des pièces les plus gracieuses de Ronsard est assurément ce sonnet , dans lequel une idée mélancolique , souvent expri- mée ...
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 437 - L'âne vint à son tour, et dit : " J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Página 179 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Página 47 - Surtout qu'en vos écrits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
Página 343 - J'entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois vivre entre eux les hommes comme ils font. Je ne trouve partout que lâche flatterie, Qu'injustice, intérêt, trahison, fourberie; Je n'y puis plus tenir, j'enrage; et mon dessein Est de rompre en visière à tout le genre humain.
Página 227 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 202 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Página 474 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Página 86 - Lui laissait le regret de mourir ma victime! Va le trouver : dis-lui qu'il apprenne à l'ingrat Qu'on l'immole à ma haine, et non pas à l'État. Chère Cléone, cours : ma vengeance est perdue S'il ignore en mourant que c'est moi qui le tue.
Página 222 - C'est lui-même; il m'échauffe, il parle : mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent. Lévites, de vos sons prêtez-moi les accords, Et de ses mouvements secondez les transports. LE CHOEUR chante au son de toute la symphonie des instruments. Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est, au printemps, la fraîcheur du matin.
Página 343 - Et faisons un peu grâce à la nature humaine; Ne l'examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses défauts avec quelque douceur. Il faut parmi le monde une vertu traitable ; A force de sagesse on peut être blâmable : La parfaite raison fuit toute extrémité, Et veut que l'on soit sage avec sobriété.