| Jean Baptiste Alphonse KARR - 1853 - 424 páginas
...charmes. — Je vous vis, — continua Pélissier. Je vous vis,— je rougis, — je pâlis à votre vue, Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon cœur et transir et brûler. Vous voyez devant vous baigné de douces larmes, Un malheureux vaincu,... | |
| Auguste Widal - 1854 - 198 páginas
...Y.364,sqq. — Racine peintainsi ces mêmes effets physiques : Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue , Un trouble...parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. (Phèdre, acte I. se. ni.) 2. V. 403. Dans le langage des passions, tout cela peut se traduire ainsi... | |
| pabbe henry - 1854 - 806 páginas
...Eglogue , le second , dans Ba tragédie de Phèdre. Ut vidi, ut perii , ut me malus abstulit error 1 Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue , Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Theslylis! à mes maux cherche quelque remède; Je ne suis plus à moi , Delphis seul me possède,... | |
| Jean Racine - 1854 - 526 páginas
...bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi1 : Je le vis , je rougis,, je pMis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux M voyaient plus , je ne pouvais parler ; PHÈDRE. — Ma mort aura la même cause : l'origine de nos... | |
| Jean Racine - 1856 - 690 páginas
...m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa *vue : Un trouble...dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ue pouvais parler: Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux... | |
| Jean Racine - 1856 - 1022 páginas
...m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler: Je sentis tout' mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 páginas
...m'étais engagée : Mon repos, mon bonheur semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble...brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner ; Je... | |
| Jean Racine - 1860 - 696 páginas
...m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue: Un trouble...brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner. Je... | |
| Voltaire - 1860 - 644 páginas
...images : alors l'auteur dit précisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; « Un trouble...éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. Racine, Phèdre, acte I, scène in L'imagination alors ardente et sage n'entasse point de figures incohérentes;... | |
| Voltaire - 1860 - 636 páginas
...abstulit error! Ecl. vm, 44. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Peut-on mieux imiter Virgile? Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Peut-on mieux imiter Sapho? Ces vers, quoique imités, coulent de source; chaque mot trouble les âmes... | |
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