IphigénieIvison, 1858 - 320 páginas |
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Jean Racine Louis Fasquelle. Arrêt enfin . Je perds ma cause avec dépens , Estimés environ cinq à six mille francs . Est - ce là faire droit ? est - ce là comme on juge ? Après quinze ou vingt ans ! Il me reste un refuge ; La requête ...
Jean Racine Louis Fasquelle. Arrêt enfin . Je perds ma cause avec dépens , Estimés environ cinq à six mille francs . Est - ce là faire droit ? est - ce là comme on juge ? Après quinze ou vingt ans ! Il me reste un refuge ; La requête ...
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... Enfin , quand une femme en tête a sa folie ... 12 LA COMTESSE . Fou vous - même . 14 CHICANEAU . Madame ! 16 LA COMTESSE . Et pourquoi me lier ? 18 CHICANEAU . Madame ... 20 LA COMTESSE . Voyez - vous ! il se rend " familier . CHICANEAU ...
... Enfin , quand une femme en tête a sa folie ... 12 LA COMTESSE . Fou vous - même . 14 CHICANEAU . Madame ! 16 LA COMTESSE . Et pourquoi me lier ? 18 CHICANEAU . Madame ... 20 LA COMTESSE . Voyez - vous ! il se rend " familier . CHICANEAU ...
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... enfin L'âme et le dos1o six fois plus durs que ce matin . Quoi qu'il en soit , voici l'exploit et votre lettre ; Isabelle l'aura , j'ose vous le promettre . Mais , pour faire signer le contrat que voici , 11 Il faut que sur mes pas vous ...
... enfin L'âme et le dos1o six fois plus durs que ce matin . Quoi qu'il en soit , voici l'exploit et votre lettre ; Isabelle l'aura , j'ose vous le promettre . Mais , pour faire signer le contrat que voici , 11 Il faut que sur mes pas vous ...
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... enfin peut se méprendre . Je saurai réparer ce soupçon outrageant.27 Oui , vous êtes sergent , monsieur , et très - sergent . Touchez là : vos pareils sont gens que je révère ; Et j'ai toujours été nourri par feu mon père Dans la ...
... enfin peut se méprendre . Je saurai réparer ce soupçon outrageant.27 Oui , vous êtes sergent , monsieur , et très - sergent . Touchez là : vos pareils sont gens que je révère ; Et j'ai toujours été nourri par feu mon père Dans la ...
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... enfin , vous ne m'en parliez plus . Vous me trompiez , seigneur . 26 28 ORESTE . 30 Je me trompais moi - même ! Ami , n'accable point un malheureux qui t'aime : 32 T'ai - je jamais caché mon cœur et mes désirs ? Tu vis naître ma flamme ...
... enfin , vous ne m'en parliez plus . Vous me trompiez , seigneur . 26 28 ORESTE . 30 Je me trompais moi - même ! Ami , n'accable point un malheureux qui t'aime : 32 T'ai - je jamais caché mon cœur et mes désirs ? Tu vis naître ma flamme ...
Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ÆGINE AGAMEMNON alarmes Allez AMAN amant âme amour ANDROMAQUE ARCAS ASSUÉRUS ATHALIE autels bras cacher Calchas CÉPHISE charmes cher chercher CHEUR CHICANEAU CHŒUR ciel CLÉONE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux cruel d'Achille d'Hector DANDIN David Dieu dieux DORIS Éliacin ÉLISE enfant enfin ennemis époux ÉRIPHILE Est-ce ESTHER fille fils funeste fureur German German language gloire Grecs haine Hélas HERMIONE heureux HYDASPE hymen IPHIGÉNIE ISABELLE ISRAELITE j'ai JOAD JOAS joie JOSABET jour Juifs l'autel L'INTIMÉ laisse language larmes LÉANDRE lévites m'en madame mains malheureux Mardochée MATHAN METHOD moi-même monsieur mortels NOTES AND REFERENCES NOTES AND REFERENCES.-¹ ORESTE père perfide PETIT JEAN peuple PHOENIX pleurs prêtres princesse puis-je PYLADE Pyrrhus reine rois saint sais SALOMITH sang SCÈNE VIII secret seigneur serments seul soin songe sort SOUFFLEUR temple triste Troie trouble Troyens ULYSSE venger veux Voilà vois voix vous-même WOODBURY'S yeux ZACHARIE zèle
Pasajes populares
Página 275 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Éliacin, vous avez su me plaire. Vous n'êtes point sans doute* un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier. Laissez là cet habit, quittez ce vil métier. Je veux vous faire part de toutes mes richesses. Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 259 - En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence ! Son nom ne périra jamais. Le jour annonce au jour sa gloire et sa puissance, Tout l'univers est plein de sa magnificence ; Chantons, publions ses bienfaits.
Página 210 - Dieu, que la gloire couronne, Dieu, que la lumière environne, Qui voles sur l'aile des vents, Et dont le trône est porté par les anges ; DEUX AUTRES DES PLUS JEUNES.
Página 245 - Ton Dieu n'est plus irrité : Réjouis-toi, Sion, et sors de la poussière; Quitte les vêtements de ta captivité, Et reprends ta splendeur première. Les chemins de Sion à la fin sont ouverts : * Rompez vos fers, Tribus captives ; Troupes fugitives, Repassez les monts et les mers : Rassemblez-vous des bouts de l'univers.
Página 13 - Jamais, au grand jamais, elle ne me quitta, Et Dieu sait bien souvent ce Qu'elle en rapporta; Elle eût du buvetier emporté les serviettes, Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes'.
Página 76 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur,, pleurer un moment avec lui.
Página 209 - Hélas! si jeune encore, Par quel crime ai-je pu mériter mon malheur? Ma vie à peine a commencé d'éclore: Je tomberai comme une fleur Qui n'a vu qu'une aurore.
Página 292 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
Página 292 - Le Seigneur a détruit la reine des cités : Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes Pour pleurer ton malheur?
Página 272 - Votre père ? JOAS. Je suis, dit-on, un orphelin Entre les bras de Dieu jeté dès ma naissance, Et qui de mes parents n'eus jamais connaissance.