| Auguste Brachet - 1879 - 438 páginas
...de franches alleures : nostre vigueur et liberté est esteinte. Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs, mais elles en font après le miel, qui est tout leur ; ce n'est plus thin, ni marjolaine : ainsi les pièces empruntées d'autruy, il les transformera et confondra, pour... | |
| Jules Paroz - 1880 - 562 páginas
...opération, quand il regorge la viande comme il l'a avalée. v. Les abeilles pillottent de çà de là les fleurs, mais elles en font après le miel,...est tout leur : ce n'est plus thym ni marjolaine. Ainsi les pièces empruntées d'autrui, l'élève les transformera et confondra pour en faire un ouvrage... | |
| Paul Souquet - 1880 - 216 páginas
...l'entendons et veoyons de mesme. Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font aprez le miel, qui est tout leur; ce n'est plus thym, ni marjolaine : ainsi les pieces empruntees d'aultruy, il les transformera et confondra pour en faire un ouvrage... | |
| Achille Delboulle - 1880 - 344 páginas
...PILLOTTER, Pilloter. — « Les abeilles pillaient de cà, de là, les fleurs, mais elles en font aprez le miel qui est tout leur ; ce n'est plus thym ni marjolaine. , (Montaigne, I, 24, XVIe s.) , Ainsi nos pédantes \ontpillotants la science dans les livres, et ne... | |
| Gustave Merlet - 1882 - 602 páginas
...Montaigne l'homme qui pense. » esta lui; car il imite «les abeilles qui pillottent deçà, delà les 'fleurs ; mais elles en font après le miel qui...est tout leur : ce n'est plus thym, ni marjolaine. » Ajoutons que le gascon y trouve son compte. En « estoffant ainsi ses discours de ces riches despouilles,... | |
| Société académique de Brest - 1882 - 612 páginas
...abeilles dont nous parle Montaigne dans son naïf langage. « Les abeilles, dit-il, pilotent dé ça et de là les fleurs, mais elles en font après le miel qui est tout leur. Ce n'est plus ni thym ni marjolaine. » Eh bien, Messieurs, pilotez, vous aussi, de lecture en lecture, et quand... | |
| Jules Paroz - 1883 - 562 páginas
...son opération, quand il regorge la viande comme il l'a avalée. « Les abeilles pillottent de ça de là les fleurs, mais elles / en font après le miel, qui est tout leur : ce n'est plus thym ,,m marjolaine. Ainsi les pièces empruntées d' autrui, l'élève les transformera et confondra pour... | |
| Jules Paroz - 1883 - 572 páginas
...son opération, quand il regorge la viande comme il l'a avalée. « Les abeilles pillottent de ça de là les fleurs, mais elles en font après le miel, qui est tout leur : ce n'est plus tbym ni marjolaine. Ainsiles pièces empruntées d' autrui, l'élève les transformera et confondra... | |
| Charles Defodon - 1883 - 590 páginas
...que selon moi, puisque lui et moi l'entendons et voyons de même. Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font après le miel, qui est tout leur; ce n'est plus Ihym ni marjolaine; ainsi les pièces empruntées d'autrui, il les transformera et confondra pour en... | |
| Paul Victor Charland - 1884 - 564 páginas
...travers tous ses emprunts. Il est comme les abeilles " qui pillotent de ça, de là, les fleurs, mais qui en font après le miel qui est tout leur: ce n'est plus thym ni marjolaine." Comme saint François de Sales, à qui nous empruntons cette comparaison, Montaigne a un style très... | |
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